Philip Franses : Henri Bortoft et la touche de la plénitude

Traduction libre de : http://holisticsciencejournal.co.uk/ Philip Franses est maître de conférences en sciences holistiques au Schumacher College (www.schumachercollege.org.uk). Il est titulaire d’un diplôme de mathématiques de l’Université d’Oxford (1980) et d’un master en sciences holistiques du Schumacher College (2006). Il est le rédacteur fondateur du Holistic Science Journal (www.holisticsciencejournal.co.uk), travaille avec des méthodes participatives d’éducation et […]

Kingsley Dennis : La lutte pour un avenir humain à l’ère du COVID-19 et du totalitarisme électronique : Un entretien avec Jeremy Naydler

Traduction libre de la revue New Dawn 182 (Sept-Oct 2020) Jeremy Naydler est titulaire d’un doctorat en théologie et études religieuses. Il est philosophe, historien de la culture et un jardinier qui vit et travaille à Oxford, en Angleterre. Il s’intéresse depuis longtemps à l’histoire de la conscience et considère l’étude des cultures du passé […]

Jeremy Naydler : Apporter la lumière au monde : Notre vocation humaine la plus profonde

Traduction libre La révolution numérique est-elle allée trop loin ? Nombreux sont ceux qui se demandent aujourd’hui où la révolution numérique nous mène et, surtout, comment nous devons y répondre. Comme la Révolution française, la révolution numérique a d’abord été bien accueillie. Pour beaucoup, le passage de l’analogique au numérique, amorcé dans les années 1970 — pour […]

Marc Alain Descamps : Le sentiment de lumière

L’Islam est issu des terres de lumière ; c’est la religion du désert et des longs espaces infinis. Toute lumière vient de l’Unique, et chacune y renvoit. Son universelle présence est d’abord manifestée par l’éclatante lumière de Midi. Pour les Musulmans l’existence est lumière. Le monde n’est que la réflexion de Dieu à travers le miroir de l’obscurité. La lumière essentielle en se réfléchissant fait apparaître le monde phénoménal. La lumière du jour est donc le symbole du monde transcendant. Le soleil est le signe mobile de l’Esprit, qu’éclaire l’autre monde, et la lumière intellectuelle est une manifestation de la connaissance divine qui se déverse sur la terre.

Claude Gregory : Illusions quant à la lumière

Au lieu que les rayons lumineux venus frapper la chose, et réfléchis, réfractés ou diffusés par elle pénètrent dans l’œil, c’est ici le contraire qui se produit : la vision n’est nullement l’effet d’une propagation parvenue jusqu’à nous. Il n’y a de visuel que projeté. Et la lumière, milieu isotrope imperceptible, donne leur teinte au ciel et à la terre suivant la saison, le cours des astres et l’heure, conformément à l’ordre du monde. Ce lait cosmique invisible lui-même, qui nous abreuve et nous baigne, nous fournit la possibilité et les occasions de la vision que, pour ainsi dire, il porte.

Louis Hoyack : Sur la métaphysique de la lumière

Dans le cadre de ces idées la matière devient une sorte de tombeau pour la lumière, un voile qui la couvre. Suhrawardi (mort en 1191) en arrive à une conception d’allure moderne, à savoir que la matière est une condensation de la lumière, et finalement de la lumière divine. Nous trouvons cette même conception chez Hazrat Inayat — peut-être pour quelques-uns en occident est-ce un enseignement très inhabituel — mais pourtant comme une annonce nouvelle d’un ancien savoir. Ainsi il considère la lumière du soleil comme « la forme la plus dense de l’Intelligence » et pour lui l’Intelligence est « La lumière de l’Intelligence ».

L'imaginal et l'homme de lumière de Michel Random

Tout homme libéré, qu’il soit un saint chrétien ou sage traditionnel est toujours représenté, entouré d’une auréole. C’est pour signifier que le corps apparent se confond avec le corps de lumière. Les astres et les étoiles deviennent alors les luminaires symboliques de ce corps. Cela signifie que l’homme possède non plus la connaissance des sens, ou la connaissance de l’intellect, ou de celle même de l’esprit spirituel, cela signifie que l’homme a perdu le voile de ce qui est séparé, il possède la lecture réelle des choses, il en perçoit la nature profonde, il est désormais hors de toute souffrance, et même au-delà de tout sentiment…

Maud Cousin : Le corps et la lumière

Steiner faisait des diagnostics en observant les accélérations du pouls à certaines lumières. En les faisant passer devant la septième vertèbre cervicale qui est particulièrement censée faire la jonction entre le physique et le psychisme, on pouvait selon les réactions du cœur ou le manque de réaction, voir comment il fonctionnait. Il a aussi neutralisé des couleurs avec un aimant ce qui changeait l’aspect positif ou négatif d’une couleur.