André Dumas : Les phénomènes médiumniques

(Extrait de La Science de l’Âme, 2e édition. Dervy-Livres 1980)  Je suis très honteux et affligé d’avoir combattu avec une grande ténacité la possi­bilité des faits qu’on appelle spirites; je dis des faits, car à la théorie, je suis toujours contraire. Mais les faits existent et je me glorifie d’être l’esclave des faits. C. LOMBROSO, […]

André A. Dumas : Manifestations spontanées après la mort

(Extrait de La Science de l’Âme, 2e édition. Dervy-Livres 1980)  L’observateur parfait devra garder les yeux ouverts, de façon à distinguer aussitôt tout fait qui, suivant les théories reçues, ne doit pas se produire ; car ce sont précisément ces faits qui mettent sur la voie de découvertes nouvelles. Sir John HERSCHEL (Discours sur la […]

Léon Denis : Socialisme et spiritualité

Ainsi la philosophie de Jaurès aboutit à cette idée de l’unité univer­selle qui, transportée dans l’ordre social, deviendra la solidarité uni­verselle. Jaurès ne négligeait pas de faire ressortir les conséquences funestes du matérialisme. Dans sa critique de cette théorie, il considérait comme un sophisme le fait de vouloir constater certaines conditions organiques à tout phénomène de conscience, et de vouloir ramener à ces conditions la conscience elle-même. »

Jean-Louis Victor : Le Spiritisme

Le mot « spiritisme » évoque pour beaucoup la possibilité d’entrer en communication avec les morts. Faire du spiritisme équivaut à faire parler une table, un soir avec quelques amis… Le spiritisme représente bien autre chose : c’est non seulement une science avec ses expériences et ses lois mais aussi une philosophie évolutionniste ; comme l’a montré le Dr Geley (ancien directeur de l’Institut métapsychique international) dans son remarquable exposé sur la Synthèse spirite dont nous extrayons quelques passages : « D’après ses adeptes, la doctrine spirite serait une science positive, basée sur l’étude expérimentale des phénomènes psychiques et les enseignements des esprits élevés. « Incessamment perfectible, elle ne doit avancer que pas à pas, réservant les déductions lointaines et les généralisations hâtives, et se bornant à l’exposition des points bien établis….