Sylvain Loisant : La peinture et la thérapeutique

(Revue Le chant de la licorne. No 15. 1986) En méditant sur l’influence considérable de la peinture dans toutes les civilisations humaines, il apparaît qu’elle est investie d’une mission plus importante que son simple rôle culturel. Son principal but est certainement d’accéder à une beauté transcendante, qui rapproche de l’unité divine, tout en ayant une […]

le Dr Ryke Geerd Hamer : Genèse du cancer

Une présentation par le Dr. Hamer de sa thérapie controversée (Revue Le chant de la licorne. No 10. Été 1985) « J’avais cherché le cancer dans la cellule et je l’ai trouvé dans une erreur de codage du cerveau » (R. G. Hamer) Les textes qui suivent sont extraits d’un livre de plus de 500 pages […]

Michel Camlade : Musicothérapie et astrologie

(Revue Le chant de la licorne. No 14. 1986) La musique est probablement la voie royale pour accéder à nos plus hautes potentialités. Elle inspire, elle informe, elle évoque, elle touche au plus profond de nos sentiments, se fraie un passage jusqu’au centre intime de nous-même, jusqu’à l’être essentiel qu’elle sollicite comme un diapason, faisant […]

Martine Belle-Croix : À propos de la musicothérapie

La musicothérapie, tout le monde en parle, tout le monde en fait. Cependant, de quoi parle-t-on ? Que fait-on ? Poser ces deux questions, c’est déjà faire émerger un vaste flou, des imprécisions, de nombreu­ses confusions. Ces quelques lignes n’ont pas pour objet d’expliciter de façon très précise la musicothérapie, mais d’essayer de délimiter le champ professionnel dans lequel évoluent tous les praticiens de l’en­fance inadaptée qui utilisent la musique avec des personnes en difficultés. Leurs objectifs sont pédagogiques, thérapeuti­ques ? Qu’importe, de toutes les façons, la musique est bien là.

Dominique Dussaussoy : Musique et psychosomatique

Selon Altschuler, le stimulus sonore parvient simultanément au thalamus et au cortex, entre lesquels existe un mécanisme d’aller et retour (effet de balance). Cette liaison directe avec les centres thalamiques permet de comprendre pourquoi il est possible d’entrer en contact avec des patients qui ont rompu le contact verbal au cours d’un épisode confu­sionnel, hallucinatoire, dépressif ou autistique. Leur cor­tex ne réagit plus aux stimuli habituels : il semble être court-circuité au profit du thalamus qui devient le cen­tre principal de perception à partir duquel, indirecte­ment, le cortex peut être stimulé, permettant au patient de sortir de son isolement.

le docteur Rosy Bruston : Une thérapie de la réconciliation

Quand moi je vois nos élèves qui sont bouleversés parce que il y a telle ou telle chose qui se passe, qui revient, moi je leur dis : « c’est un bienfait. Soyez contents, nous allons l’enlever, l’éliminer. Dîtes-vous que c’est un grand service que l’inconscient vous rend sinon vous allez vivre empoisonnés par toutes ces histoires. À quoi ça sert de penser toute sa vie que quand on avait tel âge il s’est passé ceci et cela. À quoi ça sert ? Votre inconscient vous dit mais enlève-le, allez désencom­bre-toi, purifie-toi, aère-toi, renouvelle-toi ».

le Dr Jacques Oudot : Médecine systématique et espace thérapeutique

Dans la pratique, chacun d’entre nous peut d’ores et déjà s’exercer à cette nouvelle méthodologie thérapeutique que nous baptiserons « spatiothérapie » ; il suffit d’être attentif à l’agencement de l’espace qui est entre nous et les autres, c’est-à-dire entre nous autres, puisque chacun est au moins l’autre d’un autre (nous ne sommes tous que « autres »). Si on est attentif à la disposition des objets les uns par rapport aux autres, et à l’espace qui nous est commun avec cet agencement d’objets, on est obligé d’interagir ; le seul fait de participer à cet espace d’agencement, ou de réagencement, nous conduit à une certaine délectation ; on devient acteur du monde interpersonnel de la délectation ; c’est le début de la thérapie interactive.