Dans une telle expédition, les bagages sont interdits. Les mains doivent rester libres afin de pouvoir s’agripper. D’ailleurs, rapidement les grimpeurs ont constaté, — sur l’un des versants et sur l’autre, — que les sentiers empruntés étaient comparables à une lame de rasoir, étroits à l’excès comme le sont toujours les chemins de crête. Et même ils se sont aperçus qu’il leur fallait user d’un piolet sur certaines parois rocheuses.