Dès que, par la force des choses, l’homme et la femme se libèrent quelque peu de leur égotisme — c’est généralement dans l’amour, — l’harmonie qui s’établit entre ce qu’ils éprouvent l’un pour l’autre et les événements imprévisibles qui ne dépendent pas d’eux se met à devenir signifiante : signes et intersignes foisonnent. On dirait que tout le réel est devenu pour eux subjectif.