Ma compréhension du monde dans lequel nous vivons s’est sans aucun doute considérablement améliorée depuis que j’ai écrit le matériel qui a constitué la première d’une série de compilations, Fascism rebranded : exposing the Great Reset (Le fascisme relooké : dévoiler la Grande Réinitialisation), une sélection d’essais de 2018 à 2021.
Dans les quatre volumes suivants — The Great Racket: the ongoing development of the criminal global system (Le grand racket : le développement continu du système criminel mondial); Converging Against the Criminocrats: Essays and Talks for the New International Resistance (Converger contre les criminocrates : Essais et entretiens pour la nouvelle résistance internationale); Our Quest for Freedom and Other Essays (Notre quête de liberté et autres essais), puis Against the Dark Enslaving Empire! (Contre l’empire obscur qui asservit !) A condemnation of the global criminocratic conspiracy (Une condamnation de la conspiration criminocratique mondiale) — mes recherches en cours m’ont permis d’être de plus en plus précis dans mes descriptions de l’entité mondiale dont l’existence a été rendue si visible par le coup d’État Covid en 2020.
Mon nouveau livre, The Global Gang Running the World and Ruining Our Lives (Le gang mondial qui dirige le monde et ruine nos vies), tiré de documents initialement publiés en ligne au cours du second semestre 2024 et au début de l’année 2025, fait progresser ce processus au point que, je le soumets avec respect, il ne peut plus y avoir de doute sur la nature et l’identité de la criminocratie.
La vérité révélée en près de 500 pages n’est pas facile à avaler et ne correspond pas à la vision « consensuelle » du monde qui a été délibérément fabriquée par la cabale au pouvoir.
Mais il s’agit d’un événement qui, une fois vu, ne peut être ignoré, et qui est d’une importance si pressante qu’aucune personne de bonne conscience ne peut s’abstenir de faire tous les efforts nécessaires pour le partager avec le plus grand nombre possible de personnes.
Dans le premier de ces essais, Le miroir sans tain de l’oppression (9 août 2024), j’examine la dissimulation et le contrôle mis en place pour cacher et maintenir la réalité inacceptable de notre asservissement au gang mondial : « Ce miroir horizontal agit contre nos intérêts de deux façons. Il permet à la mafia au pouvoir d’espionner chaque détail de nos vies et il cache cette même mafia à notre vue. C’est sûr, certains miroirs sont faits pour être brisés ! ».
Dans Change for the better? (Un changement pour le mieux ? 16 août 2024), je déplore la façon dont le système, tout en prônant son propre type de « changement » néfaste, a entraîné les gens à avoir peur du seul type de changement dont nous avons réellement besoin, qui consiste à nous débarrasser de ses machineries de domination et à réclamer notre liberté.
J’écris : « La perspective de tourner le dos à la centralisation mondiale, au complexe militaro-industriel, à la collecte de données et à la surveillance, à Big Pharma et à la Banque mondiale, aux mines de lithium et aux centrales nucléaires n’a rien d’effrayant ».
« Il n’y a rien d’effrayant à réduire nos sociétés, à cultiver notre propre nourriture, à éduquer nos propres enfants, à créer nos propres cultures, à définir nos propres besoins, à nourrir nos propres valeurs, à vivre aux rythmes lents et profonds de la Terre qui nous a portés ».
Plusieurs personnes m’ont dit par la suite que L’étrange carrière de Samantha Cohen (21 août 2024) leur avait ouvert les yeux.
L’histoire de la vie professionnelle étonnante d’une femme, bien que de peu d’importance à l’échelle globale, nous amène à nous demander s’il s’agit d’une affaire purement individuelle ou si elle a toujours travaillé pour le compte d’une certaine entité qui avait les moyens de la placer à des postes aussi clés et variés au cœur de la monarchie et du gouvernement britanniques, ainsi que de l’industrie internationale. Comme je le demande : « Dans quelle sorte de monde cela signifierait-il que nous vivons ? »
Dans Authenticité : une qualité pour vaincre la quantité (28 août 2024), je me plains : « Tout dans notre société doit servir la faim d’un dieu unique — Mammon. La valeur a été remplacée par le prix, la création par la consommation, la qualité par la quantité ».
Et j’exhorte : « Déclarons-nous partisans de la vie elle-même et de la victoire de son authenticité affirmative sur les forces grises et sinistres de l’artifice et de la mort ! »
La corruption est réelle et écœurante (3 septembre 2024), qui a ensuite servi de base à une vidéo très regardée, fournit d’autres pistes à explorer, si l’on n’est pas convaincu de l’état de pourrissement total de notre société.
Je préviens que nous sommes gouvernés par une mégaorganisation qui ne cherche pas à faire le bien pour nous ou pour notre monde, c’est pourquoi elle doit prendre tant de soin à dissimuler son existence et ses activités. « C’est un syndicat du crime incroyablement vaste, impitoyable, avide et destructeur qui s’est emparé du contrôle mondial par le biais du mensonge et de l’usure, du chantage et de la corruption, de la manipulation et du meurtre ».
L’esprit de Sophia est un essai publié en plusieurs parties (à partir du 12 septembre 2024), basé sur ma lecture d’un livre intitulé Le pays céleste. Je suppose que le concept religieux-mythologique de la sophiologie peut sembler obscur à certains lecteurs, mais en fait il nous conduit au cœur de ce à quoi nous sommes confrontés aujourd’hui.
Je raconte, par exemple, comment Sophia est apparemment apparue en vision à une mystique anglaise du XVIIe siècle et l’a mise en garde contre « le Dragon et la Bête, avec toute sa puissance cornue… que le monde entier a adorée et admirée ».
Elle expliqua que cette vile entité « a longtemps eu le temps d’imposer des lois et des injonctions étranges et qu’elle a été universellement obéie » et déclara que « les sorcelleries et les tromperies ont épuisé de nombreuses générations, qui ignoraient les profondeurs de ce serpent subtil » et les avaient amenées à accepter « ce faux pouvoir et cette fausse autorité usurpés ».
Je me retrouve sur un terrain proche avec Philosophie de la vie, un autre essai en plusieurs parties qui est apparu en ligne le 14 octobre 2024.
Cette étude se penche sur le travail inspirant du philosophe allemand négligé Ludwig Klages, qui affirmait que les avancées modernes dans le domaine de la science et d’autres domaines d’apprentissage « ne servent que le Capital » et a mettait en garde : « Seules quelques personnes ont pris conscience de l’existence réelle de ce Mammon qui s’empare de l’humanité comme d’un outil permettant d’éliminer toute forme de vie terrestre ».
Dans L’industrialisme est une manifestation du mal (28 octobre 2024), je pose la question suivante : « Voulons-nous que l’industrialisme poursuive sa croissance cancéreuse jusqu’à ce qu’il ait tout détruit et tout anéanti ? Voulons-nous que le mal de l’artifice et de la destruction l’emporte sur le bien de la nature et de la vie ? Ou bien est-il temps de repenser, d’oser imaginer un avenir tout à fait différent ? »
Votez pour personne ! (1er novembre 2024) est une très courte mise à jour contemporaine d’une sagesse anarchiste de longue date, dans laquelle je conseille : « Personne n’arrêtera d’armer Israël. Personne ne rendra le pouvoir au peuple. Personne ne remettra en cause le pouvoir des banques centrales. Personne n’arrêtera le vol systématique de votre richesse collective. Personne ne défiera la criminocratie mondiale maléfique. Votez pour Personne ! »
La puanteur du système est un texte assez long, publié à partir du 4 novembre 2024. Les trois parties, basées sur trois livres que je viens de lire, sont comme trois projecteurs éclairant un objet sous des angles différents.
Il faut prendre du recul pour comprendre ce que l’on regarde — ou pour identifier l’odeur de la corruption que l’on sent, pour utiliser le langage de l’article lui-même.
En cherchant à savoir si nous pouvons identifier une « continuité sous-jacente » entre les régimes totalitaires du passé et les États néolibéraux d’aujourd’hui, je me retrouve, une fois de plus, confronté au nom « Rothschild ».
Après cette plongée instructive dans l’histoire récente, je reviens au monde contemporain avec Amsterdam, manipulation mentale et la terrible vérité (13 novembre 2024).
Je me penche ici sur l’affirmation étonnante, faite par l’État israélien et reprise par les médias et les dirigeants politiques dans le monde entier, selon laquelle quelques échauffourées de rue provoquées par des supporters racistes du club de football de Tel-Aviv aux Pays-Bas auraient constitué un « pogrom » antijuif.
Je remarque : « Le décalage évident entre les paroles de la classe dirigeante mondiale et la réalité des rues d’Amsterdam a fait prendre conscience à de nombreuses personnes que quelque chose ne tourne pas rond dans notre monde.
Après avoir toujours réussi à dissimuler leurs activités néfastes par d’innombrables falsifications, les criminocrates sont allés trop loin avec arrogance. Le brouillard de la tromperie s’est dissipé et l’horrible vérité sur leur domination mondiale corrompue et violente est désormais visible pour tous ».
Dans Terrorisme et démonocratie (19 novembre 2024), j’estime que l’utilisation par les autorités du mot « terrorisme » et leur déploiement de mesures « anti-terroristes » contre les dissidents est extrêmement pervers.
J’écris : « Défini comme “l’utilisation de la violence contre des non-combattants pour atteindre des objectifs politiques ou idéologiques”, le terrorisme proprement dit me semble avoir été le plus manifestement déployé par des entités telles que l’Empire britannique, l’Allemagne nazie, l’empire américain ou Israël — et, oui, je suis très à l’aise pour les regrouper ainsi ».
J’en conclus que le terme de criminocratie n’est pas assez fort pour décrire la nature de la mafia impérialiste mondiale massacreuse d’enfants, le terme plus approprié étant celui de démonocratie.
Avec Vérité, essence, connaissance et lumière (25 novembre 2024), je fais un voyage dans le passé à la recherche d’inspiration, notamment à travers la métaphysique du mystique persan Shihab al-Din Yahya Suhrawardi.
J’explique : « C’est comme s’il avait un pied dans le passé de la gnose Grecque, perse et Égyptienne et l’autre dans le futur, avec sa main tendue serrant un précieux parchemin de connaissance universelle héritée qu’il nous invite à prendre de lui et à communiquer à l’humanité du 21e siècle.
Alors que les ténèbres du mal moderne empêchent de plus en plus la moindre parcelle de lumière divine de pénétrer dans ce monde dégradé, nous avons certainement un grand besoin de l’illumination intemporelle de Suhrawardi ! »
La liberté originelle, l’anarque et l’anarchiste (29 novembre 2024) se penche sur le roman Eumeswil d’Ernst Jünger, sur la base duquel je compare et oppose la conception des anarchistes selon l’écrivain-philosophe, et sa propre proposition alternative, celle de l’arnaque, à la vision de ceux qui se proclament aujourd’hui anarchistes.
Je déclare : « Pour moi — et, je dirais, pour le point de vue anarchiste classique —, la liberté individuelle n’est pas quelque chose qui s’oppose au bien-être collectif, mais elle en est un aspect essentiel.
Le bonheur individuel et le bonheur collectif dépendent l’un de l’autre ; ils s’emboîtent comme le yin et le yang du symbole taoïste bien connu. Aucune communauté ne peut être libre si tous les individus qui la composent ne le sont pas, et aucun individu ne peut être libre s’il vit dans une communauté qui ne l’est pas ».
Le contenu de La mafia mondiale unique : les liens multiples de la Fondation Rockefeller avec le sionisme et le néo-impérialisme militaro-industriel et financier (9 décembre 2024) est déjà familier aux milliers de personnes qui ont téléchargé le livret PDF gratuit, ainsi que lu les articles en ligne.
Mais, comme pour Le faux drapeau rouge, un livret antérieur de 2024 qui se trouve dans Against the Dark Enslaving Empire (Contre l’Empire Obscur de l’Esclavage), je pense qu’il mérite d’exister dans le monde réel, dans un livre imprimé, et c’est pourquoi je l’ai inclus ici.
C’est un examen approfondi des membres du conseil d’administration de la Fondation Rockefeller qui confirme, avec force détails, ce que j’ai dit au sujet de la criminocratie.
Je conclus : « Il est évident que l’entité Rockefeller, telle que reflétée par les profils de son président et des administrateurs de sa fondation, n’est pas du tout distincte de l’empire des Rothschild. Elle en fait partie. C’est la même chose.
Ce que l’on découvre en suivant le fil des activités et des affiliations de ces 14 individus, c’est une seule et même toile d’exploitation et de contrôle, impliquée dans le génocide sioniste en Palestine et désireuse de tirer profit d’une vaste vague d’impérialisme industriel en Asie, en Amérique latine et en particulier, en Afrique. Il n’y a qu’une seule mafia mondiale et nous avons vu ici son visage hideux avec une clarté accablante ».
Stickergate et l’effondrement du système (25 décembre 2024) est un article satirique, publié le jour de Noël, qui prétend relayer une partie d’un récit historique publié en 2052 et faisant référence aux événements survenus juste avant le « Grand soulèvement ».
L’historien du futur parle d’un incident représentant une étape importante dans « la prise de conscience et le rejet par le public de la domination industrielle-financière-politique des Rothschild qui, comme nous le verrons, a conduit non seulement à l’effondrement ignominieux du gouvernement britannique, mais finalement à l’effondrement de l’ensemble du système mondialiste ».
Pour une résistance populaire ! (1er janvier 2025) est un court article pour The Acorn marquant le début d’une nouvelle année, dans lequel j’écris : « La résistance d’un seul peuple qui s’élèvera contre la mafia mondiale unique ne sera pas une sorte d’organisation hiérarchique — si une telle chose émergeait un jour, ce serait sans aucun doute un autre dispositif de faux drapeau fabriqué par la criminocratie elle-même.
Il s’agira plutôt d’un phénomène populaire très large, d’un “quelque chose dans l’air”, d’une vague d’indignation et de révolte populaires qui prendra de l’ampleur au fur et à mesure qu’elle déferlera sur le monde ».
La population britannique est attaquée (1er janvier 2025) est un article du même bulletin qui se concentre sur le nouveau premier ministre britannique Keir Starmer et son sinistre programme mondialiste.
J’écris : « Non seulement son régime ne se préoccupe manifestement pas du bien-être des Britanniques ordinaires — contrairement à celui des Ukrainiens ou des Israéliens — mais il semble qu’il souhaite activement la mort de la plupart d’entre eux ! »
Rarement la réalité qui se cache derrière la mafia mondiale ne m’est apparue aussi clairement que lors de mes recherches pour La vérité sur Davos (17 janvier 2025).
À partir de comptes rendus enthousiastes du dîner de shabbat du vendredi soir, qui est apparemment le point culminant de la fête annuelle du Forum économique mondial en Suisse, j’ai suivi des fils conducteurs qui ont révélé une complicité très étroite, pour ne pas dire plus, entre la conspiration de Davos et le sionisme mondial.
Et si quelqu’un se demande si cela signifie que je remets maintenant en question l’exactitude du titre de mon essai de 2020 « Klaus Schwab et sa grande réinitialisation fasciste », la réponse est un « non » retentissant !
Modernisation signifie pillage et profit (31 janvier 2025) est une étude de la politique et de la société françaises dans les décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, mais ses leçons s’appliquent également à n’importe quel coin du monde contemporain.
Dans une vague de propagande en faveur du développement industriel, tout ce qui était traditionnel ou enraciné dans le passé était dépeint comme mauvais, démodé, dépassé et devant être balayé par le grand balai d’acier du « progrès ».
Pour faire avancer cette cause, ce qui a été décrit comme une « toile d’araignée » d’influenceurs a été mise en place, occupant rapidement des rôles clés dans la fonction publique, le monde universitaire et les médias.
L’implication d’acteurs extérieurs au pays est clairement visible et parmi les organisations connues pour avoir financé cet agenda de « changement » à la recherche de profit, cette remise en cause mondialiste de la vie traditionnelle française, ne figure nulle autre que nos vieux amis de la Fondation Rockefeller.
La relecture de dix années de The Acorn, le bulletin en ligne que j’édite sur le site Winter Oak, m’a apporté une grande compréhension personnelle.
Pour s’en faire une idée, il suffit de jeter un coup d’œil sur les sous-titres des différentes sections de Une décennie de dissidence : 10 ans et 100 Acorns (6 février 2025) : Ennemis de la modernité ; Contre la dictature des entreprises ; Parasites au pouvoir ; Résistance et opérations psychologiques (psyops) ; La violence du système ; Nous sommes les 99 % ; La vague tourne, le brouillard se dissipe ; Défier les psychopathes mondiaux ; Calomnies et révélations ; Sionisme et criminocratie ; La lutte continue.
Lorsque j’ai terminé cette rétrospective, qui s’est avérée beaucoup plus complète et approfondie que je ne l’avais initialement prévu, je me suis assis et j’ai écrit, pratiquement en une seule fois, le dernier article présenté ici, Zisglom (6 février 2025).
Cet article — comme le livre dans son ensemble — n’est pas seulement un résumé de ce que j’ai appris en 2024 et 2025, ni de ce que j’ai écrit depuis une dizaine d’années, mais de tout ce que j’ai lu, vu, entendu, expérimenté et rassemblé au cours de plusieurs décennies passées à mener une série de luttes apparemment distinctes contre ce que je sais aujourd’hui être les différentes têtes hideuses d’une même et monstrueuse hydre mondiale.
Les essais contenus dans le livre peuvent tous être trouvés en ligne, mais avec la censure croissante de l’internet, cela pourrait ne plus être le cas. Vous pouvez conserver votre propre copie du contenu en téléchargeant gratuitement The Global Gang ici ou en achetant une copie imprimée ici.
Texte original publié le 25/3/2025 : https://off-guardian.org/2025/03/25/the-global-gang-running-the-world-and-ruining-our-lives/