Arthur Firstenberg
La technologie la plus dangereuse jamais inventée partie 3

Troisième partie LES TÉLÉPHONES PORTABLES SONT VOUÉS À DISPARAÎTRE Le jour où les téléphones portables ont été mis en service à New York, j’étais absent de chez moi pour une conférence juridique de trois jours. Le jour de mon retour à la maison, j’ai été pris de vertiges. En l’espace de quelques jours, j’ai eu […]

Troisième partie

LES TÉLÉPHONES PORTABLES SONT VOUÉS À DISPARAÎTRE

Le jour où les téléphones portables ont été mis en service à New York, j’étais absent de chez moi pour une conférence juridique de trois jours. Le jour de mon retour à la maison, j’ai été pris de vertiges. En l’espace de quelques jours, j’ai eu aussi des nausées et des tremblements incontrôlables. J’ai eu la première crise d’asthme de ma vie. Mes globes oculaires semblaient sortir de leur orbite, mes lèvres étaient sèches, grasses et bouffies, j’ai senti une pression dans ma poitrine et la plante des pieds me faisait mal. Je suis devenu si faible que je ne pouvais plus soulever un livre. Ma peau est devenue si sensible que je ne pouvais plus supporter d’être touché et je pouvais à peine supporter mes vêtements. Ma tête rugissait comme un train de marchandises. Après le quatrième jour, je ne pouvais plus ni dormir ni manger. Au cours de la sixième nuit, j’ai eu trois spasmes au niveau du larynx. A chaque fois je ne pouvais ni inspirer ni expirer et j’avais l’impression d’être sur le point de mourir. J’ai quitté la maison le lendemain matin, pour ne jamais y revenir.

Cela n’est pas arrivé seulement à moi ou seulement à quelques personnes. À partir du 14 novembre 1996, le jour où Omnipoint Communications a mis en service toutes ces tours de téléphonie mobile, des centaines de milliers de New-Yorkais sont soudainement tombés malades. Beaucoup pensaient avoir une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral ou une dépression nerveuse. Le Département de la Santé a appelé cela une épidémie de grippe qui a duré jusqu’au mois de mai suivant. Ils ne se sont même pas demandé pourquoi cela n’avait atteint que la ville de New York, mais aucune autre ville voisine. Les statistiques hebdomadaires de mortalité des Centers for Disease Control ont montré une augmentation de 17 % dans la ville, à partir de la semaine du 17 novembre, et pour une durée de 11 semaines, avec un total de 2 300 personnes décédées.

L’épidémie n’a frappé Boston que l’année suivante lorsque Sprint a commencé à y être en service le 12 novembre 1997. La mortalité a augmenté pendant 16 semaines pour atteindre 15,5 %. Elle a frappé San Diego lorsque Pacific Bell a commencé à y être en service le 1er novembre 1996 et a duré 17 semaines, elle a fait augmenter la mortalité de 14,5%. Elle n’a pas touché la ville proche de Los Angeles avant l’été suivant lorsque Pacific Bell a commencé à y être en service le 3 juillet 1997 ; la mortalité a augmenté de 30 % au cours des 15 semaines suivantes. Elle a frappé Philadelphie au printemps, lorsque Sprint a commencé à y être en service le 3 avril 1997, et Detroit à l’automne, lorsque Sprint a commencé à y être en service le 15 octobre 1997. Elle a frappé Jacksonville, en Floride, l’automne précédent, lorsque Powertel a commencé à y être en service le 15 octobre 1996.

Elle a frappé Chicago, Milwaukee, Austin, San Antonio, Fort Worth, Houston, Atlanta, Fresno, Spokane, Portland, Sacramento, Charlotte et Tulsa, en commençant dans chaque ville le jour même où le service de téléphonie portable numérique devenait disponible dans ces villes.

J’ai appris, en 1996, que les niveaux de puissance ne comptaient pas. Puisque le rayonnement micro-ondes m’avait presque tué à Brooklyn après seulement six jours d’exposition, j’en déduisais que les niveaux de rayonnement devaient être extrêmement élevés. J’ai donc fait appel à un ingénieur professionnel, Stuart Maurer, pour procéder chez moi à des mesures de rayonnement à l’aide de son analyseur de spectre. J’ai quitté ma chambre d’hôtel à la campagne et suis descendu à New York pour le rencontrer. À mon grand étonnement, le niveau le plus élevé qu’il a mesuré, où que ce soit dans ma maison, était de 0,0001 microwatt par centimètre carré. Il est clair que j’avais encore beaucoup à apprendre sur le rayonnement micro-ondes ; de plus, beaucoup de choses que je pensais savoir étaient fausses.

La même chose se produit maintenant avec la 5G, mais cette fois-ci, au lieu de blâmer un virus de la grippe, la société blâme un coronavirus. Et cette fois, ça se produit partout à la fois au lieu de toucher les villes une par une. Le 13 octobre 2020, Verizon a publié un communiqué de presse annonçant la disponibilité de son réseau 5G à travers les États-Unis et, le même jour, Apple a publié un communiqué annonçant le lancement de son téléphone 5G, l’iPhone 12. Les iPhone 12 et 12 Pro ont été disponibles dans les magasins le 23 octobre ; les iPhone Mini et Max ont été disponibles début novembre. Et dans tous les États sauf deux, la mortalité a commencé à augmenter soudainement la semaine du 24 octobre ou peu après, mais pas plus tard que la semaine du 21 novembre. Les deux exceptions ont été le Wisconsin, où le pic de mortalité a commencé la semaine du 17 octobre, et Hawaï, où le nombre de décès n’a pas augmenté de façon significative l’hiver dernier. À l’échelle nationale, la mortalité a augmenté en moyenne de 25 % pendant 20 semaines, et 300 000 personnes sont décédées.

De même cela arrive partout à la fois pour les oiseaux, les insectes, la faune et la flore. Un correspondant à Knoxville, Tennessee m’a écrit la semaine dernière : « Au cours des derniers mois, j’ai remarqué cinq bourdons sur nos fleurs et ils m’ont semblé paralysés. Nous avons malheureusement la 5G Ultra Wideband de Verizon très près de chez nous qui est seulement disponible à l’extérieur, et je pense que c’est ça qui les touche. Nous avons amené quatre d’entre eux dans notre maison, chacun à des moments différents ; trois des quatre se sont rétablis au bout d’environ 5 minutes, alors je les ai relâchés à l’extérieur. Le quatrième a mis un peu plus d’une heure avant de pouvoir s’envoler. »

Un autre observateur, à East Dover, dans le Vermont, a écrit, il y a quelques jours: « Nous cultivons 3 acres (1,5 ha) de plants de cassis, 200 plants de myrtilles (11 variétés) et quelques plants de nouvelles baies. Notre petite ferme est certifiée biologique avec 8 acres (3,25 ha) ouverts certifiés (dont 3 (1,5 ha) sont plantés) ; le reste des 31 acres (12,55 ha) est boisé. Les cassissiers ont une floraison précoce et nos 4 variétés fleurissent à quelques jours d’intervalle. Il y a vraiment beaucoup d’insectes pollinisateurs différents qui viennent dans les champs, dont un certain type de bourdon à point rouge. Il est merveilleux de voir et d’entendre butiner au loin tous ces insectes différents.

« Ce printemps, alors que je marchais dans les rangées et que j’admirais les arbustes en fleur, je me suis soudain arrêté, frappé par le calme presque complet. Il y avait deux bourdons parmi les 2 225 buissons de cassis, leur bourdonnement était d’autant plus perceptible que tout était silencieux.

Lorsque j’en ai parlé à un cultivateur de pommiers de la cinquième génération, il m’a dit que non seulement il n’y avait pas de pollinisateurs cette année, mais que la saison de pollinisation était passée. Par exemple, ses asperges étaient en avance de deux semaines (les nôtres aussi). Par rapport à 2020, cette année nos cassissiers ont été en fleur avec deux semaines d’avance.

« Le printemps a été froid et je pensais que cela retarderait la floraison. C’est donc pour une autre raison que les insectes n’étaient pas encore là. Deux semaines, c’est beaucoup de temps ! Les myrtilliers aussi sont généralement précoces et donc la succession habituelle de la floraison des différentes variétés a été modifiée.

« Le lendemain, j’ai couru jusqu’à Forever Wild chez un éleveur d’abeilles mellifères où j’ai obtenu une palette de quatre ruches. Il faisait trop froid pour que les abeilles volent, elles sont donc restées dans leurs ruches au milieu d’une magnifique floraison de cassissiers. Apparemment, les bourdons volent lorsqu’il fait moins de 50°F (10°C), mais les abeilles ont besoin d’au moins 59°F (15°C). L’apiculteur a déclaré qu’elles pollinisent un quart de l’État (Vermont) et que tous les gars du nord (principalement cultivateurs de pommiers) ont dit la même chose : pas de pollinisateurs et en particulier pas de bourdons.

« Une autre curiosité cette année a été le fait que nous avons eu très peu de scarabées japonais. Cela pourrait être dû au fait que l’année a été extrêmement humide, mais il est intéressant de noter que les coléoptères et les bourdons hivernent tous les deux sous terre. De plus, lorsque j’ai rendu visite à mes parents en septembre à Concord, dans le Massachusetts, ma mère a souligné que tous les chênes avaient des taches sombres sur les feuilles. Toutes les feuilles de nos arbres ont les mêmes taches ici dans le sud du Vermont et surtout le hêtre et le peuplier faux-tremble. J’ai planté nos premiers plants de baies en 2014, donc je n’ai pas une grande expérience en tant que propriétaire et gestionnaire d’une ferme, mais j’espère continuer mes observations et j’ai l’intention de refaire cette expérience avec une protection en aluminium (telle celle qui a été faite par Katie Haggerty) sauf pour les cassissiers. »

Une naturaliste en Grèce, Diana Kordas, a écrit en octobre de l’île de Samos en Méditerranée orientale :

Je vis à la campagne à quelques kilomètres de la capitale de Samos, Vathi, qui se trouve au fond d’une grande baie et en face du village touristique de Kokkari. En juillet de cet été 2021, une tour pilote de téléphonie mobile 5G a été mise en service u-dessus de Kokkari. Cette tour de téléphonie mobile se trouve de l’autre côté de la baie par rapport à nous, l’un de ses deux panneaux pointe directement vers nous et se trouve à la même hauteur au-dessus du niveau de la mer que notre propriété. Elle est à une distance d’environ 6 kilomètres.

« Là où nous vivons, nous sommes entourés de tours de téléphonie mobile et de boosters (14 au total) fonctionnant aux fréquences 2G, 3G et 4G. Il y a eu une diminution progressive de la vie des insectes et des oiseaux au cours des dernières années, en particulier depuis 2014 lorsque la 4G est arrivée ici. De nombreuses espèces sont affectées ; nous avons perdu la dernière des lucioles (nous en avions beaucoup) il y a deux étés. Cela fait des années que nous n’avons pas eu d’insectes écrasés sur le pare-brise de la voiture pendant que nous roulions. Mais depuis que cette tour 5G de l’autre côté de la baie a été mise en service, nous avons perdu presque tous les pollinisateurs et bien plus encore.

« Au début de l’été, nous avons eu un grand nombre de pollinisateurs : bourdons, abeilles, de nombreuses espèces d’abeilles sauvages, abeilles charpentières, guêpes de toutes sortes et syrphes. Nous les remarquons alors que nous cultivons tous nos fruits et légumes. Nos récoltes de début d’été ont été pollinisées sans problème, mais les melons, tomates et courgettes que nous avons plantés début juillet ont donné très peu de fruits, car ils n’ont pas eu beaucoup de pollinisateurs alors qu’il y avait beaucoup de fleurs. Pas une seule courgette n’a été pollinisée et les tomates n’ont produit que 3 fruits ; les melons (pas autant que nous l’aurions imaginé) semblent avoir été pollinisés par de minuscules papillons nocturnes.

« Nous sommes propriétaires d’un terrain de 3,5 acres (1,5 ha) ce qui est une grande propriété pour l’île. Il possède de nombreux grands arbres (pins, cyprès, caroubiers, pistachiers sauvages, oliviers, amandiers, un bosquet d’arbres à gomme mastic extrêmement rare) et quelques arbres fruitiers (abricotiers, pruniers et poiriers) ainsi que des champs d’herbes et de plantes sauvages. Je dois noter ici que nous n’utilisons aucun pesticide et qu’aucun de nos voisins n’en utilise non plus ; ainsi la plupart des terres qui nous entourent sont sauvages à la fois en haut de la montagne et en bas jusqu’à la mer. Nos terres n’ont jamais reçu de pesticides et je dirais que la même chose est probablement vraie pour la plupart des terres qui nous entourent. Ce n’est PAS un problème de pesticides.

« Nous laissons également nos terres aussi sauvages que possible, et à l’exception des parcelles que nous cultivons, les plantes sauvages peuvent pousser librement : herbe, fleurs (beaucoup d’orchidées) et beaucoup de fenouil sauvage. Il y a beaucoup de buissons et de haies (je ne connais pas les noms anglais de ces plantes). La plupart des arbres ont plus de 100 ans et certains des cyprès ont plus de 300 ans.

« Lors de la plantation, nous avons l’habitude de mettre entre les plants du basilic et des zinnias qui attirent les pollinisateurs. Nous mettons aussi des soucoupes d’eau pour que les abeilles puissent boire. Nous avons généralement beaucoup d’abeilles, de papillons, de syrphes, de guêpes, etc., de toutes espèces, et nous avions de nombreux pollinisateurs jusqu’à récemment. Le déclin a commencé en juillet lorsque la tour a été mise en service.

« Les abeilles et autres pollinisateurs, ainsi que la plupart des insectes ont maintenant presque tous disparu. Nous le savons pour plusieurs raisons : l’une est ce que nous voyons (ou ne voyons pas) sur les parterres de légumes, l’autre est ce que nous voyons généralement (ou ne voyons pas, c’est à dire presque rien) et le plus important est ce que nous ne voyons pas sur les caroubiers. Chaque année à cette époque, les caroubiers mâles fleurissent abondamment et attirent des centaines de pollinisateurs : abeilles de toutes sortes, guêpes, frelons et syrphes. On ne peut pas s’approcher de ces arbres sans être conscient d’un bourdonnement bruyant, les insectes s’y affairent toute la journée. Ces arbres sont en fleur pendant environ un mois, ils sont en pleine floraison, mais, à ce jour, il n’y a pratiquement aucun insecte : ici et là un bourdon, une abeille, quelques frelons, quelques mouches d’espèces différentes, un couple de minuscules abeilles sauvages. Et nous vérifions tous les jours, plusieurs fois par jour.

« Ce n’est pas non plus à cause de la météo. Depuis que les caroubiers sont en fleurs, nous avons eu une météo changeante, des vents forts du nord aux vents du sud assez forts, entrecoupés de nombreux jours calmes. Il a plu une fois. Les températures sont dans la moyenne saisonnière. Vent ou pas, chaud ou frais, il n’y a pratiquement pas de pollinisateurs sur les caroubiers.

« Un jour, nous avons également vérifié la présence d’abeilles sur chaque caroubier mâle que nous pouvions trouver entre ici et Kokkari : pas une seule abeille sur les caroubiers en fleurs pas plus d’ailleurs que d’autres insectes, à l’exception de quelques mouches.

« Les caroubiers en fleurs sont un bon indicateur des pollinisateurs, car ils en attirent beaucoup. Cela est propre à certaines plantes, telles que la joie du voyageur/la griffe de chat — une vigne grimpante épineuse qui a des fleurs très odorantes et fleurit en cette saison (nous n’y avons pas vu de pollinisateurs non plus) — et les fleurs d’oignons, qui habituellement attirent tous les types possibles de guêpes et de frelons (mais pas d’abeilles). Nous n’avons pas de fleurs d’oignons maintenant, mais dans le passé lorsque nous en avions, nous avions une grande quantité de guêpes et de frelons, y compris de nombreuses espèces que nous n’identifions pas.

« Sur nos terres, au moment où j’écris ces lignes, nous avons perdu non seulement les abeilles, mais toutes sortes d’autres insectes : des coléoptères de toutes sortes, y compris des hannetons et des coccinelles, des araignées tisseuses, des mantes et des papillons diurnes et nocturnes (nous observions toujours de grands nuages d’agrestes (une espèce de papillons) sur les pins en juillet-août, mais quasiment pas cette année), des libellules de toutes sortes, des sauterelles et des grillons. Octobre est la saison des libellules, et nous avons actuellement le temps chaud et calme qui leur permet d’arriver par milliers. Cette année, nous en avons peut-être le centième du nombre habituel. Nous avons quelques frelons (pas autant que d’habitude), des taons (moins que d’habitude) et des mouches (qui semblent de tous les insectes les moins touchés).

« Nous avons encore des moustiques, mais je pense que c’est parce qu’ils se reproduisent dans notre citerne qui a des murs en pierre de 60 cm d’épaisseur et un toit en ciment – elle est donc protégée des champs électromagnétiques. Les moustiques pénètrent par le tuyau de trop-plein et de minuscules trous dans les pierres qui recouvrent les trous de drainage. Notre voisin qui a une citerne à toit ouvert et avait des milliers de larves de moustiques dans l’eau (et un gros problème de moustiques) plus tôt dans l’été n’a maintenant plus de moustiques. J’ai vérifié, il n’y a plus de larves dans l’eau de sa citerne.

«Je ne peux attribuer tout cela qu’à la tour 5G, car rien d’autre n’explique la baisse soudaine et sévère du nombre d’insectes ici. La tour a été mise en service en juillet et les pertes que nous constatons se sont produites depuis juillet. Je pense aussi qu’on assiste à une baisse du nombre de petits rongeurs : rats, souris et campagnols. Nous ne perdons plus de fruits et légumes à cause des souris ou des rats, ce qui était le cas auparavant. De plus, sur un terrain sauvage comme celui-ci, habituellement on voit leurs traces ou on voit des queues disparaître dans le rayon d’une torche la nuit, ou on les entend (les rats arboricoles peuvent être assez bruyants), mais il semble qu’ils aient disparu ou qu’ils soient en passe de disparaître. Mon voisin n’arrête pas de trouver des rats morts, pourtant il ne les a jamais empoisonnés et donc le poison n’est pas la cause de leur mort.

« Nous constatons également des changements dans le comportement des animaux. Nous nourrissons un certain nombre de chacals dorés qui ont des problèmes de chasse en raison du manque d’animaux sauvages dans la région. La baie de Samos est — et nous par la même occasion — déjà entourée de nombreuses tours et de boosters en plus de la nouvelle tour 5G ; la faune, y compris les insectes et les oiseaux, est en déclin depuis des années. Cependant, au cours des dernières semaines, le nombre de chacals s’approchant de nous a triplé et ils présentent des symptômes d’anxiété extrême, ils nous suivent le soir et commencent maintenant à apparaître également pendant la journée (il s’agit à l’origine d’animaux nocturnes). Ce sont des animaux sauvages que nous ne traitons pas comme des animaux de compagnie, mais certains d’entre eux deviennent même collants, s’approchant de nous et restant assis pendant un certain temps à quelques mètres de nous. Certains d’entre eux, qui n’étaient pas agressifs auparavant, deviennent maintenant très agressifs avec d’autres chacals et des combats éclatent souvent entre eux.

« La zone connaît également des problèmes avec les sangliers qui sont également à la recherche de nourriture. Nous avons eu plusieurs rencontres trop rapprochées avec ces grands animaux dangereux (qui apparaissent également à des moments où ils ne devraient pas, avant le coucher du soleil) et creusent de grandes portions de notre terrain la nuit. J’ai été chargée par un sanglier et mon mari aussi. De nombreuses personnes les voient pendant la journée. Ils ont retourné la terre dans les jardins, les bosquets et sur les bas-côtés de la route. Cela ne s’est jamais produit auparavant.

« Le nombre d’oiseaux diminue. Nous avons encore un nombre assez important de mésanges charbonnières et de fauvettes sardes, qui s’accrochent aux haies épaisses et aux grands arbres, mais nous avons perdu tous les pouillots véloces et les pinsons. Nous avons quelques merles, mais cela fait longtemps que nous n’avons vu ni grives musiciennes ni roitelets. Les rouges-gorges ne sont pas arrivés du Grand Nord, alors qu’ils auraient dû l’être maintenant. Nous avons un couple de chouettes hulottes, mais les chevêches d’Athéna ont disparu. Nous avons des geais et des corneilles, quelques tourterelles (en diminution) et des palombes, mais ils sont devenus peu nombreux ces derniers temps. Le nombre de goélands (goélands leucophées) est en baisse et les cormorans huppés qui étaient toujours sur la plage en contrebas de nos terres ont complètement disparu. Il y a maintenant moins de rapaces — nous avons des éperviers, des faucons d’Eleanore, des autour, des buses et des circaètes-jean-le-blanc (ils évitent cette zone maintenant, mais nous les voyons ailleurs) ainsi que des corbeaux.

« Nous n’avons vu pratiquement aucun oiseau migrateur dans cette région cet automne : quelques gobe-mouches, quelques pies-grièches écorcheurs et un vol de mouettes pygmées s’envolant vers la mer, c’est tout. Nous avons entendu, mais n’avons pas vu un groupe de guêpiers qui ne s’est pas arrêté ici comme d’habitude.

« En conclusion, les tours de téléphonie mobile en général ont diminué le nombre d’insectes et de pollinisateurs dans cette zone ainsi que le nombre d’oiseaux et d’animaux sauvages en général. La nouvelle tour 5G a eu un effet dévastateur en très peu de temps, mais il est impossible d’en connaître toutes les conséquences avant le printemps prochain au plus tôt. »

Ceux d’entre vous qui se souviennent des pare-brise de voitures éclaboussés d’insectes, des jardins illuminés par les couleurs des papillons et bourdonnants d’abeilles, des chœurs bruyants de grillons sur terre et de grenouilles dans les étangs, et des vols serrés d’oiseaux chantant leur joie de vivre, comprendront ce que je vais dire. Les téléphones portables sont voués à disparaître. Que les gens y renoncent volontairement est une autre question.

Si les gens renoncent volontairement à leurs téléphones portables, l’amélioration soudaine et spectaculaire de la santé et du sentiment de bien-être de chacun — et le retour de toutes nos espèces cousines perdues et en voie de disparition qui tentent toujours de partager la Terre avec nous — redonneront espoir à l’espèce humaine et catalyseront d’autres changements qui deviendront soudainement possibles, notamment la fin de l’exploitation minière et de l’utilisation des combustibles fossiles qui convertissent l’oxygène de notre air en dioxyde de carbone, acidifient nos océans, polluent nos rivières, lacs, ruisseaux, eaux souterraines et remplissent les océans, les sols, l’atmosphère et nous-mêmes de particules de plastique.

Si les gens ne renoncent pas volontairement à leurs téléphones portables, alors notre planète n’a pas longtemps à vivre et les téléphones portables mourront avec la Terre. Dans les deux cas, ils sont voués à disparaître. Veuillez vous joindre à moi pour travailler à la restauration de notre maison. Si vous ne l’avez pas encore fait, signez l’Appel international pour arrêter la 5G sur Terre et dans l’Espace. Si votre organisation a un statut de consultant auprès des Nations Unies et a la capacité de soumettre officiellement cet appel aux Nations Unies, contactez-moi. Si votre organisation s’oppose à la 5G et que vous ne l’avez pas encore fait, contactez-moi à info@cellphonetaskforce.org pour signer le mémoire d’amicus soutenant notre affaire devant la Cour suprême. Veuillez télécharger, sauvegarder et distribuer les parties I, II et III de cette série. Si vous possédez ou utilisez encore un téléphone portable, jetez-le maintenant, et si vous n’avez pas de ligne fixe, procurez-vous-en une.

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Arthur Firstenberg

Auteur, L’arc-en-ciel invisible : une histoire de l’électricité et de la vie

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27 octobre 2021

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