Gilbert Altenbach et Boune Legrais
L'homme du XXe siècle face aux forces cosmo-telluriques

(Revue 3e Millénaire. Ancienne série. No 16. Septembre-Octobre 1984) (Institut de recherches en radiesthologie et médecine géodynamique) La réalité des forces Cosmo-telluriques, que connaissaient nos ancêtres, est encore âprement discutée par la plupart des hommes dits de science. Pourtant, combien de petits et grands maux trouvent-ils leur guérison dans la simple modification de la disposition […]

(Revue 3e Millénaire. Ancienne série. No 16. Septembre-Octobre 1984)

(Institut de recherches en radiesthologie et médecine géodynamique)

La réalité des forces Cosmo-telluriques, que connaissaient nos ancêtres, est encore âprement discutée par la plupart des hommes dits de science. Pourtant, combien de petits et grands maux trouvent-ils leur guérison dans la simple modification de la disposition des meubles (pour ne citer que ce qui est le plus facile à constater). Jacques La Maya dans son livre « La médecine de l’habitat » (Ed. Dangles) avait déjà révélé la complexité et l’importance capitale de ces forces méconnues. Avec Boune Legrais et Gilbert Altenbach, nous comprendrons plus en détail d’où vient cette source de bonheur et (hélas si souvent dal notre monde moderne) avec ces ondes nocives dans lesquelles, sans le savoir, nous baignons si souvent, et surtout comment les dépister et nous en protéger. Le mieux vivre aujourd’hui est à ce prix et vaut que l’on y réfléchisse d’urgence.

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Depuis que nous avons changé d’appartement nous ne pouvons plus dormir…

Au réveil, nous trouvons notre fils recroquevillé dans un coin du lit et nous n’arrivons pas à guérir son énurésie…

Je ne travaille plus depuis quelques mois et depuis, je vais de dépression en dépression. Pourtant, dès que nous partons en vacances, tous mes problèmes disparaissent comme par enchantement mais réapparaissent quelques jours après notre retour.

De plus en plus fréquemment nous entendons autour de nous ce genre de doléances. Pourquoi ?

Nos cellules vivent et s’épanouissent dans l’équilibre de la dualité des forces telluriques qui jaillirent du centre de la Terre et les forces cosmiques, venant du cosmos, qui les rééquilibrent.

L’énergie qui maintient en cohésion les atomes de notre corps est la même que celle qui permet le transport de la lumière du soleil. C’est également cette énergie qui est utilisée par les végétaux pour croître et se développer.

Le sol sur lequel nous vivons est de polarité négative, alors que l’air est de polarité positive. Notre être est basé sur des principes d’échanges électriques positifs et négatifs qui engendrent un champ magnétique. Nous sommes donc faits pour vivre à la surface du sol, directement en contact avec la polarité négative.

L’harmonie entre la dualité des forces cosmiques et telluriques détermine la qualité biotique, c’est-à-dire l’onde de vie, ou la vitalité d’un lieu. Certains éléments du sous-sol peuvent occasionner un déséquilibre vibratoire et créer des zones qui ont une influence négative sur la santé.

Ces éléments sont les cours d’eau souterrains, les grottes, les cavités, les poches de gaz, les variations de champ magnétique terrestre, les croisements de rayons tellurgiques… (problèmes géopathogènes).

Les trois enveloppes protectrices de la vie

Pour la plupart d’entre nous il est difficile de croire à la réalité de ces problèmes « géopathogènes » puisque nous avons depuis longtemps adopté un mode de vie sain et équilibré et portons des vêtements en fibres naturelles. Par les forces de l’esprit, certains se sont tournés vers une pensée positive et créatrice. D’autres voyant leur état de santé s’aggraver ont eu recours à différentes médecines, dites naturelles, sans avoir pourtant d’amélioration notable.

Si dans certains cas la maladie subsiste, c’est qu’au fil des siècles, l’humain a oublié que, pour s’épanouir, physiquement, psychiquement et spirituellement, il devait respecter les trois enveloppes essentielles qui protègent cette vibration qui est la VIE.

· La 1re enveloppe protectrice est notre corps que nous devons entretenir avec une alimentation saine.

· La 2e enveloppe protectrice est notre vêtement qui doit être fait de fibres naturelles.

· La 3e enveloppe protectrice, celle qui au fil des siècles a été « oubliée », négligée et qui pourtant est la base de notre équilibre, de notre santé et de notre évolution, c’est notre environnement et plus spécialement notre habitation.

Cela nous conduit à nous poser certaines questions ;

De nos jours, où sont édifiées nos habitations ?

Avec quels matériaux et comment sont-elles construites ?

Comment sont-elles aménagées ?

En analysant ces différents points de base nous aurons la clé de beaucoup de nos maux et de nos problèmes qui, jusqu’à ce jour, nous paraissaient insolubles.

La géobiologie et le quadrillage tellurique

Les personnes qui sont « mal dans leur habitation » peuvent faire appel à un technicien de la médecine géodynamique (ensemble de techniques permettant de replacer l’Homme dans un milieu vibratoire harmonieux, générateur d’un meilleur équilibre physique et psychique). Les travaux de ce spécialiste (les authentiques sont encore très rares en France) seront basés sur les données de la géobiologie.

La géobiologie comprend l’étude du sous-sol sur tout ce qui a vie, avec son influence sur l’homme. Le rapport de l’expert est déterminant pour comprendre et interpréter les résultats repris ensuite par la bio-architecture et la thérapie cosmo-tellurique, dans le but d’aboutir à un habitat sain.

Une expertise géobiologique consiste à « ressentir » le lieu par toute une variété d’observations : l’environnement par le végétal, l’habitat par sa forme extérieure, ses façades, son orientation, implantation, ensoleillement. L’intérieur de l’habitat livre au spécialiste d’autres indications par le volume des pièces, leurs proportions et disposition. Il observe les objets mobiliers, les couleurs, les surfaces vitrées, repère les gaines techniques et les fluides, répertorie la qualité des matériaux. Et enfin il « mesure » l’influence tellurique, résultat de l’interférence cosmo-tellurique, ainsi que la « mémoire » des murs.

Quadrillage tellurique (réseau Hartmann) couvrant toute la surface de la terre, formé de lignes orientées Nord-Sud et Est-Ouest.

Les croisements de ces lignes — appelés nœuds géopathogènes — sont distants de 2 m dans le sens Nord-Sud et de 2,50 m dans le sens Est-Ouest (en Europe actuellement).

L’espace entre les lignes est une zone neutre.

Parfois, ce quadrillage laisse apparaître soit des déformations soit des lignes secondaires.

Les recherches scientifiques actuelles s’accordent à démontrer l’existence d’un quadrillage tellurique réparti sur toute la terre et constitué de lignes distantes de 2 m à 2 m 50, orientées Nord-Sud et Est-Ouest. Aux croisements de ces lignes nous avons les redoutables nœuds pathogènes que nous déterminons avec précision afin de mieux les éviter.

Ce quadrillage peut être comparé à de gigantesques murs verticaux d’une épaisseur d’environ 25 cm. Ce rayonnement tellurique subit des influences résultant de la variété des observations décrites plus haut ; il subit également les interférences des rayons cosmiques ; il sera alors possible de déterminer ces influences sur le corps humain, elles peuvent être bénéfiques (il y aura alors harmonie ou affinité structurelle avec les forces cosmo-telluriques), ou géopathogènes (il en résultera alors un déséquilibre cellulaire).

Par ce constat un expert est en mesure de déterminer le degré de pathogénésie du lieu et son influence sur l’homme ; il soumettra ces résultats à la bio-architecture et à la thérapie cosmo-tellurique, afin d’apporter la solution qui convient.

Enfin, précisons qu’une entreprise géo-biologique ne prend toute sa dimension qu’avec la participation active de la personne qui l’a sollicitée.

Chambre à coucher avec un lit sur un croisement amplifié par un cours d’eau, une armoire à glace et une gaine technique.

Notez l’emplacement de la coiffeuse en oblique ; cela ajoute encore une onde de forme négative à ce tableau déjà sombre…

Bureau d’études dont les deux places de travail sont en liaison pathogène sur une ligne tellurique Est-Ouest et sur un croisement.

À noter la place du directeur qui reçoit en permanence un champ électrique dans le dos. La secrétaire est à son bureau métallique, encadrée d’appareils électriques, magnétiques et électroniques…

Nous remarquons l’emplacement de la fenêtre orientée au Nord, ce qui n’offre aucun espoir de neutralisation par l’ensoleillement.

Maisons saines et bioconstruction

Comme nous l’avons vu, la bio-architecture conduit à la création de la forme. La bioconstruction utilise les matériaux pour réaliser cette enveloppe. Mais ne perdons jamais de vue que ces deux conceptions qui conduisent à la réalisation de l’habitat sain sont indissociables, et qu’il devrait être impensable de les concevoir séparément.

Encore plus étroite est, par exemple, la marge qui différencie l’étude de la distribution des pièces et celle de la réalisation des gaines techniques. Et cependant, nous les scindons et décidons de classer les gaines dans cette rubrique.

LE CHAMP DE VIE NATUREL

« Il n’y a pas d’espace vide ; tout est vibration. »

Nos travaux reposent en partie sur la mise à jour d’un champ d’énergies subtiles, le Champ de Vie Naturel, que nous localisons à l’aide d’antennes géodynamiques exclusivement conçues à cet effet ; nous contrôlons ensuite nos recherches avec un pendule spécial.

Le Champ de Vie Naturel est un réseau à trois dimensions qui véhicule les énergies nécessaires à la vie. Pour comprendre son principe, il est nécessaire de faire un rapprochement avec le réseau Hartmann dont la notion est actuellement assimilée par une grande majorité.

Le réseau « H » est composé de « murs » verticaux espacés d’environ 2 m, orientés Nord-Sud et Est-Ouest qui s’interpénètrent perpendiculairement.

Le Champ de Vie Naturel (CVN) est également constitué de murs verticaux, longitudinaux et latitudinaux, mais comporte, en plus, une troisième dimension : des murs horizontaux qui sont, plus exactement, des « dalles ». Ces différentes interpénétrations forment en quelque sorte des « cubes vides » (ou neutres).

Le CVN a la particularité d’être constitué de murs principaux (qui forment la structure de base) dans lesquels s’intercalent des murs secondaires (des petits cubes dans des grands cubes) qui, eux-mêmes, se subdivisent en petits murs intermédiaires.

Le CVN par ses structures verticales et horizontales, canalise et propage le rayonnement cosmique ainsi que le rayonnement et les courants telluriques qui sillonnent notre planète. Le CVN peut être déformé par un déséquilibre cosmo-tellurique, accidents géologiques (cours d’eau souterrains, failles…), des lignes électriques à haute tension, certaines formes d’architecture, masses métalliques, etc. La déformation du CVN se traduit par l’extension de certains cubes et la contraction de certains autres.

Il peut se produire des ruptures de champs d’énergies (par exemple, dans certains immeubles en béton armé) si bien que les êtres vivants ne sont plus en contact avec les courants qui véhiculent les énergies nécessaires à la vie. Le CVN est extrêmement précis ; c’est par rapport au CVN que les formes produisent des émissions (ondes de formes).

Des spécialistes ont constaté que, curieusement, l’intensité vibratoire des hauts lieux cosmo-telluriques et de certaines constructions antiques décroît au fil des siècles. Ce phénomène est principalement dû au rapprochement progressif entre le Nord géographique et le Nord magnétique, d’où une modification des émissions dues aux formes. Effectivement, d’années en années, l’écart entre ces deux axes diminue et, dans quelques années, le Nord magnétique sera identique au Nord géographique avant de reprendre progressivement un nouvel écart.

De même, la précision du CVN impose une étude minutieuse pour l’édification d’une construction qui se veut génératrice d’ondes de forme bénéfique. Par exemple, une habitation conçue pour un lieu donné peut avoir, en cas d’implantation à seulement 50 cm de la zone prévue, des répercussions vibratoires inattendues et nécessite une révision complète des formes architecturales.

Il est fondamental de compléter cette étude par la notion de « mémoire dans le temps ». En effet, le corps éthérique d’une construction s’imprègne de ce champ d’énergies subtiles à trois dimensions. En cas de destruction de cet édifice, une mémoire restera inscrite et subsistera dans le CVN.

Pour éviter des applications allant à l’encontre de l’évolution de l’Homme et pour préserver la continuation de nos travaux, il ne nous est pas encore possible de révéler les dimensions des différents « cubes » constituant le CVN. Néanmoins, ces quelques précisions permettront de mieux comprendre qu’un point précis dans une cathédrale avait, il y a vingt ans, une intensité vibratoire (onde de vie) supérieure à celle mesurée au même endroit aujourd’hui, alors qu’un autre point aura une « vitalité » supérieure par rapport à une étude effectuée quelques décennies en arrière.

La motivation de l’implantation des aiguilles d’acupuncture géantes que sont les mégalithes semble, par ces explications, moins mystérieuse et l’on saisit mieux l’importance du volume, de la hauteur et de l’orientation de ces pierres.

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À la vue de cette étude sur le CVN, notre respect pour les Anciens (bâtisseurs et initiés) ne peut qu’être plus profond et plus révérencieux car ces cubes-volumes, imbriqués dans d’autres cubes-volumes, ne sont que la représentation de temps dans d’autres temps et de mondes dans d’autres mondes, comme il existe des dimensions dans d’autres dimensions.

Boune Legrais et Gilbert Altenbach

Ainsi la bioconstruction représente bien le choix des matériaux et ce choix détermine à son tour la création de la forme. Tous les matériaux traditionnels ne sont pas à rejeter ; certes un choix rigoureux s’impose, mais nous pouvons nous en accommoder en prenant des précautions.

· Pour le béton, ne retenir que certaines qualités de sable, gravier et ciment ; le plus important est de souder les armatures entre elles et de les RELIER A LA TERRE.

· Les fondations pourront être en béton, si possible non armé ; elles doivent être bien drainées afin d’éviter les remontées d’humidité.

· Les sols : nous avons ici deux solutions possibles

– une dalle sur vide sanitaire (bien ventilé) ; elle a pour avantage d’être protégée de l’humidité, mais pour inconvénient de nous isoler de la terre.

– une dalle sur terre-plein ; nous retrouverons alors le contact avec le sol, mais nous devons prendre certaines précautions d’étanchéité et d’isolation thermique.

· Pour le sol des niveaux supérieurs, nous recommandons une poutraison avec double plancher en bois, avec isolation phonique.

· Pour la toiture : charpente en bois, lambrissage en bois avec isolation naturelle, le tout recouvert de tuiles en terre cuite. Cet ensemble laisse une parfaite perméabilité aux ondes cosmiques.

· Pour les murs, la brique en terre cuite s’impose. Il en existe de nombreux modèles et formats qui permettent de construire toutes les parois de l’habitation, des porteurs aux doublages.

· Nous apporterons un soin particulier à isoler les gaines des fluides (eau, électricité, antenne, téléphone…).

· Par contre, nous préconisons d’intégrer le chauffage (système écologique) dans l’appartement, de telle façon qu’il rayonne une chaleur bénéfique et réconfortante.

Comment se protéger contre ces agressions vibratoires

Pour ceux qui ont l’intention de construire, il est conseillé de procéder préalablement une expertise géobiologique du terrain afin de s’assurer que l’habitat sera implanté sur une zone saine. Puis de faire appel aux conceptions de la bio-architecture où le dialogue architecte-client sera fondamental, déterminant.

Dans le cas des habitations existantes où les précautions décrites ci-dessus ne sont pas respectées, il s’agira alors d’envisager l’attitude à adopter et les moyens à mettre en œuvre face à une perturbation d’origine tellurique :

· Réagir par une attitude positive pour résoudre le problème et non le fuir. Ce qui devrait permettre de trouver une solution et de ne pas tomber ultérieurement (par affinité vibratoire) dans le même type de perturbation.

· Faire tout ce qui peut être envisagé en respectant l’état existant de l’habitat. Il suffit parfois de quelques réajustements pour éviter une situation malsaine.

· En dernière ressource il pourra être envisagé d’équiper l’habitation d’un dispositif de protection.

Rien qu’en Europe il existe plusieurs centaines de dispositifs contre les ondes nocives. Nous les classerons en 5 catégories :

Les neutralisateurs : qui, comme leur nom l’indique, neutralisent les rayonnements nocifs, mais également les rayonnements bénéfiques, nécessaires à la vie.

Les déviateurs : leur rôle est de dévier ou de disperser la nocivité, c’est-à-dire dans le jardin (!) ou chez le voisin.

Les accumulateurs : ils « aspirent » et concentrent les ondes nocives. Une fois chargés, ils doivent être changés. Certains peuvent être déchargés, mais cette opération doit s’effectuer tous les jours.

Les rééquilibreurs : les plus naturels, mais pas toujours les plus efficaces. Leur rôle consiste à remettre en harmonie l’onde cosmique et l’onde tellurique. Malheureusement certains dispositifs, très valables il y a 10 ans, ne sont plus efficaces dans les constructions actuelles de béton armé et de masses métalliques.

Les régénérateurs biotiques : Ils rééquilibrent le rayonnement cosmo-tellurique et augmentent la qualité biotique de l’habitation (onde de vie). Ils sont composés d’une partie physique et d’une partie métaphysique. (On ne peut dissocier le subtil de la matière). Ce sont les plus efficaces et leur durée de vie est illimitée.

Une extrême prudence s’impose dans le choix et dans l’installation d’un dispositif protecteur. Cet acte ne peut être effectuer que par un spécialiste qualifié.

Un dispositif protecteur efficace doit donc émettre une onde de vie bénéfique qui s’harmonise avec les fluides de l’habitation et de ses occupants, en reconstituant le champ de vie naturel.

Béton armé, masses métalliques et cages de Faraday

La majorité de nos habitations actuelles sont à base de béton et de masses métalliques. Cette importante présence de métal (armatures, poutres, conduits, câbles électriques) capte et conduit l’électricité naturelle

Si ce métal n’est pas relié à une prise de terre dont la résistivité de la terre est presque nulle (entre 2 et 0 ohms) il se sature d’une charge électrique importante.

Plusieurs chercheurs ont établi une étroite relation entre le béton armé et la perte de consolidation des tissus osseux dont sont victimes certaines personnes. En effet, le béton armé produit une vibration qui agit sur la fréquence vibratoire de la molécule du tissu osseux.

Favorisée par l’information, la notion de la nocivité de la « cage de Faraday » se vulgarise mais bien souvent l’on ignore le processus et la réelle gravité du problème. Dans une cage de Faraday (généralement les bâtiments en béton armé, laine de verre et matériaux synthétiques), il se produit une mise à la masse de notre propre énergie et de l’énergie de l’air ambiant. Il se produit donc une perte des énergies vitales indispensables au bon équilibre de notre santé.

Pour l’avenir

L’Homme est le reflet de son environnement aussi bien sur les plans physique et psychique, que spirituel. Notre cerveau est soumis aux énergies qui l’environnent et un être ne peut accéder à l’évolution que dans le contexte d’un équilibre cosmo-tellurique parfait.

Il est urgent que nous prenions profondément conscience de ce phénomène et que nous réagissions pour atténuer les agressions de ces différents fléaux vibratoires.

C’est aujourd’hui que nous construisons les générations du 3e millénaire.

Publications des auteurs :

Santé et cosmo-tellurisme, Éditions Dangles.

Lieux magiques et sacrés d’Alsace et des Vosges, Editions du Rhin.

Guérir en soignant son habitation, Centre international de géosophie, Lausanne.

POUR FAVORISER UN SOMMEIL SAIN ET RÉPARATEUR

· Il est conseillé d’orienter son lit nord-sud, tête au nord (à condition de ne pas avoir la tête près d’un appareil électrique qui serait de l’autre côté du mur).

· Aérer bien sa chambre, dormir la fenêtre ouverte.

· Soigner la décoration, être prudents avec les œuvres d’art moderne. Ne pas encombrer la chambre d’objets inutiles. Avoir de l’ordre.

· Éviter à la tête du lit le téléphone, les prises de courant, le réveil électrique, le radio-réveil… Vérifier que l’interrupteur coupe le fil positif de votre lampe de chevet.

· Éviter les grands miroirs et armoires à glace ou les couvrir pour la nuit.

· Éviter les matelas à ressorts, la mousse polyéthylène et les sommiers métalliques.

· Choisir un matelas de crin, de laine, de coton ou de latex naturel.

· Draps, housses, duvets, couvertures, oreillers, devraient être en fibres naturelles (coton, laine, plumes). Le linge de nuit également.

· Les revêtements de sol devraient être en matière naturelle : bois, tapis de laine, coco ou corde. Les moquettes synthétiques doivent être antistatiques.

· L’ameublement sera aussi simple que possible (éviter le métal). Veiller à ne pas placer un meuble en oblique afin d’éviter de produire des ondes de forme nocives.

· Votre chambre devrait avoir une ouverture à l’est, être protégée du bruit et de l’agitation. Elle peut devenir une pièce de méditation où vous pourrez vous recharger le jour et la nuit.

· Il est recommandé de prendre une douche rapide à l’eau tiède afin d’éliminer l’électricité statique accumulée au cours de la journée. Une excellente thérapeutique (1) consiste à se laver à l’eau froide mains, avant-bras, pieds et jambes deux fois par jour. Quand le temps le permet, marcher pieds nus dehors.

· Apporter un soin particulier au choix de son alimentation et à sa préparation. Exiger si possible une qualité biologique. Diminuer les produits et sous-produits animaux au profit des céréales, légumineuses et matières grasses végétales. Accorder une place généreuse aux fruits, légumes et crudités.