Jacqueline Bousquet
Le monde fantastique de nos cellules

(Revue 3e Millénaire. Ancienne série. No 15 Juillet-Août 1984) Que sont donc ces champs qui créent la matière ? La relativité en biologie conduit du matériel à l’immatériel Tout est issu de la lumière Jacqueline Bousquet (décédée en 2013), docteur ès-science, chercheur au C.N.R.S., tient ici, à rendre hommage au Professeur Émile Pinel dont les […]

(Revue 3e Millénaire. Ancienne série. No 15 Juillet-Août 1984)

  • Que sont donc ces champs qui créent la matière ?

  • La relativité en biologie conduit du matériel à l’immatériel

  • Tout est issu de la lumière

Jacqueline Bousquet (décédée en 2013), docteur ès-science, chercheur au C.N.R.S., tient ici, à rendre hommage au Professeur Émile Pinel dont les travaux, par le biais des mathémati­ques appliquées à la biologie, lui ont permis de faire la jonction entre la science actuelle et les connaissances tra­ditionnelles ainsi qu’elle va tenter de le démontrer. Trop long­temps méconnu, car œuvrant dans la soli­tude, il n’a pu encore apporter officiellement à la science toute la contribution de ses travaux d’une valeur ex­ceptionnelle. Souhai­tons qu’il soit enfin re­connu comme le pion­nier de génie d’une science holistique qui nous aidera à aborder le nécessaire change­ment de paradigme.

  • Pour une approche satisfaisante de ce que nous appelons le réel et devant l’abîme qui se creuse entre ce que nous croyons (sens commun) et ce qui est ;

  • Pour essayer de savoir aujourd’hui pourquoi la Science s’est séparée de la Religion ;

  • Pour savoir comment la Tradition a toujours véhiculé, pour qui savait l’entendre, une connaissance que nous retrouvons après avoir erré dans de multiples savoirs ;

  • Essayons, sans préjugés, sans a priori, sans système, avec comme seule règle notre bonne foi, de trouver le point de rencontre entre l’esprit et la matière en incarnant le premier et désincarnant la seconde.

La physique quantique et subquantique nous autorise toutes les au­daces et la relativité en biologie nous conduit du matériel à l’imma­tériel ; elle nous apprend que ce sont les champs qui « créent » la matière et la modè­lent. La théorie quantique du champ est en effet une théorie efficace en dépit de la contradiction des deux termes (un champ est un domaine entier, un quantum est une petite partie indivisible ; les deux concepts sont antagonistes).

La réalité est insubstantielle ; seuls les champs sont réels ; les particules (matière) ne sont que des interactions de champ, manifestations éphémères, extrêmement abruptes, dans des régions de l’espace très réduites.

« Les physiciens qui s’occupent de théorie quantique sont contraints d’employer un langage emprunté à la vie quotidienne. Nous faisons comme s’il existait réellement une chose telle qu’un courant électrique (ou une particule) car si nous interdisions à tous les physiciens de parler de courant électrique (ou de particules), ils ne seraient plus en mesure de s’exprimer. » (Heisenberg).

La Science nous dit, tout comme la Tradi­tion, que tout est issu de la lumière ; nous y reviendrons. Qu’est la lumière ? Des particules appelées photons, portées par des ondes électroma­gnétiques. Nous venons de dire que la seule réalité est le champ, donc les ondes. Un système quel qu’il soit est représenté par une fonction d’onde ; cette dernière est une entité qui participe à la fois de la matière et de l’idée.

Donc, une chose représentée par une fonction d’onde a un aspect matériel ; pour­tant, quand on l’examine (interaction avec le système observant) elle fait un saut vers un nouvel état. Ces transitions sont caractéristi­ques du domaine des idées ; voici déjà l’amorce de notre point de jonction.

Puisque tout se meut dans l’univers, que la science aussi bien que la Tradition parle de la « danse des éléments » et que toute particule chargée, en mouvement engendre une onde électromagnétique, arrêtons-nous un instant sur ce que sont ces ondes électromagnétiques.

Les ondes électromagnétiques dans l’univers… et dans la cellule

Elles sont constituées de la superposition des variations spatiotemporelles d’un champ électrique et d’un champ magnétique. Elles se déplacent dans le vide, c’est-à-dire que ce type d’onde n’a pas besoin de support matériel ; en ligne droite si le milieu est homogène. Elles se propagent à travers les milieux non conducteurs de l’électricité, mais sont arrêtées par les corps conducteurs. Elles se réfléchissent et se réfractent comme la lumière.

Les propriétés de ces radiations sont indé­pendantes de leur mode de production.

« Aussi, depuis l’extrémité des rayons X jusqu’aux immenses ondes de la télégraphie sans fil ; depuis ces ondes si ténues qu’il leur faut faire des centaines de milliers de pas pour franchir 1 mm jusqu’à celles qui parcourent la terre en quelques enjambées, le domaine des radiations est d’un seul tenant et, d’un seul coup d’aile, nous pouvons en contempler l’étendue et la beauté. Rayons Gamma qui traversent les métaux les plus lourds, rayons X qui passent à travers le corps humain, rayons ultraviolets qu’arrête la plus mince couche de matière, ondes lumineuses auxquelles nous devons toutes nos sensations visuelles, rayons infra-rouges par lesquels se fait la plus grande partie des échanges de chaleur entre les corps, grandes ondes électriques qui entourent la terre jusqu’aux antipodes, tout cela avec des moyens de production divers, n’est qu’une seule et même chose sans autre différence que la rapidité plus ou moins grande des vibrations, mais avec une étonnante variété dans les propriétés. Sauf peut-être au-delà de l’une des frontières, l’explorateur a fini sa tâche : au­cune partie ne reste à découvrir dans le domaine des radiations. De tout cet ensemble, notre œil ne perçoit directement qu’une par­celle infime ; nous ne sommes pas tout-à-fait aveugles mais il ne s’en faut pas de beaucoup et l’on peut voir cet exemple de combien, l’univers réel est plus vaste que celui qui tombe directement sous nos sens ».

(Charles FABRY — 1925)

Émile Pinel, dans son ouvrage Vie et Mort, nous fait part de son approche de la biologie cellulaire à travers les mathématiques, en étudiant les mouvements dans le très petit biologique.

Ses conclusions sont qu’il existe dans le noyau de la cellule un ordinateur constitué par trois champs particuliers que nous appel­lerons H1, H2 et H3.

Le premier, doué de mémoire (H2) ren­ferme la programmation intranucléaire ; pour fonctionner, il a besoin d’un champ qui exécute les ordres (H1) — magnétique — et d’un champ qui les transmette (H3).

H2 et H3 sont engendrés par des molécules conjuguées qui, grâce à leur structure, sont capables de transmettre les ordres à distance.

H 2 est un champ psycho-biologique.

H3, champ de transmission, est un champ de forme intra-nucléaire grâce aux niveaux d’énergie qu’il met à jour le long de l’axe de l’ADN. Il est responsable de la forme de l’ADN.

La résultante de ces champs est un champ gravitationnel qui est associé au champ magnétique de l’univers physique.

Dans la cellule, se trouvent deux formes fondamentales d’énergie, l’une d’origine électro-magnétique, l’autre d’origine cinéti­que, bases de la médecine de l’énergie.

Le champ H résultant crée le tenseur fon­damental de la formule de mesure de l’espace intra-nucléaire. Ce champ H se retrouve dans le cytoplasme où baigne le noyau, non en tant que champ émetteur mais comme champ récepteur, exécutant les ordres du noyau cellulaire.

Dans tous les tissus vivants, il existe une force électro-magnétique, donc des champs.

Un circuit ouvert, constitué par des molé­cules conjuguées par exemple, engendre des courants et donc des champs. Si, de même, on fait varier la position de la cellule dans l’espace, le champ résultant dépendant du champ H2 qui, lui-même, porte sa portion physique dépend de notre situation dans l’univers, va donc varier par l’intermédiaire du tenseur d’inertie et du tenseur du champ magnétique.

Donc, nous dépendons de l’Univers, de notre position dans cet univers et du champ tellurique dont on connaît l’action au niveau de ce que l’on appelle les émissions dues aux formes, et en particulier, à celui qui existe à l’intérieur de la pyramide de Cheops, ca­pable d’effectuer des momifications.

Ces manifestations dépendent de la forme et du volume de l’objet, et il est évident que les effets du champ résultant qui peut agir sur la matière vivante, dépendent de la cellule et sont donc d’ordre physique. Ces champs, dits de forme, dont fait partie le champ H3 intra­cellulaire sur lequel se décharge le champ H2 (contenant les impondérables donc le psychisme) au moment de la mort, dépendent — nous dit Pinel — de la gravitation et se trouvent partout puisqu’ils sont engendrés par des quantités d’électricité animées de mouvements quelconques.

Il est maintenant bien connu que la ma­tière vivante émet différentes sortes d’ondes, que l’on sait capter et analyser, elles sont vraisemblablement dues à ces champs intra­cellulaires ; citons encore Pinel : « Pour moi, il existe donc des champs électromagnétiques oscillants propres à la vie, par lesquels l’univers physique peut intervenir dans la physiologie normale des individus, dans les équations de la relativité générale en biologie. »

Les conséquences sont importantes : nous retrouvons ici les résultats obtenus par Étienne Guillé au niveau de l’équation : énergie vibratoire et système vibratoire (EV/SV).

Nous pouvons donc constater que l’énergie vibratoire peut provenir de plusieurs sources, intérieures (psychisme par l’intermédiaire de la composante du champ H2) ou extérieures (rayons cosmiques et telluriques) .

La plus petite modification de l’espace intranucléaire — d’après la relativité en biologie — provoque la modification du tenseur fondamental et donc, par là-même, des champs H1, H2, H3, avec toutes les conséquences que cela entraîne.

Il existe des interactions entre le caractère psychologique du champ X de gravitation et certaines dispositions moléculaires, ceci permettant de donner une base physique au psychisme, à la mémoire, à l’action récipro­que du mental sur le physique par le réaménagement de différentes molécules. Là en­core, E. Guillé nous en fait une admirable démonstration en mettant en évidence — par l’intermédiaire des modifications de l’ADN — qu’une destruction est suivie d’un réarran­gement permettant de lire « un autre chapitre du livre contenu dans l’ADN et donc qu’une maladie est une œuvre alchimique au noir non suivie de transmutation, c’est-à-dire une initia­tion « ratée » ».

Ces auteurs rejoignent ainsi Ilya Prigogine ou René Thom dans la théorie des catastrophes. Un ordre provient d’un désordre ; une destruction est nécessaire pour pouvoir aborder une restructuration à l’échelon supé­rieur. Tout simplement, la vie néguentropi­que se nourrit d’entropie. Nous verrons plus tard que, d’après la Tradition, une forme doit nécessairement disparaître afin de permettre à la force qu’elle enferme de se manifester à un autre niveau.

Les processus vitaux néguentropiques (ac­croissement de l’information donc de l’ordre) se maintiennent au prix de l’entropie (ac­croissement du désordre) de la matière inor­ganique ; toute « vie » quelque part se nourrit de mort. La relativité en biologie, telle que l’exprime Émile Pinel, exige que le cytoplasme de la cellule se trouve dans un espace tangent à l’univers physique où, par le temps, vont s’introduire les rythmes de l’Univers.

La spécialisation de la forme implique une mort, ou du moins une diminution de vie ; exemple, les cellules cérébrales qui ne se divisent plus : leur spécialisation dans les processus d’éveil et de pensée est au prix de leur impossibilité de renouvellement.

Toute incarnation implique une mort iné­luctable de la forme physique mais implique également une survivance au niveau du champ de forme contenant les impondé­rables, donc le psychisme.

Revenons à la cellule. Si elle subit l’influence de l’Univers, elle est donc sou­mise à des rythmes ; ceci est en effet dé­montré et E. Pinel est à l’origine de cette chronobiologie : il existe des rythmes circa­diens (24 h) et des rythmes biologiques ; le rythme du jour terrestre serait lié au « moi », celui de 90 mn au « çà ». Un champ magnéti­que peut donc brouiller ou au contraire renforcer les champs intracellulaires ; il peut changer la programmation de l’ADN et par là-même la psychologie d’un individu par la réalisation des dispositions moléculaires adé­quates. Il devient donc évident que la maî­trise des champs électromagnétiques pourra apporter au biologiste d’innombrables possi­bilités tant au niveau physique qu’au niveau psychique.

Continuons l’analyse de la cellule vivante en suivant E. Pinel : lorsqu’une variation, d’origine externe ou interne, du tenseur fondamental de la cellule génère une onde, celle-ci s’amortit au niveau de la membrane ou, en tout cas, dans les cellules voisines lorsqu’il s’agit d’un ensemble cellulaire nor­mal ; si les membranes sont modifiées, l’onde passe provoquant une réaction en chaîne. On voit donc ici se dégager deux notions : l’une de « terrain » avec modification préalable des membranes, l’autre d’« agression » (physique ou psychique) au niveau d’un ensemble cellulaire donné. La fonction perturbée peut, soit rester limitée à un groupe cellulaire et ramenée par l’organisme entier, au fonction­nement normal, soit devenir un processus invasif dû à une passivité, dépendante de multiples facteurs mais surtout de la qualité du « terrain ».

Nous verrons par la suite comment il est possible d’interpréter ces phénomènes à la lumière des données de la Tradition.

Nous comprenons ainsi qu’il existe un abîme entre un cancer naturel et un cancer provoqué chez l’animal. Je cite encore E. Pinel dans l’une de ses conclusions car elle nous sera utile lorsque nous étudierons les données traditionnelles : « Il semble bien que la comparaison des courbes en cloche (voir figure) dissymétriques obtenues dans la nature ou artificiellement, c’est-à-dire au cours de rayonnement, pose le problème de savoir si la formation normale d’un ensemble cellulaire ne peut pas être assimilée à la formation artificielle d’un tel ensemble ; et dans ce cas, l’ensemble cellulaire normal ne serait-il pas dû à une irradiation qui se serait faite par une « onde interne naturelle » provoquée d’une manière ou d’une autre, peu importe ?

« Les ensembles malins n’en sont-ils pas un exemple ? »

La Tradition répond « Oui » à cette ques­tion.

On peut créer une nouvelle cellule par modification de l’ADN ou la détruire : dans le temps biologique positif dans le premier cas, négatif dans le second, c’est-à-dire par des variations d’énergie le long de l’axe de l’ADN.

En effet, E. Guillé nous dit qu’une cellule tumorale survient lorsqu’un mécanisme de dédifférenciation (retour au passé) se produit dans le but d’une multiplication, par exemple au niveau de la cicatrisation d’une plaie, ou bien dans le cas d’une agression causée par un agent étranger (dédifférenciation des lym­phocytes au stade de lymphoblastes) car ces phénomènes physiologiques normaux sont déviés de leur finalité ; la preuve en est que, lorsqu’on greffe des cellules tumorales à un embryon, celles-ci sont prises en charge par le champ de forme de l’animal en voie de croissance et n’expriment pas leur malignité ; elles acquièrent de nouveau les marqueurs génétiques codant leur durée de vie et leur fréquence de mitose.

Si, au contraire, on injecte ces cellules à des animaux adultes, une tumeur se déve­loppe, le champ de forme de l’animal étant saturé et les forces de structuration étant utilisées par le fonctionnement des organes en place.

Toute ces régulations se produisent dans l’espace au sein duquel le noyau engendre un « espace » cytoplasmique dans lequel il baigne, intermédiaire entre lui et l’univers physique : nous étudierons plus tard l’impor­tance de cette notion.

L’espace intranucléaire à trois dimensions est non euclidien ; il baigne dans le cytoplasme quadridimensionnel qui — toujours d’après les calculs de Pinel — se trouve être tangent à l’espace de l’univers ; ainsi, entre ce dernier et la cellule est situé un lieu marqué par la relativité en biologie dans l’espace tangent. Cette conclusion mathéma­tique trouve, elle aussi, sa justification dans la Kabbale ainsi d’ailleurs que dans la bio­logie moléculaire, telle que l’exprime Guillé : le temps biologique se trouve à la base de la présence de l’espace tangent. A l’origine, le temps n’existait pas, non plus que le temps biologique évidemment, il était remplacé par l’existence d’une énergie par unité de lon­gueur (espace séparant les molécules).

En effet, la mémoire est représentée par des dispositions moléculaires dans l’ADN. Or, la lecture du livre de l’ADN peut se faire dans n’importe quel sens. Il s’agit donc ici d’une énergie. Le temps doit donc lui aussi être considéré comme une énergie. Et notre temps n’est qu’une énergie dégradée puisque nous ne connaissons qu’un temps linéaire progressif.

Toute stimulation d’une certaine zone du cerveau provoque le souvenir du passé qui s’insère dans le présent : les deux co-existant. Il s’agit en fait de l’apport d’énergie par l’électrode stimulante qui reconstitue les dispositions moléculaires correspondant à un souvenir. La volonté (pensée orientée) fait évidemment la même chose.

Dans ces conditions, le passé et l’avenir sont les bornes inférieures et supérieures d’un présent constamment orienté vers le passé d’autant que l’hérédité biologique se trouve dans le champ physico-psychologique, Χ du noyau. La composante psychologique du champ H2 exige que la vie de chacun soit la résultante de ses pensées antérieures.

L’existence du champ H3, champ de forme, sur lequel se décharge le champ H2 au moment de la mort de l’organisme physi­que c’est-à-dire au moment où dans les formules le temps biologique t’ = 0, impose la notion de survivance des impondérables dans ce champ immatériel, avec toutes les possibilités et conséquences.

Ces différents champs intracellulaires peu­vent, en définitive, se réduire à trois :

Un champ émetteur dans le noyau (+), positif

Un champ récepteur dans le cytoplasme (-), négatif, qui joue le rôle de cathode génératrice de phénomènes ; ici, fabrication de protéines.

Entre les deux, le neutre du circuit, en réalité oscillant entre le + et le – et participant donc de la nature des deux.

Ce champ H3 exige donc d’être présent lorsque le temps biologique : t = 0, ce qui confirme de façon parfaite la théorie de Rupert Sheldrake ; ce dernier, biologiste passionné par la diversité des formes dans notre univers, a émis l’hypothèse que la forme d’un objet ou d’un individu « pilote », depuis le « global » qui est un univers d’ondes (David Bohm), la molécule pour l’inorga­nique et l’ADN pour l’organique. Par oppo­sition, la manifestation dans notre monde constitue le « local ». Cette notion se re­trouve par exemple au niveau de notre cerveau, l’hémisphère droit ayant une fonc­tion globale et le gauche une fonction locale.

D’après cette théorie, l’ADN se comporte­rait donc comme une antenne mobile af­fectée à la réception des signaux émanant des champs de forme du « global ».

Revenons aux ondes électromagnétiques. Chaque cellule est constituée d’environ mille milliards d’atomes, eux-mêmes consti­tués de noyaux positifs et d’électrons négatifs gravitant autour. Le corps humain est formé d’environ 3.1028 particules dont on sait qu’elles ne sont pas matérielles, mais sont des densifications de champs, des interactions totalement interdépendantes dans tout l’uni­vers (théorie du bootstrap. G. Chew), évo­luant dans un espace 1024 fois plus grand que le volume représenté par la matière elle-même et dont les rayonnements s’immiscent partout. Il est évident, mais là n’est pas notre propos, que leur action, pénétration, ré­flexion, réfraction, etc., dépendent de nom­breux facteurs.

Le champ Χ intracellulaire est donc suscep­tible de subir une variation qui, même minime, aura un retentissement du fait de la loi magnétobiologique d’induction vitale.

Il en résulte une variation, ayant des propriétés électro-magnétiques ; la formule étant par ailleurs réversible.

Les calculs de Pinel aboutissent alors au fait que la cellule se comporterait de manière analogue à celle d’un cristal piézo-électrique. (Les phénomènes de piézoélectricité traduisent en physique des vibrations mécaniques en phénomènes électriques).

Or, un chercheur isolé et autodidacte, Bourrée, a essayé de démontrer l’influence capitale qu’il attribue au rôle du centriole dans la cellule ; ce dernier se comporte comme un quartz piézo-électrique.

Nous avons vu plus haut qu’il existe deux sortes d’énergie dans la cellule : l’une cinéti­que, l’autre d’origine électro-magnétique.

Cette énergie cinétique est responsable de la stabilité des organismes vivants, stabilité dynamique d’un tourbillon qui entraîne un flot continu de molécules. Contenu dans toute la série des cellules animales, le cen­triole est en rapport avec les microtubules qui parcourent toute la cellule sans paraître jouer un rôle essentiel dans leur organisa­tion. L’origine du centriole reste encore assez mystérieuse.

A partir de la zone péri-centriolaire, il intervient dans la forme et les mouvements de la cellule ; on a noté, par exemple, des mouvements pendulaires de quelques mi­crons avec une période d’une à deux minutes dans les cellules fixées à un support (in vitro). La cellule semble osciller autour de ce centre d’inertie agissant comme un gyros­cope. Susceptible de modifications, de déforma­tions avec pénétration de granules dans la zone périphérique, il peut déformer le noyau (voir figure).

Cet organe est donc capable, outre sa fonction de gyroscope assurant ainsi à la cellule un contrôle spatio-temporel, de se comporter comme un support vibratoire pou­vant recevoir ou transmettre des informa­tions sous forme d’ondes, telles d’ailleurs que les ondes électromagnétiques. Il est possible que ce centriole soit le lieu physique par lequel les rythmes circadiens entrent dans la cellule. Ces derniers définissent le Moi, comme nous l’avons déjà noté, et nous en verrons l’importance sur le plan de la Tradi­tion.

C’est ainsi donc que la cellule, dans ses actions internes comme externes, dépend non seulement de son champ intranucléaire, mais encore des champs fondamentaux de l’univers physique (gravitation, champ ma­gnétique) susceptibles d’agir sur le centriole qui lui-même — par les déformations du noyau qu’il peut provoquer — fera varier la forme de ce noyau avec toutes les consé­quences que cela peut entraîner, en particulier sur le métabolisme cellulaire, par des modifications du signal transporté par les microtubules.

Le schéma des tourbillons autour du cen­triole rappelle celui de la gravitation de l’électron autour du noyau et sur lui-même (spin). Dans l’ADN contenu dans le noyau se retrouve le mouvement en spirale de la Terre entraînée par le Soleil.

La connaissance des rythmes biologiques, de leurs rapports avec les mouvements dans le très petit biologique, permet de calculer les fréquences grâce auxquelles les appareils électromagnétiques sont capables, en les imposant aux cellules anormales, de détruire les cellules malignes (Émile Pinel donne la valeur de 100 Hertz) .

La correspondance des trois pôles neurosensoriels sera précisée ultérieurement. Mais il est évident que toute action sur H1 se traduira par un métabolisme différent. Accé­lération – ralentissement.

Toute perturbation de H3 (champ de forme) touchera H2 et brouillera le message initial et celle sur H2 (psycho-biologique) agira à la fois sur le physique et le psychique par l’intermédiaire de la composante psycho­logique de H2 (action du mental sur le physique).

Il est évident qu’en fonction de l’effet qu’on souhaite obtenir et par rapport au groupe cellulaire auquel on s’adresse, il faudra moduler intensités et fréquences, en particulier au niveau des trois pôles essentiels de l’homme : neurosensoriel, rythmique et métabolique.

Une centrale vibratoire : la cellule

Une cellule est constituée par un noyau baignant dans une substance fondamentale ou cytoplasme ; celui-ci contient de nom­breux organites à fonctions variées : va­cuoles, mitochondries, appareil de Golgi, dictyosomes, ribosomes contenant de l’acide ribonucléique, qui permettent à l’ADN mes­sager de se fixer et l’aident à réaliser la chaîne d’acides aminés constituant une pro­téine.

Nous venons de constater que tous ces milieux sont en mouvement (pendulaires, circulaires) et pris en charge par un champ gravitationnel qui est la résultante des trois principaux champs. En réalité, le champ intranucléaire donne les ordres (il est émet­teur) ; le champ cytoplasmique exécute les ordres (il est récepteur) ; ce dernier revêt une grande importance car il est intermédiaire entre le noyau (cerveau de l’usine-lieu où s’incarne le psychisme) et la volonté par des niveaux d’énergie le long de l’axe de l’ADN (permettant à certaines dispositions molécu­laires de s’organiser, ici, le temps n’existe pas : il est une énergie.)

Dans le cytoplasme, le temps fait son apparition par le biais du temps biologique et par les rythmes internes et externes dont nous avons décrit l’existence.

Une membrane entoure la cellule, ainsi d’ailleurs que le noyau et les organites intracellulaires ; elle est constituée par un double feuillet bipolaire ; entre les deux faces, se trouve une différence de potentiel qui dispa­raît à la mort de la cellule. A la surface de cette membrane se trouvent des protéines appelées récepteurs qui se comportent comme des trous de serrure ; certaines subs­tances comme les hormones en sont les clés. L’énergie nécessaire pour tourner la clé est fournie par l’entrée ou la sortie de certains ions, par des pores appelés ionophores.

L’activité et la mise en place de ces différentes molécules sont codées par l’ADN qui, au niveau de ses gènes constituants, commande le comportement de la cellule en réprimant ou déréprimant les gènes opéra­teurs. Il existe également à la surface de la cellule des molécules appelées HLA (Human Leucocyte Antigen) qui codent l’expression du Moi et modulent l’immunité de l’orga­nisme en conservant un dynamisme entre le rejet et la tolérance.

L’ensemble de toutes ces régulations cons­tituent le terrain d’un individu et c’est, en réalité, la seule chose qui devrait être prise en compte lors du dérèglement d’un en­semble cellulaire.

En effet, nous avons vu qu’une variation du tenseur fondamental de la cellule en­gendre une onde susceptible de modifier l’ADN de cette cellule et d’en faire, par exemple, une cellule tumorale si les coeffi­cients cinétiques et dynamiques de viscosité varient dans une certaine proportion.

Par l’intermédiaire des enzymes (archi­tectes des processus vitaux) commandés par le champ H1 magnétique intracellulaire, ce champ intranucléaire déséquilibré libère une onde électro-magnétique, départ d’une réaction en chaîne. Les cellules voisines se mettent à vibrer à la même fréquence et l’onde se propage suivant des lignes de force (propriétés piézo-électriques des tissus vi­vants ) ; cette réaction en chaîne est en général stoppée par les forces de régulation de l’organisme sain.

La mort n’est en réalité que la disparition de la forme matérielle dynamique et ne serait donc qu’un état permanent d’inertie.

Ici, les applications d’ondes électro-ma­gnétiques pulsées peuvent avoir trois effets sur la cellule tumorale : la potentialiser, la rééduquer, la détruire. Il faut également et bien évidemment tenir compte des effets psychologiques (voir les cosmonautes) et physiologiques tels que les changements d’expression génique. Des souris, contrôlées génétiquement, auxquelles des tumeurs avaient été greffées ont été traitées à Bor­deaux par le rayonnement Pioré et guéries.

(Rappelons que Prioré était un ingénieur bordelais, mort en 1983. Il avait inventé une machine fabricant des ondes électro­magnétiques. Les résultats qu’il avait obtenus lors de soins sur le cancer humain et animal avaient secoué et divisé le monde scientifique. Il n’a jamais voulu révéler les secrets de sa machine que l’on essaie pourtant de reconsti­tuer aujourd’hui par tâtonnement mais sans avoir encore pu retrouver les bonnes fré­quences. NDLR.)

Lors du contrôle génétique, ces souris guéries ont été déclarées différentes de celles traitées et ce changement a fait croire à une malhonnêteté scientifique de la part de personnalités au-dessus de tout soupçon. Il est probable que la différence constatée n’était due qu’à l’action du rayonnement Prioré sur l’ADN de ces souris qui, en fait, ne présentaient plus les mêmes marqueurs génétiques par modification de leur ADN.

Une biologie holistique

Nous pouvons aborder maintenant la constitution de l’homme — toujours du point de vue scientifique — malgré l’opposition féroce des « réductionnistes » qui ne craignent décidément pas de s’enferrer dans leurs propres contradictions, et d’étudier les différents corps de l’homme tels que nous les décrit la Tradition depuis des temps immémoriaux. Nous entrons donc ici dans une science holistique, science totale nous permettant de situer les véritables causes des événements que nous observons, passant ainsi du quantitatif au qualitatif, de l’analyse à la synthèse, du matériel à l’immatériel.

Nous nous bornerons, pour cet essai, à la constitution quadripartite de l’homme, d’après Steiner et l’anthroposophie. Cette étude nous servira d’articulation naturelle entre la science rationnelle et la Tradition que nous aborderons dans un autre article à travers la Kabbale.

L’homme est formé de quatre éléments constitutifs :

  • Le corps physique, apparenté à la terre et au règne minéral.

  • Le corps éthérique ou énergétique, ap­parenté à l’eau, qu’il a en commun avec le règne végétal.

  • Le corps astral, apparenté à l’air et en commun avec le règne animal.

  • Le Moi, apparenté au feu, propre au règne humain.

Pendant toute la durée de la vie, le corps physique et le corps éthérique sont étroite­ment liés ; le corps éthérique maintient la cohésion, la croissance et le fonctionnement du corps physique. A la mort, il se retire et le corps physique se décompose.

Le corps astral et le Moi (complexe supé­rieur, CS), sont également unis mais les relations entre ce complexe supérieur et le complexe inférieur sont plus lâches ; par exemple, durant le sommeil, le complexe supérieur se retire.

Ces différents corps ont également des fonctions dans l’organisation tripartite de l’homme.

Au niveau du pôle neurosensoriel, les forces qui s’expriment à travers l’astral et le Moi, après avoir structuré leurs véhicules physi­ques, se tiennent en retrait (liaison plus lâche) et sont disponibles pour les processus de conscience (Moi) et d’éveil (astral). Dans les deux cas, l’organisme au niveau du pôle rythmique aura essayé de s’adapter en modifiant le rythme respiratoire et cardiaque.

Avant d’aborder la pathologie liée à l’influence de ces différents corps sur le corps physique, nous allons étudier la façon dont ces corps se manifestent au niveau de l’organisation physique, c’est-à-dire quels sont leurs supports « d’incarnation ».

L’albumine, pierre de construction de tous les organismes vivants, est constituée, en particulier, de cinq substances : oxygène, azote, hydrogène, carbone, soufre. Nous retrouverons ces différents corps au niveau de la Kabbale. Une publication parue dans la revue Gerba (Arcachon 1980) du médecin steinerien Roger Fix, sur la biothérapie gazeuse va nous permettre, à travers l’approche médicale, de mettre au jour une série de correspondances et, en particulier, la combinaison des quatre éléments de base de l’albumine, pour retrouver cinq gaz :

  • l’anhydride carbonique CO2

  • l’ammoniac NH3

  • le cyanogène C2N2

  • le méthane CH4

  • le protoxyde d’azote N2O auxquels on ajoute l’anhydride sulfureux SO2.

Étudions successivement le rôle des diffé­rentes molécules du point de vue biochimi­que, puis du point de vue de la science spirituelle.

L’hydrogène : C’est la première molécule de la vie. Il représente en cosmogonie après les élec­trons, la première apparition provenant de la lumière. C’est la substance la plus subtile de l’univers. Il existe une relation entre l’hydro­gène et l’organisation du Moi.

L’oxygène : Combiné à l’hydrogène, l’oxygène donne l’eau, base essentielle de toute vie. Il est responsable du métabolisme (respiration-combustion). Sans lui, pas de vie possible. Porteur de la vie et de l’éthérique, il est le support des forces vitales.

L’azote : Avec l’hydrogène et l’oxygène, l’azote est le constituant inerte de l’air, son support. En science spirituelle, l’astral se sert de l’azote pour agir physiquement.

Nous voici donc en possession du support physique de chacun des corps de l’homme. Récapitulons :

  • avec le carbone, nous avons le corps physique,

  • avec l’oxygène, le corps éthérique,

  • avec l’azote, le corps astral,

  • avec l’hydrogène, le Moi.

Ainsi donc, il est possible d’agir globale­ment sur les trois constituants suprasensibles. Voyons maintenant le rôle du soufre : Dans l’albumine, il est l’intermédiaire entre l’élément spirituel et le physique et réalise partout des joints entre les molécules, dits ponts disulfure (ADN) ; donc, étant l’inter­médiaire entre les différents corps, son ab­sence ne permet pas l’action harmonieuse des processus vitaux.

L’ammoniac : Sa composition, à la lumière de ce qui vient d’être dit, nous indique qu’il va agir sur les rapports entre le Moi et l’astral. Il possède une grande affinité pour l’eau (vec­teur des forces éthériques) et sa chaleur d’évaporation anormalement élevée en fait un véhicule du Moi. Sa synthèse et sa décomposition se font en présence du fer (métal de l’incarnation dont nous verrons plus loin le rôle dans la Tradition).

Le carbone : Avec le carbone, nous voyons apparaître la croix de la vie. Il constitue le squelette ou support matériel de toute vie sur terre (chimie organique). Le carbone s’allie à d’innombrables molécules, support des diffé­rentes fonctions biologiques. Le glucose, source de la vie physique, est une association carbone-hydrogène-oxygène. Le carbone est d’autant plus noble qu’il est hydrogéné : CH4 (le méthane) est le porteur de l’esprit dans la matière.

La lumière solaire nous donne, à travers les plantes, de l’oxygène pour nos combus­tions, et du glucose qui représente de l’énergie solaire cristallisée. Aux deux extré­mités de la lumière se trouve l’hydrogène. (En effet, la première manifestation qui émane de l’océan d’onde primordiale, c’est l’hydrogène et à l’autre extrémité, la vie qui nous parvient du soleil par le processus de la photosynthèse, ne peut se réaliser qu’à tra­vers l’hydrogène) .

Le méthane est le terrain d’une vie maté­rielle intense car il provient de la transforma­tion de micro-organismes, sorte d’œuvre au noir. La fermentation, selon Steiner, élève la substance à un niveau supérieur (Prigogine, R. Thom, Guillé). Il contient donc un principe de vie intense et va privilégier la vie physique (métabolique) du pôle neurosensoriel aux dépens des processus de conscience. « Nous avons toujours besoin d’un peu de méthane, sinon nous serions trop intelligents ; et si nous étions trop intelligents, nous souffririons de troubles digestifs » (Stei­ner).

Ce gaz provient de la fermentation de la cellulose dans l’intestin : une petite partie est renvoyée au cerveau, l’autre est éliminée.

Le gaz carbonique : Son action est opposée à celle du méthane : le centre respiratoire du cerveau est excité par la teneur de l’air en gaz carbonique.

« Dans notre air expiré se trouve du gaz carbonique ; ce gaz carbonique nous en avons besoin mais celui qui n’est pas expiré se porte en permanence vers notre tête ; nous en avons besoin pour ne pas être bêtes, pour que nous puissions penser. Si vous en avez trop peu dans la tête, vous vous endormez. » (Steiner).

Nous avons vu que la conscience ne peut naître qu’aux dépens de la vie physique (cellules cérébrales) ; la vitalité diminue au fur et à mesure de l’éveil et de l’accroisse­ment de la conscience.

Les plantes accumulent la substance orga­nique et l’oxygène porteur de vie à partir d’un produit de dégradation : le gaz carboni­que. Au contraire, les animaux supérieurs et l’homme détruisent en permanence la subs­tance vivante à l’aide de l’oxygène (combustions, oxydations) ; de là, naît l’éveil et pour l’homme la faculté de penser. Le gaz carbo­nique porte en lui un processus de dissolu­tion. Le corps astral détruit en permanence le corps physique mais pour l’aider à se restructurer à un niveau supérieur (Mythe de Prométhée). Il représente la destruction des formes dépassées afin de permettre aux matériaux constituants d’être utilisés dans une forme nouvelle : c’est le processus que décrit Guillé dans la désorganisation de l’ADN précédant une mutation. Si l’orga­nisme est fort, la mutation, ou initiation, réussit. S’il est faible, elle échoue et c’est la maladie et même la mort.

Donc, aux deux pôles de cette œuvre au noir, on trouve le gaz carbonique et le méthane, dont les rôles sont évidemment antagonistes et c’est de leur opposition dyna­mique que se maintiennent la conscience et l’éveil. Rappelons que le méthane est le porteur de l’esprit dans la vie physique.

Le cyanogène : Chacun sait qu’il compte parmi les poisons les plus violents qui soient ; mais, ici aussi, il comporte deux polarités puisqu’il est d’une importance vitale. En effet, toutes les fonc­tions métaboliques, y compris l’activité de la volonté, dépendent de processus formateurs de cyanure. « Le cyanure de potassium veut se former continuellement et continuellement nous nous y opposons » (Steiner) . Cette opposition à la formation constitue une neutralisation. Comment peut s’effectuer cette dernière ? Par l’action dont la volonté a déclenché le désir ; exemple : mouvoir un doigt, marcher, en un mot : agir.

Quand y a-t-il intoxication ? dans le non-agir. Une grande colère avec production de bile provoque un empoisonnement du sang, car la colère demande normalement un exutoire ; en l’absence de ce dernier, le métabolisme est déréglé : empoisonné, l’homme se cristallise. Donc, pour qu’il y ait mouvement, il faut du cyanogène et le mouvement neutralise ce dernier. Ici encore, nous voyons le couple dynamique : action-réaction (Lupasco : « Antagonisme de l’éner­gie »).

L’excès ou l’absence de l’un ou l’autre pôle et c’est la maladie. Il y a ceux qui veulent et ne peuvent pas, par déficience métabolique de fabrication du cyanogène, et ceux qui, empêchés d’agir, s’intoxiquent.

EN CONCLUSION

Toutes les données scientifiques précé­dentes nous ont amenés à démontrer que le matériel procède de l’immatériel ; la seule réalité est, en fait, la manifestation de force; s’exprimant par l’intermédiaire de forme; dynamiques (ondes) servies par la matière dense qui permet à ce couple Énergie Vibratoire/Système Vibratoire de se manifester physiquement. Lorsque nous maîtriserons les phénomènes engendrés par cette dynamique, nous détiendrons la clé de la vie et la serrure qui lui correspond se cache au cœur de notre psychisme.

Processus

Gaz carbonique (CO2) Méthane (CH4)

↓ ↓

Oxydation    Hydrogénation

↓ ↓

Destruction Fermentation

↓ ↓

Pensée Vie physique

↓ ↓

Éveil Sommeil

↓ ↓

Intelligence Inadaptation

↓ ↓

Dévitalisation Vitalisation

STRESS

↓ ↓

Action – Inhibition de l’action

– minéralisation

– maladies dites de civilisation par :

Hypoxie cellulaire

– effondrement du métabolisme
– baisse de l’énergie
– vieillissement
– auto-intoxication
etc., etc.

CANCER

Bibliographie

Émile PINEL : Les fondements de la biologie mathématique non statistique (Maloine, Paris, 1973) ; La relativité en biologie (Maloine, Paris, 1975) ; Vie et mort (Maloine, Paris, 1978) ; Physique de la cellule vivante (Maloine, Paris, 1981).

André BOURRÉE : Victoire possible sur le cancer par la centrio­logie (La Vie Claire).

Ilya PRIGOGINE : La nouvelle Alliance

Geoffrey CHEW : « Bootstrap : a scientific idea ? » (Science, vol. 161, pp. 762/765).

René THOM : Stabilité structurelle et morphogenèse (Inter-Éditions 1977) .

David BOHM : Quantum theory and beyond (Textes réunis par Ted Bastin).

Ruppert SHELDRAKE : The hypothesis of formative causation (A new science of life).

Étienne GUILLÉ et Christine HARDY : L’alchimie de la vie (Rocher 1983).