Julian Rose
Le délirant compte à rebours climatique — Une évaluation holistique du changement climatique réel

Traduction libre 24/10/2023 J’ai choisi de rédiger cet essai sous la forme d’un dialogue questions/réponses afin de présenter des réponses claires aux falsifications qui divisent actuellement notre monde. Q. Le climat change-t-il ? A. Oui Q. De quelle manière ? A. À bien des égards. Tout ce qui existe est soumis à un processus continu de changement. […]

Traduction libre

24/10/2023

J’ai choisi de rédiger cet essai sous la forme d’un dialogue questions/réponses afin de présenter des réponses claires aux falsifications qui divisent actuellement notre monde.

Q. Le climat change-t-il ?

A. Oui

Q. De quelle manière ?

A. À bien des égards. Tout ce qui existe est soumis à un processus continu de changement.

Q. Pouvez-vous expliquer…

A. Ce monde, sa biosphère et l’univers dans lequel se déroule le drame de la vie sont totalement liés et inséparables ; toutes les parties contribuent aux changements de l’ensemble. Par conséquent, il n’est pas juste d’affirmer qu’un seul facteur, par exemple le CO2, est l’agent causal du changement climatique.

Q. Mais il y a un agent causal qui fait monter les températures et provoque le changement climatique, n’est-ce pas ?

A. Bien que les institutions mondiales chargées du climat, comme le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), mettent l’accent, de manière très partiale, sur la combustion d’hydrocarbures en tant que principal agent causal du réchauffement/changement climatique, il s’agit là d’une interprétation grossièrement réductrice de la réalité. Ces « scientifiques » sont incapables de fournir des preuves empiriques de la nature de ce changement, ou même de dire si les températures moyennes mondiales augmentent, diminuent ou restent à peu près les mêmes.

Q. Nous ne pouvons donc pas nous attendre à ce que la science, telle qu’elle est formellement enseignée dans les institutions académiques, apporte des réponses ?

A. Exactement. Nous ne devrions pas non plus accorder la moindre crédibilité à des politiciens irresponsables dont la réponse robotique à toute critique de l’histoire du CO2 est « Suivez la science ».

Seule une compréhension de base de la physique quantique, avec ses schémas multidimensionnels récurrents de cause et d’effet, pourrait commencer à identifier les agents causaux derrière les processus de changement observable dans le climat. Et encore moins de qualifier l’existence de prétendus changements « provoqués par l’homme ».

Q. Mais ne peut-on pas affirmer avec certitude que des phénomènes climatiques observables et plus extrêmes se produisent à l’heure actuelle ?

A. Il semble que les événements extrêmes soient plus nombreux. Il peut y avoir un certain nombre de raisons à cela, dont aucune n’est imputable à un agent causal spécifique. Par exemple, la raréfaction continue de la couche d’ozone, une activité solaire spécifique, une magnétosphère plus faible et/ou le déplacement continu des pôles magnétiques. Chacun de ces facteurs, ou les trois, peut jouer sur les changements que vous mentionnez.

Q. Comment est-il possible que près de 100 % des décideurs politiques mondiaux aient accepté sans esprit critique la véracité des exercices de modélisation informatique (utilisés par les climatologues du GIEC) comme « preuve absolue » du fait que le dioxyde de carbone est le facteur clé du réchauffement de la planète ?

A. Pour répondre à cette question, il faut être conscient du pouvoir de persuasion psychologique qui opère derrière la croyance irrationnelle que « la science a la réponse ». On réclame à cor et à cri « un remède définitif » à tout problème perçu, et lorsque cela ne se concrétise pas, on adopte n’importe quelle invention qui fait l’objet d’un consensus parmi les personnes partageant les mêmes idées et qui correspond aux paramètres de la position politiquement acceptable du moment.

En d’autres termes, il s’agit de maintenir à tout prix le cap de la structure de pouvoir totalitaire mondialiste.

Q. Cela ne signifie-t-il pas qu’une histoire fabriquée, pourvu que suffisamment de personnes influentes soient persuadées de l’adopter, pourrait devenir la base de toutes les actions entreprises pour « arrêter le réchauffement climatique » ?

A. Cette possibilité est tout à fait plausible. Il existe des preuves vérifiables d’une telle fabrication provenant des réunions des Bilderberger et du Club de Rome qui remontent à 1972 et au-delà. Les plans étaient axés sur les moyens de maintenir le pouvoir entre les mains de l’élite des banquiers et des industriels en créant des histoires d’épouvante climatique pour effrayer le public et l’amener à se soumettre à l’autorité apparente de modèles informatiques corrompus.

Q. Est-il erroné d’associer la météo et le climat ? Ou s’agit-il essentiellement de la même chose ?

A. Non, ce n’est pas la même chose. Le climat est plus important que la météo. Le climat est directement associé à notre système solaire. Il a des origines cosmiques. L’influence de nos activités planétaires n’est que secondaire.

Les conditions météorologiques sur terre sont influencées par les activités géologiques et les interventions grossières de l’homme. Sur le plan géologique : les éruptions volcaniques, les changements de courant océanique liés à El Niño et les déplacements des pôles, par exemple.

Dans la sphère d’intervention humaine : la géo-ingénierie atmosphérique extensive (traînées chimiques ou chemtrails) ; le chauffage ionosphérique (HAARP) ; les armes à énergie directe ; les guerres ; les radiations électromagnétiques (CEM) ; la bétonisation et la désertification de l’environnement naturel ; l’agriculture chimique en monoculture et la perte significative de biodiversité que cela entraîne.

Q. Les termes « changement météorologique » et « changement climatique » sont-ils délibérément confondus ?

A. Il n’est que trop clair que la distinction appropriée n’est pas faite — et cela ouvre la porte à une exploitation massive de l’opinion publique. Cette confusion remonte à plus de trois décennies. Il suffit de se rappeler l’évolution des noms donnés à ce phénomène : « l’effet de serre », puis « le réchauffement climatique » et maintenant « le changement climatique ».

Q. Le grand public a été forcé de croire que les changements météorologiques aigus ont pour agent causal les activités de changement climatique/réchauffement de la planète menées par l’homme. Cela ressemble de plus en plus à un obscurcissement intentionnel de la réalité.

A. Oui, c’est vrai. Cependant, nous ne pouvons pas séparer complètement le climat de la météo. Toutes les forces énergétiques fondamentales de l’univers, y compris les planètes, les étoiles, les météores et les comètes, ne sont jamais séparées les unes des autres. Nous parlons d’UNE entité en constante évolution, composée de milliards d’expressions énergétiques de la volonté de notre Créateur (conception). Il s’agit là d’une vue d’ensemble.

Q. Pouvez-vous nous en dire plus sur ce tableau d’ensemble ?

A. Nous devons reconnaître la distinction entre le « macrocosme » et le « microcosme ». C’est au niveau microcosmique que nous pouvons discerner/expérimenter — de près — les différences d’importance, les modèles de comportement et les changements subtils par rapport aux normes apparentes. Au niveau macrocosmique, les événements sont trop importants pour être observés de près ; nous en faisons plutôt l’expérience par nos sens, nos intuitions et nos observations à long terme.

Ainsi, par exemple, nous pouvons supposer que l’activité volcanique est causée par les mouvements des plaques tectoniques des planètes. Mais le mouvement des plaques tectoniques pourrait être causé par des déplacements magnétiques de l’énergie dans le cosmos. Et les déplacements d’énergie dans le cosmos peuvent être causés par l’implosion de trous noirs ou la naissance de nouvelles étoiles.

L’existence est un événement quantique holistique. Nous ne pouvons donc jamais dire que la météo et le climat sont totalement distincts l’un de l’autre. Mais nous pouvons dire qu’ils sont des expressions « prédominantes » d’activités terrestres locales (microcosmiques), ou des expressions « prédominantes » d’activités cosmiques (macrocosmiques).

Q. Ceux qui imposent à l’humanité des contrôles globaux de type « Zéro Net » en ont-ils la moindre idée ? Ou agissent-ils dans l’obscurité ?

A. S’ils en ont conscience, c’est parce que ceux qui choisissent des stratégies sombres et sournoises pour arriver à leurs fins sont, à un certain niveau intellectuel, conscients de l’ordre cosmique des choses et de la manière de les manipuler.

À l’extrémité active des contrôles imposés à l’humanité se trouvent des individus psychopathes et psychotiques dont le credo est essentiellement caractérisé par une vision tunnel, le narcissisme et l’anti-vie. Ce sont ces personnes qui ont choisi d’imposer aux habitants de la planète Terre un régime despotique, répressif et factice de « lutte contre le changement climatique ».

Q. Ainsi, nous ne pouvons donc pas considérer le courant dominant de la « science » comme un guide fiable pour comprendre ce qui se passe si ses porte-parole prennent leurs ordres auprès de sources aussi déséquilibrées…

A. Non, certainement pas. Seuls les scientifiques qui suivent une discipline intuitive et empirique orientée vers la physique quantique peuvent interpréter correctement les complexités non seulement du changement climatique, mais aussi de toutes les interactions clés qui influencent le comportement des organismes vivants au sein du mouvement évolutif du cosmos.

Q. Hmm… c’est un nouveau paradigme massif que l’humanité doit digérer…

A. C’est vrai. Mais à moins de pouvoir le digérer — par étapes pour la plupart d’entre nous — nous ne pouvons pas et ne pourrons pas sauver notre planète de l’agenda aveugle et suicidaire auquel elle est forcée d’adhérer.

Q. Les personnes bienveillantes ont-elles un rôle à jouer pour aider à mettre fin à cette exploitation froidement calculée ?

A. Absolument. Prenons une perspective centrée sur le cœur : tout commence par une chose clé, l’« amour de la vie ». Tant que l’amour de la vie est plus fort que la peur, le cynisme et le désespoir, les émotions catalytiques qui nous motivent sont directement en phase avec les forces évolutives universelles. Un cordon ombilical avec notre Créateur.

Sur cette base, correctement entretenue, nous acquérons le pouvoir de nous organiser pour défendre la magnifique diversité de ce don unique qu’est la vie, ce qui implique de résister au dogme mortel d’une fausse science.

Une science qui a l’audace de prétendre qu’il faut déraciner les principes fondamentaux de notre vie quotidienne, se soumettre aux règles d’une dictature centralisée et accepter le blocage du CO2, ce gaz inoffensif dont chaque plante a besoin pour fabriquer l’oxygène dont nous et le règne animal ne pouvons nous passer. Nous devons trouver en nous la détermination d’avorter ce génocide de masse.

Q. Nous devons donc nous tourner vers nous-mêmes pour trouver les réponses ?

A. Au point dynamique central de toutes nos vies individuelles se trouve la même pierre de naissance qui a formé l’univers dont nous sommes une partie intégrante et une expression. On découvrira donc que les artistes, les philosophes, les agriculteurs traditionnels et les personnes orientées spirituellement sont bien mieux équipés que les scientifiques institutionnels, les politiciens et les décideurs « experts » pour guider la planète à travers cette crise.

La sagesse, la vérité et la justice sont les manifestations d’une compréhension de plus en plus profonde du fait que « l’amour de la vie » est une condition dont nous savons été bénis par le créateur omnipotent de ce grand firmament. Étant ainsi béni, il est de notre responsabilité de prendre la barre et de régler notre boussole en fonction du phare allumé par l’appel le plus profond de nos âmes.

Toutes les « figures d’autorité » qui choisissent de ne pas être guidées par le point source de leur propre vie, mais par des imposteurs et des trompeurs hostiles, doivent être reconnues et traitées comme les criminelles qu’elles sont. Ceux qui imposent à l’humanité les chimères du FEM : Green Deal « Net Zero », « Stop Climate Change », appartiennent à ce groupe.

Notre tâche est d’avancer courageusement en portant avec nous la reconnaissance de plus en plus grande que nous sommes les porte-étendards d’un processus dynamique de transformation. Une métamorphose totale de l’obscurité délibérément infligée en son exact opposé — un grand épanouissement du génie créatif et de la passion d’une humanité qui s’éveille.

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Julian Rose est un pionnier de l’agriculture biologique au Royaume-Uni, un écrivain, un communicateur et un activiste international. Il est également l’auteur de « Overcoming the Robotic Mind », « In Defence of Life » et « Creative Solutions to a World in Crisis ». Pour plus d’informations, voir son site web www.julianrose.info

Texte original : https://21stcenturywire.com/2023/10/24/the-delusional-climate-countdown-a-holistic-appraisal-of-real-climate-change/