Breton possédait une solide connaissance de l’alchimie : Flamel, Maïer, Fludd, Paracelse, Fulcanelli et son disciple Canseliet lui furent familiers. Outre cette connaissance, Breton, on n’en peut douter, a été conquis par certains aspects de l’alchimie, qui ont renforcés l’attrait que cette dernière pouvait exercer sur son système de pensée. Un surréaliste ne peut en effet que se sentir attiré par un courant d’idées en lutte contre l’Eglise, la pensée officielle et l’esprit scientifique.