Pendant longtemps j’ai considéré l’état atrophié de la pensée et de l’être modernes comme le résultat de la société industrielle, la conséquence de centaines d’années de « progrès » et de « développement » étouffant l’âme. Mais maintenant je vois que c’est l’inverse — notre pensée et notre être ont dû être réduits de cette manière afin que nous acceptions l’esclavage qui nous était destiné.
Paul Cudenec : Notre Monde Sacré : Joui, nié et retrouvé
