En fait, l’intérêt véritable des études sur les sourciers est de relancer la question du biomagnétisme, c’est-à-dire de l’action des champs magnétiques sur les êtres vivants. Scientifiquement, on se doit d’étudier ces sujets exceptionnels — une personne sur quarante, en moyenne — qui perçoivent les champs magnétiques ambiants sans l’aide d’aucun instrument. Nous avons là le sixième sens magnétique à l’état pur, tel qu’il devait exister chez l’homme de la préhistoire.