Quand on sait qu’un acte est malsain, dangereux pour son auteur, et pas seulement pour lui, on ne saurait aider cet auteur, même sous prétexte de lui être agréable — et avec l’insidieuse arrière-pensée de se concilier ses bonnes grâces — à y persévérer, à s’y asservir, s’y enliser. Ce n’est pas manifester, se donner une vraie liberté ; c’est contribuer, socialement, à donner un mauvais exemple, c’est se faire le complice d’un esclavage, d’un désordre générateur de morts et de graves souffrances.