A défaut de Sagesse l’homme finit par tomber dans la fange de la plus profonde des superstitions. Ce fut le cas lorsque le courant gnostique fut condamné par les théologiens, non seulement parce que bien des courants paragnostiques le discréditèrent, mais aussi parce que, prétendirent-ils, l’évolution des hommes ne les avait pas préparés à pénétrer le sens caché d’une transmission initiatique comportant des pouvoirs donc des dangers.