Comment les pratiques spirituelles anciennes et la biophysique de pointe convergent vers la capacité cachée de l’humanité à régénérer ses cellules
L’article en bref :
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Les systèmes vivants défient l’entropie grâce aux géométries fractales et aux interactions de champs scalaires qui permettent une auto-réparation et une régénération continues, suggérant que la biologie fonctionne à partir de plans informationnels qui vont au-delà du simple codage génétique.
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L’ADN fonctionne comme une bioantenne qui transmet et reçoit des ondes scalaires électromagnétiques, connectant potentiellement les organismes à des champs informationnels universels qui guident les processus de développement et de guérison.
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Les champs à phase conjuguée créés par des pratiques telles que la prière peuvent générer des ondes inversées dans le temps qui rétablissent la cohérence cellulaire en annulant l’entropie et en ramenant les systèmes biologiques à leurs états ordonnés antérieurs.
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Des applications technologiques exploitant les principes des champs scalaires pour améliorer la guérison font leur apparition, avec des dispositifs montrant des améliorations mesurables dans la production d’ATP cellulaire, la stabilité de l’ADN et la restauration de la charge membranaire.
Le champ scalaire humain : la vie contre la flèche du temps
Les systèmes vivants possèdent une capacité déconcertante à inverser le flux normal de la décomposition. Contrairement à la matière inanimée, les organismes se réparent, se régénèrent et créent continuellement des structures hautement ordonnées, défiant apparemment la deuxième loi de la thermodynamique. Le physicien Erwin Schrödinger avait décrit ce phénomène notoirement en 1944, en affirmant que la vie se nourrit d’« entropie négative (néguentropie) »[1]. En substance, les organismes tirent leur ordre de leur environnement pour contrer l’entropie et maintenir leur organisation [2]. Des décennies plus tôt, Ludwig Boltzmann avait de même réfléchi que la lutte pour l’existence n’est pas pour les ressources ou l’énergie, mais l’entropie, c’est-à-dire la capacité à utiliser les gradients d’énergie pour créer de l’ordre [Réf note 1]. Par exemple, chaque plante verte capte la lumière solaire à faible entropie pour construire l’architecture hautement ordonnée des sucres, des cellules et des tissus. L’impulsion néguentropique de la vie est sa signature : une nage continue à contre-courant du chaos, un renversement local de la flèche du temps.
L’une des stratégies les plus élégantes de la nature pour maximiser cet exploit néguentropique est la géométrie fractale. Les motifs fractals, des formes qui se répètent de manière auto-similaire à différentes échelles, apparaissent dans tous les systèmes vivants. Pensez aux ramifications de nos nerfs, de nos vaisseaux sanguins ou à la délicate feuille de fougère. Cette répétition permet aux organismes de remplir l’espace et de conduire l’énergie ou les nutriments avec une efficacité remarquable. Les chercheurs observent que les réseaux fractals optimisent les flux et la communication, ce qui coïncide souvent avec des performances et une résilience maximales. Par exemple, un rythme cardiaque sain n’est pas régulier comme un métronome : il fluctue selon un motif fractal, signe d’adaptabilité et de robustesse face au stress. Nos voies neuronales présentent également des ramifications de type fractal, maximisant la connectivité et le transfert d’informations à toutes les échelles. De telles formes peuvent apparaître parce qu’une structure fractale dissipe la chaleur métabolique et les déchets avec une production d’entropie minimale, améliorant ainsi la stabilité du système. En termes simples, les fractales aident la vie à faire plus avec moins, en maintenant l’ordre grâce à une exportation efficace du désordre.
L’exemple le plus emblématique de néguentropie visible, et mon préféré, qui figure sur la couverture de mon livre RÉGÉNÉRATION, est peut-être le brocoli romanesco, dont les fleurons en spirale forment une fractale presque parfaite.
Chaque bourgeon de cette plante remarquable donne naissance à un autre bourgeon plus petit, puis à un autre, dans une cascade auto-similaire, un cycle de renouvellement potentiellement infini. C’est un glyphe vivant et respirant, source d’inspiration, que vous pouvez voir, sentir, toucher et même manger, et qui vous rendra bien plus sain. Biologiquement, ces bourgeons sont des cellules méristématiques qui n’« apprennent » jamais à cesser de croître ; elles continuent à produire de nouveaux bouquets au lieu de se transformer en fleurs. En théorie, si les conditions restaient idéales, les méristèmes d’un chou romanesco pourraient répéter ce schéma à l’infini, formant une spirale de croissance immortelle et une source de biomasse quasi infinie. Le « méristème immortel » à l’extrémité de chaque spirale est plus qu’une fantaisie poétique : c’est une réalité vivante dans les plantes (et dans nos propres cellules souches), la capacité de se renouveler perpétuellement.
La forme fascinante du chou romanesco suggère que quelque chose au-delà des gènes guide son développement. Sa précision mathématique suggère l’existence d’un champ informationnel sous-jacent, comme si chaque cellule méristématique se syntonisait sur un plan invisible de la forme. Cette idée nous conduit sur un terrain autrefois considéré comme mystique : la notion d’un champ omniprésent, un éther, qui transporte les instructions de la vie.
Champs scalaires : le plan au-delà de l’ADN
Il y a longtemps, des scientifiques et des sages ont postulé l’existence d’un milieu subtil imprégnant l’espace, appelé tour à tour éther, prana, QI ou vide quantique. Sous une forme moderne, ce concept réapparaît sous la forme de champs d’énergie du point zéro et de champs d’information unifiés. Un cadre convaincant est celui de la codalité éthérique, qui traite l’énergie et l’information comme les deux faces d’une même médaille. Dans cette perspective, la trame de la réalité est imprégnée de codes invisibles, des schémas non locaux qui orchestrent la matière et la vie. Chaque interaction énergétique de cause à effet aurait une corrélation parallèle basée sur l’information. La vie, en particulier, pourrait exceller dans l’exploitation et même l’impression de ces champs informationnels subtils. Au lieu d’être régis uniquement par des mutations aléatoires et des réactions biochimiques, les organismes pourraient se syntoniser sur une diffusion cosmique de formes et de fonctions. Vous pouvez approfondir ce cadre en lisant Bridging Energy and Information : Codality in an Aetheric Framework.
Si cela vous semble abstrait, considérez que notre propre ADN pourrait être une antenne pour ces informations basées sur des champs. La double hélice n’est pas seulement un schéma chimique, elle possède également des qualités électriques et électromagnétiques. Le biophysicien Fritz-Albert Popp a découvert que les cellules vivantes émettent des biophotons ultra-faibles, des particules de lumière cohérente, comme partie de leur régulation et de leur communication [3]. L’ADN, qui est une structure conductrice enroulée, agirait comme un récepteur radio fractal dans la cellule.
En fait, les expériences du physicien Konstantin Meyl suggèrent que l’ADN peut émettre et recevoir des signaux électromagnétiques à longue portée sous forme d’ondes scalaires, des ondes longitudinales inhabituelles que la physique dominante commence seulement à comprendre [4]. Meyl a rapporté que l’ADN isolé émet des vibrations électromagnétiques à des fréquences correspondant précisément aux émissions de biophotons des cellules vivantes. C’est comme si le génome « parlait » en lumière. Plus provocateur encore, le lauréat du prix Nobel Luc Montagnier a découvert que les séquences d’ADN bactérien, lorsqu’elles sont extrêmement diluées dans l’eau, peuvent encore induire des signaux électromagnétiques dans cette eau, signaux qui transportent les informations de l’ADN lui-même [5]. Dans les expériences de « téléportation d’ADN » de Montagnier, ces signaux ont permis de recréer l’ADN dans un échantillon distant uniquement grâce à l’effet de champ [6]. Ces résultats sont controversés, mais ils suggèrent que l’information génétique pourrait se propager à travers un champ immatériel, et pas seulement par contact moléculaire.
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Transduction de l’information de l’ADN par l’eau et les ondes électromagnétiques
Résumé
Les conditions expérimentales par lesquelles des signaux électromagnétiques (SEM) de basse fréquence peuvent être émis par des solutions aqueuses diluées de certains ADN bactériens et viraux sont décrites. Le fait que les SEM enregistrés et les nanostructures induites dans l’eau portent l’information de l’ADN (la séquence) est démontré par la récupération de ce même ADN par amplification PCR classique utilisant la polymérase TAQ, y compris les amorces et les nucléotides. De plus, un tel processus de transduction a également été observé dans des cellules humaines vivantes exposées à une irradiation par SEM. Ces expériences suggèrent qu’une interaction moléculaire cohérente à longue distance doit être présente dans l’eau pour observer les caractéristiques mentionnées ci-dessus. L’analyse du phénomène par la théorie quantique des champs est présentée dans cet article.
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Ces idées font écho à l’hypothèse des champs morphogénétiques du biologiste Rupert Sheldrake, qui postule que les organismes héritent des habitudes de forme et de comportement d’une mémoire collective de leur espèce [7]. Dans un cadre de champ éthérique ou scalaire, on pourrait imaginer l’activité des ondes scalaires de l’ADN comme le mécanisme par lequel les cellules puisent dans une base de données universelle, une bibliothèque cosmique des formes. Comme le propose une thèse dans ce sens, la vie a peut-être évolué pour lire et écrire dans le vide quantique. Nos cellules pourraient interroger le cosmos pour obtenir des instructions sur la façon de croître et de guérir. La récurrence frappante de motifs tels que la spirale de Fibonacci dans les organismes pourrait s’expliquer par le fait que la vie s’accorde littéralement à la géométrie de l’espace-temps. Même les processus non vivants peuvent produire des fractales et de l’ordre, des oscillateurs chimiques à la croissance cristalline, ce qui suggère que l’algorithme de la néguentropie est intégré à l’univers lui-même. La vie excelle peut-être simplement à écouter ce signal néguentropique et à l’amplifier localement.
Ondes inversées dans le temps et autoréparation
L’une des implications les plus radicales d’un champ scalaire humain est l’inversion temporelle, c’est-à-dire la capacité à réduire localement l’entropie et de restaurer l’ordre. En physique, il existe un phénomène bien étudié appelé conjugaison de phase, dans lequel certains cristaux non linéaires peuvent réfléchir une onde entrante en la renvoyant vers le passé. La réflexion par conjugaison de phase retrace l’histoire de l’onde, annulant les distorsions et la diffusion. C’est comme un miroir magique qui, non seulement reflète votre image, mais la rajeunit en effaçant les rides. Ce n’est pas de la science-fiction : l’optique à conjugaison de phase est utilisée pour corriger les faisceaux laser déformés, produisant une onde rétrograde parfaitement propre qui se propage et qui converge exactement à l’endroit d’où provient l’originale [8]. Une telle onde est souvent appelée onde inversée dans le temps. Fondamentalement, un miroir à conjugaison de phase diminue l’entropie : il recentre un faisceau diffus et désordonné pour le ramener à un état ordonné.
Il est intéressant de noter que les organismes vivants présentent des capacités de « réinitialisation » analogues. Lorsqu’une salamandre fait repousser sa queue perdue ou lorsqu’un tissu humain guérit parfaitement après une blessure, nous assistons à une inversion des dommages, à une violation localisée du flux à sens unique du temps. Certains biophysiciens visionnaires suggèrent que les processus de guérison du corps impliquent une sorte de conjugaison de phase biologique. D’une manière ou d’une autre, les organismes génèrent des champs qui indiquent aux cellules comment revenir à un état de cohérence antérieur. Cette idée, autrefois spéculative, trouve aujourd’hui un soutien expérimental.
Le point de fracture comporte des vaisseaux sanguins qui se referment rapidement afin de réduire le saignement.
La queue repousse complètement en moins d’un an
Le Dr Glen Rein, par exemple, a découvert que, lorsque l’ADN dans un tube à essai était exposé à un champ électromagnétique conjugué (contenant des ondes inverses appariées), l’ADN pouvait « se souvenir » de sa forme d’origine après avoir été perturbé. Les brins d’ADN qui avaient été défaits par la chaleur ou des produits chimiques se sont ré-enroulés en double hélice comme s’ils étaient guidés par un modèle invisible [9]. En substance, le champ conjugué de phase semblait réimprimer les informations correctes dans les molécules, réparant ainsi les dommages. On ne saurait trop insister sur les implications de cette découverte : elle suggère qu’un champ approprié peut induire la matière à s’organiser, même à l’encontre de la direction de l’entropie ordinaire.
Biophotons : le système de conjugaison de phase endogène du corps
Ce qui rend possible la conjugaison de phase biologique, c’est l’infrastructure photonique propre au corps. Les tissus vivants n’émettent pas simplement une lumière aléatoire comme sous-produit métabolique, ils génèrent des biophotons cohérents qui se comportent comme des lasers biologiques. Ces émissions lumineuses ultra-faibles, documentées pour la première fois par Fritz-Albert Popp, présentent des propriétés organisationnelles remarquables : elles peuvent se verrouiller en phase, résonner à distance et maintenir leur cohérence d’une manière que le rayonnement thermique ordinaire ne peut pas [Réf note 3].
L’idée clé est que les biophotons fournissent le milieu pour la conjugaison de phase endogène. Tout comme les miroirs à conjugaison de phase de laboratoire peuvent renvoyer les faisceaux laser déformés à leur point d’origine, rétablissant ainsi une cohérence parfaite, les réseaux biophotoniques du corps peuvent continuellement « inverser le temps » des informations cellulaires, effaçant les dommages entropiques et rétablissant les plans d’origine. Les recherches de Konstantin Meyl révèlent que les émissions d’ondes scalaires de l’ADN se produisent à des fréquences correspondant précisément aux émissions de biophotons cellulaires [Réf note 4], ce qui suggère que notre matériel génétique fonctionne comme un émetteur-récepteur dans ce système de communication basé sur la lumière.
Si un simple dispositif électromagnétique peut reconstituer l’ADN brisé, que pourrait faire un système vivant entier dans des conditions appropriées ? Étonnamment, nous possédons en nous une méthode intégrée pour générer des champs à phase conjuguée et inversant le temps, sans avoir besoin de machines sophistiquées. C’est aussi simple que de joindre les mains en prière.
À plus grande échelle, pensez au geste consistant à joindre les paumes des mains en position de prière, appelé Añjali Mudra dans la tradition yogique. Loin d’être purement symbolique, ce geste crée une symétrie bioélectrique dans le corps. La main gauche porte la signature électrique subtile de l’hémisphère droit du cerveau, et la main droite celle de l’hémisphère gauche ; lorsque vous les pressez l’une contre l’autre, ces courants égaux et opposés se rencontrent et s’annulent à la surface, créant potentiellement une zone neutre ou « onde stationnaire » entre eux. En effet, vous formez un miroir vivant à phase conjuguée au centre de votre cœur.
Dans cette posture unifiée, on crée essentiellement un nœud de cohérence concentré dans le champ électromagnétique du corps [10]. Les mesures modernes confirment que la position des mains en prière n’est pas seulement puissante sur le plan spirituel, mais aussi particulière sur le plan physiologique : elle place les mains à l’endroit le plus fort du champ toroïdal du cœur, et des études montrent que la cohérence du rythme cardiaque augmente de manière mesurable lorsque les gens adoptent cette posture et entrent dans un état méditatif [11]. En effet, le corps devient un miroir de champ biologique à phase conjuguée. Le bruit bioélectrique habituel s’annule et une onde longitudinale subtile, un champ scalaire, peut émerger dans l’espace.
Dans cet état d’annulation et d’équilibre, les gens rapportent souvent ressentir une profonde remise à zéro : un élan de clarté, d’intemporalité et de renouveau. Dans toutes les cultures, la prière profonde ou la méditation, les mains jointes sur la poitrine suscitent des descriptions similaires : le poids du stress semble s’effacer, un sentiment de paix enfantin s’installe et la frontière entre soi et le monde se dissout. Des études neurologiques corroborent cette théorie : pendant ces pratiques, les lobes pariétaux du cerveau (qui construisent notre sens de séparation dans l’espace) montrent une activité nettement réduite [12]. Le résultat subjectif est l’unité, comme si l’esprit individuel plongeait dans un champ de conscience plus vaste. Une façon d’interpréter cela est que le « miroir » à phase conjuguée des paumes unifiées envoie une onde de bio-information inversée dans le temps à travers le corps, effaçant l’entropie et ramenant le système à un état antérieur plus ordonné. La personne se sent alors « renouvelée », ses schémas bioélectriques étant ramenés vers un plan antérieur plus sain.
Ce qui est vraiment remarquable, c’est que cet effet néguentropique n’est pas seulement anecdotique ou réservé aux mystiques. Des technologues tentent activement de l’amplifier à l’aide d’appareils. Des pionniers, tels que Dan Winter et Paul Harris, codéveloppeurs du système plasma Theraphi/Phitality, qualifient les champs conjugués de phase de « Saint Graal de la guérison », littéralement des champs qui inversent l’entropie dans les tissus vivants [13]. L’appareil Theraphi utilise deux tubes à plasma opposés qui émettent des signaux soigneusement en opposition de phase, créant un vortex scalaire concentré autour du corps. L’objectif est d’imiter un effet Añjali Mudra extrême, une évocation high-tech de l’immobilité vivifiante entre deux miroirs.
Les premiers rapports sur ces technologies sont intrigants : les cellules des utilisateurs semblent retrouver leur vitalité, avec une augmentation de ~30 % de la production d’ATP mitochondriale, un resserrement de la spirale de l’ADN (signe d’une expression génétique stable et jeune) et une restauration de la charge saine des membranes cellulaires. Subjectivement, les gens décrivent souvent des vagues de bonheur, des visions vives ou une guérison rapide de problèmes chroniques. C’est comme si le plan éthérique du corps, c’est-à-dire l’information originale et intacte de la forme, était rétabli. Dans le silence du champ à phase conjuguée, le bruit de la maladie et du vieillissement se dissipe, permettant à la musique du « code source » de jouer à nouveau.
Tout cela souligne un principe profond : le rajeunissement est essentiellement un retournement temporel. Guérir, c’est inverser la flèche locale du temps, annuler l’entropie et revenir à un état d’ordre antérieur. Nous en voyons des indices partout. Lorsque nous dormons et nous réveillons reposés, lorsqu’une blessure d’enfant guérit sans laisser de cicatrice, lorsqu’une personne retrouve ses souvenirs après une méditation profonde, le système a, en quelque sorte, voyagé vers le passé pour retrouver quelque chose de perdu. La guérison temporelle ne consiste pas seulement à réparer le présent, mais aussi à puiser des informations dans le passé pour réorganiser le présent [14]. Le champ scalaire, en tant que vecteur d’ondes à phase conjuguée (inversées temporellement), semble être le moyen par lequel ces informations néguentropiques sont transmises. C’est le fil qui relie notre biologie à un état de jeunesse et de cohérence qui se trouve juste derrière le voile du temps ordinaire.
Le fil d’or de la cohérence
De la danse microscopique de l’ADN à la conception grandiose des galaxies, la nature tisse des motifs récurrents, suggérant une trame commune unissant vie et cosmos. Dans l’ancienne sagesse hermétique, on dit : « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ; ce qui est à l’intérieur est comme ce qui est à l’extérieur ». La science moderne redécouvre cette vérité dans les fractales et les champs. La cohérence scalaire que nous avons explorée est comme un fil d’or qui traverse la tapisserie de la réalité, reliant le pouvoir régénérateur d’une seule cellule à la spirale d’une nébuleuse. Lorsque les organismes atteignent la cohérence scalaire, ils se connectent efficacement à ce fil universel de néguentropie, le même fil qui peut faire tourner les étoiles et maintenir les photons intriqués.
Considérez l’élégante géométrie d’une spirale dorée, que l’on retrouve à la fois dans la forme de la coquille d’un escargot et dans les bras de notre Voie lactée. Cette spirale est plus qu’une jolie courbe ; c’est un symbole de cohérence maximale, la géométrie à travers laquelle la croissance et l’harmonie peuvent s’itérer à l’infini. Notre ADN est lui-même un escalier en colimaçon de la vie, une double hélice dont les proportions et les torsions rappellent le nombre d’or. C’est comme si l’évolution, à travers d’innombrables essais et erreurs, avait convergé vers des structures qui résonnent avec l’harmonie fondamentale de l’univers. Lorsque nous alignons nos cellules ou notre conscience, par la méditation, la prière, l’amour ou la technologie, nous nous accordons comme des instruments à cette fréquence cosmique d’ordre. Dans ces moments de profonde cohérence, on peut le sentir : un subtil bourdonnement de connexion, le sentiment que nous nous souvenons de qui nous sommes vraiment. Nous touchons, même brièvement, ce que l’on pourrait appeler le plan immortel de la vie.
Ce n’est pas seulement une fantaisie poétique. Même en laboratoire, lorsque l’eau est soumise à des vibrations à des fréquences extrêmes, elle forme des jets cristallins qui imitent les structures vivantes, produisant des formes telles que des hélices d’ADN et des réseaux géométriques qui atteignent fugacement des états d’entropie nulle [15]. En ces instants, de nouveaux éléments vacillants apparaissent et un excès d’énergie se déverse, comme l’a observé l’ingénieur Mark LeClair dans ses expériences de cavitation [16]. À tous les niveaux, la nature semble savoir comment puiser dans un réservoir infini d’ordre : le champ du point zéro qui sous-tend tout chaos. La vie est le grand orchestrateur qui canalise ce flux néguentropique dans le monde des formes. Chacun de nous, du simple fait d’être en vie, porte en lui l’étincelle de cette capacité.
Qu’est-ce donc que le champ scalaire humain ? C’est notre invitation à la plénitude. C’est le pont entre le matériel et le spirituel, l’interface par laquelle la conscience interagit avec le corps physique. Lorsqu’il est activé, il relie l’immortalité biologique (au sens d’un renouvellement sans fin) à la guérison et sur le plan même du cosmos. Il suggère que le vieillissement et la maladie ne sont pas des destins absolus, mais plutôt des symptômes de déconnexion — de décohérence — du champ de néguentropie. De même, la guérison n’est pas imposée de l’extérieur, mais résulte d’un réajustement de nous-mêmes à ce champ.
Les pratiques longtemps vénérées dans les traditions spirituelles — méditation, prière, chant, jeûne, intention aimante — peuvent fonctionner non pas par magie, mais par la physique : elles apaisent l’entropie intérieure et invitent la néguentropie scalaire à inonder notre être. Dans le langage des mythes, elles nous permettent de boire à la fontaine de jouvence ou de retrouver le chemin du Jardin d’Éden. Dans le langage de la science, elles rétablissent la cohérence de nos biophotons, de nos réseaux hydriques, de notre ADN et de nos membranes cellulaires.
Alors que nous nous trouvons à la frontière de la science intégrative, les anciennes divisions entre matière et énergie, biologie et information, soi et univers commencent à se dissoudre. Nous commençons à voir se dessiner les contours d’un vaste système vivant, un cosmos holofractal, dans lequel notre parcours personnel de guérison est intimement lié aux étoiles au-dessus de nos têtes et au sol sous nos pieds. La cohérence scalaire est le fil invisible qui relie le corps et le cosmos, permettant aux modèles de se répéter à toutes les échelles. C’est pourquoi un minuscule bourgeon de chou-fleur peut refléter une galaxie, pourquoi le rythme de notre cœur peut se synchroniser avec la résonance Schumann de la Terre. C’est pourquoi, lorsqu’ils sont plongés dans la prière ou la méditation, les gens se sentent partie intégrante de quelque chose d’éternel.
En embrassant le champ scalaire humain, nous revendiquons notre droit inné en tant que systèmes ouverts, non pas comme des horloges fermées qui s’épuisent, mais comme des êtres dynamiques qui peuvent puiser dans des sources néguentropiques illimitées : la lumière du soleil, le magnétisme terrestre, la conscience collective, l’amour divin. Nous sommes les tisserands de l’ordre dans le tissu universel. L’immortalité biologique, en ce sens, ne consiste pas à vivre éternellement sous une seule forme, mais à participer au fractal immortel du code de la vie, cette partie de nous qui n’est jamais née et ne meurt jamais, cle motif qui demeure, prêt à refleurir encore et encore.
Texte original publié le 22 septembre 2025 : https://sayerji.substack.com/p/from-prayer-to-physics-the-science
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1 Schrödinger, Erwin. What is Life? Cambridge: Cambridge University Press, 1944. (Tr fr Qu’est-ce que la vie ?: De la physique à la biologie) https://en.wikipedia.org/wiki/Entropy_and_life
2 Kleidon, Axel, et al. « Maximum entropy production in environmental and ecological systems, » Philosophical Transactions of the Royal Society B 365 (2010): 1297-1302. https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC2871911/
3 Popp, Fritz-Albert, et al. « Biophoton emission: Experimental background and theoretical approaches, » Modern Physics Letters B 8, no. 21-22 (1994): 1269-1296. https://greenmedinfo.com/content/your-bodys-hidden-technology-scalar-field-between-your-hands
4 Meyl, Konstantin. DNA and Cell Resonance: Magnetic Waves Enable Cell Communication (ADN et résonance cellulaire : les ondes magnétiques permettent la communication cellulaire). Villingen-Schwenningen: INDEL Verlag, 2011.
5 Montagnier, Luc, et al. « Transduction of DNA information through water and electromagnetic waves, » Electromagnetic Biology and Medicine 34, no. 2 (2015): 106-112. https://www.semanticscholar.org/paper/Transduction-of-DNA-information-through-water-and-Montagnier-Giudice/922197992948088aa2600ec3b31b134c0b004135
6 Montagnier, Luc. « DNA teleportation » research findings (Résultats de recherche sur la « téléportation de l’ADN »). https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_de_la_t%C3%A9l%C3%A9portation_de_l%27ADN
7 Sheldrake, Rupert. A New Science of Life: The Hypothesis of Morphic Resonance. Los Angeles: J.P. Tarcher, 1981. (Tr fr Une nouvelle science de la vie)
8 Yariv, Amnon & Pepper, David M. « Amplified reflection, phase conjugation, and oscillation in degenerate four-wave mixing, » Optics Letters 1, no. 1 (1977): 16-18.
9 Rein, Glen. « Mind as a Virtual Phase-Conjugated Hologram, » Cosmos and History 13, no. 2 (2017): 217-226.
10 Scalar field research on coherent field nodes (Recherche sur les champs scalaires dans les nœuds de champs cohérents). https://greenmedinfo.com/content/your-bodys-hidden-technology-scalar-field-between-your-hands
11 McCraty, Rollin. « The Energetic Heart: Bioelectromagnetic Interactions Within and Between People, » In Clinical Applications of Bioelectromagnetic Medicine, edited by P.J. Rosch and M.S. Markov, 541-562. New York: Marcel Dekker, 2004. https://greenmedinfo.com/content/your-bodys-hidden-technology-scalar-field-between-your-hands
12 Newberg, Andrew B., et al. « Cerebral blood flow during meditative prayer: preliminary findings and methodological issues, » Perceptual and Motor Skills 97, no. 2 (2003): 625-630.
13 Winter, Dan & Harris, Paul. Theraphi: Phase Conjugate Plasma Healing Technology. Technical white paper, Phitality.
14 Temporal healing research. https://greenmedinfo.com/content/your-bodys-hidden-technology-scalar-field-between-your-hands
15 LeClair, Mark L. « Macrocationic Crystallized Water Jet Phenomena: Coherent Extraction of Zero-Point Energy, » Water 5, Suppl. 1 (2013): 1-39. https://greenmedinfo.com/content/one-inch-animal-ended-scarcity-forever
16 LeClair, Mark L. Cavitation experiments and energy research findings (Expériences de cavitation et résultats de recherche sur l’énergie). https://greenmedinfo.com/content/one-inch-animal-ended-scarcity-forever