Maud Cousin : Le corps, l’eau et l’air

Steiner voit plusieurs niveaux à l’être : la partie solide, la partie liquide et la partie gazeuse. Après le « moi » qui est chaleur, il y a la partie gazeuse qui correspond à l’astral, aux poumons. Quand les sentiments ne sont pas en ordre, cela favorise les gaz et les fermentations parce qu’il y a nervosité, passage de l’air là où il ne le devrait pas, comme pour l’asthme. Steiner dit du poumon qu’il est l’organe terre parce qu’il permet à la vie d’entrer matériellement, alors que l’organe air est le rein ce qui n’est pas le point de vue classique.

Maud Cousin : Le corps et les métaux

Ainsi notre époque morose serait due à une trop grande absorption de plomb, dans les vapeurs d’essence par exemple. Par contre, jusqu’à un certain point, le plomb favorise la réflexion… Le fer, métal le plus répandu dans notre organisme, est un métal raide. Il n’y a qu’à voir son emploi : armes, choses qui piquent ou du même ordre. Il semble qu’il soit très important, car sans lui, le moi ne pourrait pas se manifester parce que le moi est quand même quelque chose d’agressif…

Maud Cousin : Le sang, les organes et les planètes

Le sang correspond au Moi, il est le milieu le plus important. Or penser comporte pas mal de dépense d’énergie, de substance. On se fatigue autant que dans des exercices physiques et les tissus qui servent à penser, ne se régénèrent pas facilement. Le cerveau est un pôle très dense. Le sang a son rôle à jouer. Il est oxygéné, propulsé dans le cœur et dans les poumons. La vie de notre organisme tient dans cette partie-là, sinon nous ne pourrions pas bouger, vivre. Le sang est donc un intermédiaire absolument extraordinaire et qui, finalement incarne nos possibilités.

Jacques Kalmar : Acupuncture chinoise

L’Acupuncture chinoise, en tant que discipline thérapeutique, est de prime abord assez déconcertante aussi bien par ses principes de base que par ses méthodes particulières d’examen des malades. N’usant pour agir contre les maladies — nous dirons de préférence les dérythmies — d’aucune substance médicamenteuse, l’Acupuncture s’écarte délibérément des voies tracées par la Médecine allopathique que l’Occident a la simplicité de déclarer universelle et seule véritable.