Mohammed Mathlouthi : L’eau materia prima où biologique, psychologique et cosmique se fondent…

(Revue 3e Millénaire. Ancienne série. No 18. Janvier/février 1985) Sur la terre, toute vie naît de l’eau elle-même moule et mémoire de l’univers. Mohammed Mathlouthi, qui était chercheur-enseignant à la faculté de Dijon, nous explique, selon les connaissances de 1985, quelles sont les trois liaisons de l’eau : biologique, psychologique et cosmique. C’est grâce à cette liaison cosmique […]

François Longchamp : Un sourcier à l'écoute de l'eau

Puis, j’ai eu le sentiment que les psychanalystes étaient mal armés pour manier les forces qui entrent en jeu dans la psychanalyse en général. Il leur manque peut-être le côté chamanique, d’être capables de se plonger dans la nature sans rien attendre de leurs patients. En fait, Freud est plus large qu’on ne le pense généralement, mais cela ne passe pas toujours dans la pratique. Tout ceci m’a éloigné de la psychanalyse et rapproché de l’astrologie, pour laquelle j’étais horriblement sceptique au départ…

Gérard Blanc : Sagesse de l'eau

Tout ce qui existe sur Terre est une manifestation du flux et de l’organisation de l’énergie. Le système fermé de la thermodynamique classique — qui n’échange ni énergie ni matière ni information avec son environnement — totalement coupé du monde extérieur, est une abstraction des physiciens. Tout système sur terre est au contraire un système ouvert en relation permanente avec son environnement qui le modifie en permanence et qu’il modifie en retour.

Maud Cousin : Le corps et l’eau

Or on peut dire que l’élément de base de la vie, c’est l’eau. Aucune vie — en tant que vie active — n’est pratiquement possible sans eau, c’est une substance absolument vitale : tous nos échanges se font dans un milieu aqueux, que ce soit dans nos cellules, entre elles, dans notre sang, la lymphe, nos absorptions. Sans eau, on ne peut vivre que quelques jours. L’eau entre pour 67 % dans le poids de notre corps. La salive, les sucs digestifs, l’urine, sont composés d’eau à 99 %.

Maud Cousin : Le corps, l’eau et l’air

Steiner voit plusieurs niveaux à l’être : la partie solide, la partie liquide et la partie gazeuse. Après le « moi » qui est chaleur, il y a la partie gazeuse qui correspond à l’astral, aux poumons. Quand les sentiments ne sont pas en ordre, cela favorise les gaz et les fermentations parce qu’il y a nervosité, passage de l’air là où il ne le devrait pas, comme pour l’asthme. Steiner dit du poumon qu’il est l’organe terre parce qu’il permet à la vie d’entrer matériellement, alors que l’organe air est le rein ce qui n’est pas le point de vue classique.