Pascal Ruga : Prendre congé de l'illusion, c'est un peu prendre congé des hommes
Mourir à soi, à son art, à sa famille, à ses amis, c’est aussi abandonner toute raison de vivre, toute justification, toute mentalisation de cette justification ; c’est laisser à chaque mouvement la transparence de sa présence dans l’immédiat, c’est le laisser naître d’une source intemporelle, où la mort et la vie sont les fleurs d’un même bouquet.