John Torday : La membrane cellulaire comme « chaînon manquant » de l’évolution de la conscience

Bien que le professeur Torday soit d’accord avec Federico Faggin sur le fait que la mécanique quantique est essentielle à la conscience, il soutient que le rôle de la membrane cellulaire — qui sépare un organisme de son environnement — est essentiel à l’assimilation sélective ou au reflet des propriétés quantiques du cosmos dans la conscience différenciée de l’organisme. Cet essai est court, dense et peut être difficile à analyser. Mais il récompense largement l’effort du lecteur patient et déterminé. Les nombreuses références bibliographiques de l’essai offrent également un terrain riche pour des explorations ultérieures.

Jessica Rose : Sur la conscience : Esprits, Modèles et Mystères

Le cerveau qui étudie le cerveau. À quel point c’est hallucinant ? La conscience émerge-t-elle du chaos de la biologie complexe, ou lui est-elle fondamentale ? Est-elle fondée sur la biologie/la chimie/la physique, ou bien en est-elle séparée ? Et quels rôles jouent les champs harmoniques ?

Arthur Firstenberg : Les ondes radio sont nocives, point final !

LA PUISSANCE EST SANS IMPORTANCE Il suffit d’un violon désaccordé dans un orchestre ou d’une voix fausse dans une chorale pour gâcher une belle harmonie ou un ensemble enchanteur. Peu importe que le grincement soit fort ou faible, s’il ne s’arrête pas, la représentation prendra fin. Il en va de même pour les cellules de […]

Alfred Herrmann : La stupéfiante odyssée des Cellules

L’univers le plus mystérieux et insondable est, sans aucun doute, l’univers de l’ANIMATION qui confère l’INDIVIDUALITE, la CONSCIENCE et la VIE à toutes les unités vivantes, végétales, animales et à l’homme ainsi qu’à leurs composants depuis le moindre virus, microbe ou brin d’herbe. Chez l’homme et chez les espèces supérieures, l’élément d’animation est doublé d’un facteur de nature psychique et éthique que l’on a désigné par le nom un peu mystérieux et imprécis d’AME. Les éléments individualités et âme font que non seulement chaque créature vivante — même chez les végétaux — possède une individualité qui la fait différer de toute autre créature, et qu’également tous les éléments divisionnaires de ces créatures possèdent chacun une individualité propre comportant des myriades de facteurs matériels et psychiques différents d’un élément à l’autre. Par exemple, chaque branche d’arbre, chaque fruit, chaque membre d’une créature vivante possède son INDIVIDUALITE, c’est-à-dire un ensemble de milliards de myriades de facteurs matériels et psychiques divisionnaires qui diffèrent, ne fût-ce que par fraction infiniment petite, d’un élément à l’autre.