Prenons par exemple l’hypertension artérielle. Quelle en est la cause ? Chez 95 % des patients, nous n’en avons aucune idée. Nous ne le savions pas à l’époque, et nous ne le savons toujours pas. Nous appelons toujours cela « essentiellement hypertension », ce qui signifie — en clair — une pression artérielle élevée sans cause connue. Et la stratégie proposée alors, comme aujourd’hui, est… la faire baisser. Voilà. Problème résolu. Et on appelle ça du progrès ? Hum… (ma foi). Aucune innovation ici… vérifié.
Je ne suis pas biologiste. J’ai d’abord été formé sur un ensemble de données philosophiques comprenant de nombreux textes post-structuralistes et postmodernes abscons. J’ai appris à filtrer les absurdités pour atteindre la revendication plutôt simpliste qu’elles contenaient, afin de l’analyser. J’ai pu appliquer mes compétences à des articles douteux financés par l’industrie pharmaceutique, et j’applique ici la même méthode à cet article sponsorisé par Google au sujet d’un nouveau produit qu’ils veulent vendre.
Alors que l’agrarianisme enracine l’agriculture dans la communauté, l’éthique et le soin du sol, offrant une vision morale et culturelle de l’agriculture, l’agroécologie politique met ces valeurs en pratique, montrant comment les communautés peuvent organiser collectivement l’agriculture pour soutenir les populations, l’environnement et le contrôle local de l’alimentation. Elle partage avec l’agrarianisme l’accent mis sur la décentralisation, le travail coopératif et le lien culturel à la terre, mais l’agroécologie politique ajoute des outils de transformation systémique, combinant science écologique, mobilisation locale et action politique pour faire progresser la souveraineté alimentaire.
Nous devons renoncer à l’idée qu’il existe des choses matérielles que nous décrivons depuis l’extérieur. La meilleure façon de conceptualiser la réalité à la lumière de la science moderne est en termes d’informations relatives que les éléments de la nature possèdent les uns sur les autres. Nous ne pouvons que dire comment le monde apparaît depuis notre perspective limitée et biaisée. C’est très radical, car on ne peut plus dire : « Voici la liste des choses dans le monde, et voici ce qu’elles sont ». Nous devons vivre avec cette absence de description totale de la réalité.
Cet article réexamine l’effet placebo et ses cousins moins connus — nocebo, lessebo, drucebo, et le nouvellement défini effet aiatrocebo — au sein d’un cadre psychobiologique unifié. En intégrant des données issues de la neurobiologie, de la pharmacologie et de la philosophie des sciences, il soutient que les phénomènes les plus mal compris de la médecine ne sont pas des anomalies, mais des éléments centraux de la manière dont les systèmes biologiques traitent le sens. Des exemples empiriques, allant des études sur la dopamine dans la maladie de Parkinson à l’essai SAMSON sur les statines, révèlent que l’attente est une variable biochimique, non une illusion psychologique.
Une réunion dans mon université le week-end dernier m’a fait me sentir un peu mieux, presque malgré moi, à propos de l’intelligence artificielle. Chris Manzione et Jonah King, artistes et professeurs d’art à l’Institut de technologie Stevens, ont organisé « SYNTHETIC NARRATIVE : AI / XR + THE FUTURE OF STORYTELLING ». XR désigne la réalité virtuelle et d’autres « technologies immersives ». Des artistes, technologues et penseurs s’y sont réunis pour explorer comment l’IA et la XR « transforment la manière dont nous créons, vivons et comprenons les histoires ».
Cette partie est la deuxième du cours de la série THB (The Honest Broker) Comprendre la décarbonation. Vous pouvez trouver la première partie ici. Cette série répond aux demandes des lecteurs souhaitant des publications THB moins techniques, centrées sur la politique d’atténuation du climat [1]. J’écris ces textes de la même manière que j’avais enseigné […]
Le massacre massif de chauves-souris et de rapaces est déjà connu, mais ce nouveau rapport apporte un éclairage nouveau sur les effets en cascade dans le monde naturel provoqués par l’augmentation du nombre de grandes éoliennes.
Le fonctionnement du système communiste était à bien des égards proche de celui du système mondialiste actuel, à ceci près qu’il était plus avancé sur la voie du totalitarisme vers lequel nous sommes actuellement conduits.
En résumé : l’IA endommage l’environnement, amplifie les inégalités, sape la démocratie et rend la Troisième Guerre mondiale plus probable. Et quelle est la solution d’Altman à ces problèmes ? Davantage d’IA ! Les machines superintelligentes vont nous sauver ! Supposément !
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