Hervé Moskovakis - Acupuncture : le point-machine 1986

L’extraordinaire découverte de Völl résiderait dans le fait que l’homme a conservé une sorte d’« instinct énergétique », donnant alors au thérapeute la possibilité de connaître à l’avance le résultat de l’ingestion d’une substance chez son patient. « Tous les médicaments peuvent être mesurés ou « testés » de la sorte, tant au point de vue de leur effet que de leur concentration et de leur dose. Il est possible à un homéopathe de mesurer également la dilution nécessaire. La mesure des médicaments, que nous avons ainsi mise au point, est quelque chose de tout à fait nouveau en médecine et n’a été possible que grâce aux immenses progrès de l’électronique. »


Dominique Schmidt : Le processus, l'autreté et la force supramentale

| Catégories : Dominique Schmidt | Mots-clés : , , ,

Tout au long de ce chapitre, j’illustrerai les concordances qui existent entre la pensée de Sri Aurobindo et celle de Krishnamurti par des passages de Lettres sur le Yoga, écrites pour guider ses disciples dans leur propre transformation spirituelle, et des extraits du Carnet. D’après l’auteur, les Lettres de Sri Aurobindo s’apparentent parfaitement aux expériences psychiques et spirituelles décrites dans les Carnets. De plus, du fait des expériences et connaissances yoguiques de Sri Aurobindo sur la nature de notre cosmos et du transcendant, ses Lettres clarifient le mystère du ‘Processus’ que Krishnamurti n’arrivait pas à s’expliquer…


Hervé Moskovakis : Effet Lichtenberg, erreur Kirlian ?

| Catégories : Parapsychologie / Phénomènes | Mots-clés : ,

Nous savons, selon les travaux du Dr Voll, que le corps humain a la particularité de réagir à d’infimes perturbations électriques de l’ordre du milliwatt, et nous avons en effet montré au laboratoire Ghizey, que les organismes vivants sont sensibles à de très petites variations du champ électrostatique de l’environnement. Celui-ci avait jusqu’alors été négligé en raison de sa faible valeur, mais après de nombreuses électrographies, nous pensons qu’il agit comme un véri­table régulateur de l’écosystème.


Dominique Schmidt : La vie est un yoga

| Catégories : Dominique Schmidt | Mots-clés : , , , ,

En 1974, déçu du monde et de la société, Dominique Schmidt quitte la France pour émigrer en Australie. Puis il vit de nombreuses années à Pondichéry en Inde où il fait de longues recherches sur la Vie Divine de Sri Aurobindo. L’étude des deux sages indiens, J. Krishnamurti et Sri Aurobindo, l’amène à un changement […]


Carlo Suarès : La fin du grand mythe III

| Catégories : Suarès Carlo | Mots-clés : , , , , , , , , , ,

S’affranchir du Temps veut dire s’affranchir de l’inconscient collectif, qui fabrique le temps collectif, et de l’inconscient individuel qui fabrique le temps individuel. Le temps individuel est toujours lié au temps collectif, car l’individu ne parvient que très difficilement à se libérer de l’emprise de l’inconscient. C’est pour desserrer cette étreinte mortelle que nous nous efforcerons de la décrire.


Jacques De Marquette : Physique et perceptions

| Catégories : de Marquette Jacques | Mots-clés : , , ,

Il est donc possible qu’il y ait après la mort du corps comme une sorte de prologue de la mort de l’âme, au cours de laquelle les divers aspects de la vie consciente épuisent les facultés d’actions nouvelles (qu’il ne faut pas confondre avec les mémoires et leurs possibilités de reviviscence) accumulées en elles, comme continue la vitesse acquise d’un navire dont on arrête les hélices en pleine course. Mais ce chant du cygne de l’activité consciente ne saurait durer que quelques semaines, quelques années, quelques décades, ce qui est complètement insignifiant au regard de l’éternité.


Dominique Casterman : Philosophie non dualiste et actions positives

| Catégories : Casterman Dominique, Inédit | Mots-clés :

Pour autant, devons-nous négliger l’esprit, la conscience individuelle, le corps, les joies, les souffrances, les désirs, etc., sous couvert que seul la Conscience est, et que le spectacle n’est que pure illusion ? Je ne le pense pas car il n’y a pas de séparation entre le Spectateur et le spectacle. La grande illusion c’est l’idée même de séparation…


Carlo Suarès : La fin du grand mythe II

| Catégories : Suarès Carlo | Mots-clés : , , ,

Mais il faut que le grain meure après seulement qu’il a été jeté dans la terre. S’il mourait avant, écrasé ou desséché, sa mort serait aussi stérile. L’être qui dit « je », ce grain de froment, ne doit pas s’annihiler, mais mourir dans le bon sol, il ne doit pas non plus chercher à devenir gigantesque, à se transformer en une maison, en croyant que les fruits viendront quand il sera devenu aussi gros que le monde. C’est ce que l’on croit habituellement. « Je » croit qu’il peut devenir universel, il veut prier Dieu, il veut trouver Dieu, il veut trouver la Voie et la Vérité, « je » est prêt à tout sauf à mourir dans le bon sol.


Robert Powell : Rencontre avec la mort

| Catégories : Powell Robert | Mots-clés : , , ,

Lorsqu’un deuil nous frappe, que se produit-il au juste ? L’événement est accompagné de diverses émotions qui peuvent aller jusqu’au traumatisme. Si la personne décédée occupait une place importante dans notre vie, donc dans nos pensées, un large segment de la vie de la pensée se trouve soudainement interrompu; et rappelons-nous que c’est vraiment cette vie de la pensée qui fabrique ce qui s’appelle le soi. Alors, on ressent soudain un profond sentiment de vide, comme si une partie de soi était morte avec le défunt.


Carlo Suarès : La fin du grand mythe I

| Catégories : Suarès Carlo | Mots-clés : , ,

L’envoûtement c’est l’inconscient, qui s’interpose entre la Vérité et nous, en nous donnant comme point de départ de toutes nos pensées, comme base apparente de tout notre être, un monde irréel que nous ne mettons pas une seconde en doute. Chacun vit dans un état hypnotique, dans un état de rêve, qui lui fait accepter et vivre ce rêve sans s’en étonner le moins du monde. Ce rêve c’est tout l’Univers tel que chacun l’accepte. Plus on dort profondément moins on se demande le « pourquoi » des choses. Le sommeil est si profond que le fait de partir à la recherche de sujets d’étonnement, tables tournantes, coïncidences, « forces inconnues », semble déjà sublime, alors qu’au premier éveil la simple constatation que quelque chose existe suffit à nous remplir de stupeur…