L’humanité traverse une période de crises s’étendant à tous les secteurs : économique, moral, religieux, social. La rapidité croissante des rythmes de l’existence, l’incapacité dans laquelle se trouvent les valeurs anciennes à répondre adéquatement aux exigences de situations entièrement neuves plongent un nombre grandissant d’êtres humains dans l’angoisse dont les violences constituent l’un des réflexes primaires. Conscients de cette situation une foule de chercheurs, les uns de bonne foi et désintéressés, les autres, de cyniques exploiteurs mettent au point des « techniques » infiniment variées, allant depuis les fameuses dynamiques de groupes de plus en plus connues jusqu’aux techniques collectives de « retour à la primitivité » aux « mouvements régénérateurs collectifs », dont certains aboutissent aux expériences de « touchers collectifs » ainsi qu’à la sexualité de groupe, etc. etc.