Étienne Guillé : Des métaux alchimiques dans notre ADN une réalité énergétique des données de la tradition

Il est très significatif de constater que les métaux qui provoquent les variations de conformation les plus spécifiques de la molécule d’ADN, sont ceux qui ont été attribués par les alchimistes aux luminaires et aux planètes connues à cette époque. Depuis cette époque, le zinc, le manganèse et le cobalt ont été attribués aux trois dernières planètes découvertes : Uranus, Neptune et Pluton. Même si nous disposons de peu d’informations scientifiques pour l’étain et le fer alors que ce dernier métal est le plus concentré in vivo dans la molécule d’ADN, nous pensons que cette correspondance ne constitue pas une pure coïncidence.

Yves Christen : La sociobiologie peut nous aider à nous mieux comprendre ?

Qui dit sociobiologie dit mélange de biologie et de sociologie. Une vieille préoccupation si l’on songe que le glissement de l’une à l’autre était déjà contenu en germe dans la classification des sciences d’Auguste Comte et qu’il se trouve au centre des préoccupations d’une multitude de philosophes et de chercheurs. De Marx à Darwin , en passant par Kropotkine et Lorenz, on n’en finirait pas de citer tous les penseurs qui se sont interrogés sur les rapports entre la biologie et les sciences humaines. Les uns pour détacher l’homme du règne de la nature, les autres pour l’y insérer…

Robert Tournaire : La conscience et la vie

Le Professeur Robert Tournaire ne retient pas l’expression de révolution biologique pour caractériser ce qu’il considère comme le plus prodigieux moment de la connaissance humaine. Il préfère une expression telle que « La naissance d’une nouvelle biologie ». Dès l’exergue, Robert Tournaire souligne combien ce nouveau savoir est — en même temps — signifiant pour l’Homo, mais toujours magnifiquement fascinant.

Robert Tournaire : Essai sur le sens de la Vie, au seuil du deuxième millénaire

Il serait vain d’essayer de construire une étude exhaustive du sens de la vie humaine, sans se poser les mêmes questions sur le sens du cosmos et de l’espèce humaine. En d’autres enceintes et peut-être devant vous, j’ai eu maintes fois l’occasion d’expliquer que l’homme était lié beaucoup plus qu’on ne le pense généralement à son cosmos. J’irai même jusqu’à dire que le sens d’une vie, d’une étoile, d’une galaxie ne correspond rigoureusement à rien. Il y a une interdépendance universelle. La conscience a un substrat universel comme la gravitation. Un philosophe, le Professeur Swedenborg, n’a pas hésité à déclarer que la terre était un homme; on pourrait ajouter que le cosmos c’est la vie.