Joël Acremant : L'alimentation dynamique selon Rudolf Steiner

(Revue Le chant de la licorne. No 14. 1986) Joël Acremant Né en 1948, Études d’artisanat d’art (orfèvrerie, dinanderie, bijouterie) en Belgique. Après quelques expériences professionnelles, il change d’orientation pour s’intéresser à la médecine naturelle, l’alimentation saine et la recherche spirituelle. Il tient alors un restaurant d’alimentation saine pendant sept ans (en Belgique) et sera […]

Paul Loizillon : Les remèdes floraux d'Edward Bach

(Revue Le chant de la licorne. No 10. Été 1985) ‘’C’était une torture pour moi de marcher toujours dans l’obscurité lorsque j’avais à traiter un malade et à prescrire selon telle ou telle hypothèse médicale des substances qui ne devaient leur place dans la matière qu’à telle ou telle hypothèse arbitraire. Ainsi, après mon mariage, […]

le Dr Lucie Hacpille : L'abandon thérapeutique

Lucie Hacpille est Docteur en Médecine et en Philosophie Éthique médicale et biologique. Administrateur à la Société Française d’Accompagnement et de Soins Palliatifs et de l’Association européenne des soins palliatifs, elle a rédigé un rapport européen : « Les décisions médicales dans les situations de fin de vie et les implications éthiques des choix possibles […]

le Dr Henri Olivo : Connaissez-vous l'ostéopathie?

L’ostéopathie dont il est question ici n’est pas limitée à la seule maladie des os mais une technique de diagnostic de thérapeutique découverte il y a un siècle par un médecin américain. Cette technique nécessite du praticien des capacités proprioceptives très fines puisqu’elles lui permettent de « sentir respirer » votre crâne au rythme lent de ce que les ostéopathes appellent le « mouvement respiratoire primaire ». Toute anomalie dans ce rythme cache un désordre de santé, où qu’il soit situé dans le corps, qu’il soit viscéral musculaire, nerveux ou articulaire.

Hervé Moskovakis - Acupuncture : le point-machine 1986

L’extraordinaire découverte de Völl résiderait dans le fait que l’homme a conservé une sorte d’« instinct énergétique », donnant alors au thérapeute la possibilité de connaître à l’avance le résultat de l’ingestion d’une substance chez son patient. « Tous les médicaments peuvent être mesurés ou « testés » de la sorte, tant au point de vue de leur effet que de leur concentration et de leur dose. Il est possible à un homéopathe de mesurer également la dilution nécessaire. La mesure des médicaments, que nous avons ainsi mise au point, est quelque chose de tout à fait nouveau en médecine et n’a été possible que grâce aux immenses progrès de l’électronique. »

le docteur Rosy Bruston : Une thérapie de la réconciliation

Quand moi je vois nos élèves qui sont bouleversés parce que il y a telle ou telle chose qui se passe, qui revient, moi je leur dis : « c’est un bienfait. Soyez contents, nous allons l’enlever, l’éliminer. Dîtes-vous que c’est un grand service que l’inconscient vous rend sinon vous allez vivre empoisonnés par toutes ces histoires. À quoi ça sert de penser toute sa vie que quand on avait tel âge il s’est passé ceci et cela. À quoi ça sert ? Votre inconscient vous dit mais enlève-le, allez désencom­bre-toi, purifie-toi, aère-toi, renouvelle-toi ».

Raymond Lambert : Conseils de yoga

La valeur thérapeutique des exercices a été prouvée devant un grand nombre d’autorités médicales et il est généralement reconnu que leur pratique triomphe des différentes maladies chroniques telles que la tuberculose, certains diabètes et l’arthrite. Raison pour laquelle des médecins, voyant dans le yoga une forme de thérapeutique, consentent à diriger certains de leurs malades vers des centres de yoga. C’est leur droit et quelquefois la santé du malade s’améliore ; toutefois, dans certains cas, son état peut s’aggraver, surtout lorsqu’il s’agit de problèmes vertébraux ou psychiques.

docteur Laurent Hervieux : Yoga et psychosomatique

L’harmonisation des deux lobes est nécessaire et nous avons constaté le bienfait des asanas sur les problèmes découlant d’une mauvaise latéralisation voire d’une latéralisation contrariée par un système éducatif. Le but du yoga est d’élever l’être à des plans supérieurs en l’incitant à utiliser mieux son cerveau pour y développer la Conscience et la Liberté.

Claude Le Prestre : La plus vieille médecine du monde : l'acupuncture

Qu’est-ce que l’acupuncture, cette thérapeutique qui, à près de quarante siècles d’écart, a gardé les mêmes pou­voirs étonnants? Si nous nous reportons à l’étymologie latine, (acus, pointe, et punctura, piqûre) cela veut dire piqûre par objet pointu. L’action d’employer des aiguilles pour obtenir la guérison d’un malade est d’origine chi­noise et remonte à 5000 ans. Les Orientaux estiment, en, effet, que les maladies résultent du trouble de la force vitale, le K’i ou Énergie vitale, qui doit toujours être en équilibre entre deux forces opposées, le Yin et le Yang. Le diagnostic de la localisation et la nature de ce trouble sont révélés, à chaque poignet par la prise des pouls cor­respondant a un circuit déterminé de l’énergie vitale. La thérapeutique consiste à rétablir l’équilibre en enfon­çant de fines aiguilles d’or (pour tonifier) et d’argent (pour calmer ou « disperser ») en des points cutanés spéciaux en rapport avec des fonctions organiques ou psychiques et avec l’énergie vitale, et répartis sur des lignes appelées méridiens ou kings.

André Mahé : Une médecine de la mécanique humaine : la vertébrothérapie

Et il ne s’agit pas d’une connaissance théorique et livresque acquise en consultant des planches et en assi­milant une terminologie spéciale, ni même de celle qu’on croit posséder, pour avoir disséqué à l’amphithéâtre. Il s’agit de tout autre chose. Et, d’abord, de posséder instinctivement le sens du corps humain, de la mécanique humaine, dans sa statique et surtout dans sa dynamique. Sambucy a raison de distinguer à travers l’Histoire deux grandes lignées de thérapeutes, que l’on peut différencier non en gymnastes et conformistes, mais en biologistes et mécaniciens. De toute évidence, cette distinction corres­pond à deux types d’esprit, de sensibilité, de philosophie peut-être, encore que le mécanicien comprendra souvent les questions biologiques, tandis que le biologiste reste généralement fermé à toute véritable connaissance mécanicienne. Et depuis des siècles, la médecine occi­dentale a tourné le dos à ce qu’on appelle aujourd’hui la médecine physique, alors qu’elle était contenue dans l’enseignement hippocratique.