le docteur Maud Cousin : Le système nerveux

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C’est grâce au cerveau que nous avons la conscience éveillée. Steiner dit qu’à la base et à l’intérieur du cerveau se trouve le reliquat de la moelle ancienne et c’est elle qui est en vie pendant le sommeil. Pendant le sommeil nous avons un peu l’équivalent de ce qui se passe avec les images ou les actes qui ne sont pas moteurs mais qui sont donnés et pour lesquels on réagit sans pouvoir consciemment faire quelque chose : c’est le rêve de l’ancienne moelle qui est encore dans le système nerveux.


Si tu n'étais immortel... Méditation Par Aimé Michel

| Catégories : Michel Aimé

Là où tu vas, tu ne cesseras de devenir plus que toi-même, éternellement. Déjà tu es plus que tu ne fus. Aime donc la vague qui te porte. Aime le rocher qui la brise. Aime les ténèbres où tu voyages et qui déjà t’ont conduit où tu es. Ces ténèbres t’aiment, puisqu’elles t’ont tiré des étoiles.


Swami Hridayananda Sarasvati : Enseignements 1 : Dieu

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Dieu n’est pas une force assise quelque part. Cette force du Pouvoir Ultime, cette force qui est tout Amour, c’est celle que l’on appelle « Dieu ». « Dieu » est un nom que l’homme a donné à cette force, certains l’appellent « Dieu », certains l’appellent « Bhagavan », d’autres lui donnent d’autres noms encore, c’est toujours la même chose. Et cette Force, ce Pouvoir, peut faire absolument tout, le mot « impossible » n’existe pas dans le dictionnaire de Dieu, tout est possible.


Jean-Claude Frère : Le mythe de Faust et la genèse du surhomme

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Faust est une histoire à jamais inachevée ; d’époque en époque, des hommes de talent, de génie, les seuls qui innovent vraiment, se consacrent à une « réécriture » de Faust. Pourquoi ? Que ce soit Faust ou Don Juan en Europe moderne, Œdipe ou Oreste dans la Grèce antique, ces thèmes ne sont plus seulement des motifs littéraires ; ce sont des réalités fondamentales, des archétypes exprimant au plus haut niveau les tensions les plus complexes et les plus profondes de l’être. C’est, au sens propre, l’âme même de la race.


Questions à Raymond Abellio sur sa vision de l'occident

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Ma propre certitude, à certains moments de ma vie, a été totale, immédiate, fulgurante. C’est ainsi que je puis vous dire, et de façon très précise, que j’ai reçu la révélation de ma clef numérique de la Kabbale le 5 avril 1946 à dix heures du matin, le Vendredi saint de cette année-là. La liste des valeurs ésotériques des nombres m’est venue globalement, sans nuance. Elle m’est tombée dessus comme un coup de tonnerre, à tel point que, pendant trois heures, je suis resté paralysé, dans un état d’immobilité absolue. Je brûlais et j’avais l’impression que ma tête allait éclater. Quand j’ai enfin pu me déplacer, je suis allé me coucher sous une tente qui était au fond du jardin. Pendant ce repos, chaque fois que j’essayais de deviner le sens précis de ma révélation, j’avais l’impression que tout pouvait sauter en moi.


Robert Linssen : Le regard Intérieur

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Ces textes proviennent des « Voies Abruptes » indiennes, de l’Ad-vaïta, de l’École « Ch-An Tsung » chinoise, de la Para-Bhakti indienne, des Adeptes du « Sentier sublime Tibétain, des « Praja-Patis » Seigneurs de l’Être » et des Maitres Mongols.


Louis Liébard : La hiérarchie divine

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C’est en toutes lettres qu’écrivait le Prophète Isaïe (XV, 7) : « C’est Moi, Dieu, qui fais le bonheur (le bien) et qui provoque le malheur (le mal), c’est Moi, Dieu, qui fais tout cela ». Tandis que l’homme, image de Dieu, mais n’en possédant ni sa toute-puissance, ni sa toute-liberté, est obligé de dire avec Saint Paul : « Je fais le mal que je ne voudrais pas faire et je ne fais pas le bien que je voudrais faire ».


monseigneur Germain de Saint-Denis : Qui était saint Joseph ?

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Lorsque l’esprit n’est pas nourri à Dieu, il vient se nourrir aux énergies psychiques de l’âme et à ce moment-là il « absolutise » les réactions de l’âme, parce qu’il est absolu et que l’âme est incapable de nourrir l’esprit. Mais elle le fait quand même et alors on entend des réactions de ce type : « mais, Monsieur, s’il y a un Dieu, vous n’allez pas me faire croire que des choses pareilles soient possibles. Ma fille est morte, ne me dites pas qu’il y a un Dieu ! ». L’âme a une émotion devant le scandale, la mort, et comme l’esprit n’est pas alimenté, il a absolutisé la douleur, donc la confusion est entre eux.


Jacques Becker : Les modes de la musique indienne

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Contrairement à la musique occidentale que l’on pourrait qualifier de « Rajasique » (où la joie sensorielle prédomine) par le nombre de mutations harmoniques qui la caractérisent ou même « Tamasique » (dépourvue de tout sens artistique) dans le cas de certaines musiques actuelles atonales, cette musique est exclusivement « Sattvique », c’est-à-dire qu’elle oriente l’esprit vers une réalité au-delà des sens, par le biais d’une joie sensorielle, pour atteindre la sérénité.