Julius Ruechel : Comment l’Occident a détruit la science

Chacune de ces « raisons » part du principe que, si seulement on pouvait convaincre les gens d’être plus moraux ou d’agir avec plus d’intégrité, ou si l’on pouvait expulser les mauvais acteurs, les contraindre de se conformer à la loi ou les punir si sévèrement que cela dissuaderait tous les autres, ou si les institutions pouvaient être « contraintes » de défendre le principe de la liberté d’expression par une législation plus explicite, ou si l’on trouvait de bons politiciens pour appliquer les lois existantes ou en rédiger de meilleures, alors le problème serait résolu.

Brandon Keim : Comment les animaux comprennent-ils la mort

Comment les animaux comprennent-ils la mort ? C’est la question qui anime ce récit. Un ami m’a raconté que son chien avait vu son plus proche compagnon canin se faire écraser ; depuis, le chien devient inconsolable et agité chaque fois qu’ils passent devant la rue où cela s’est produit. Quelqu’un que je suis sur les réseaux sociaux a soutenu qu’il est éthiquement acceptable de tuer des animaux parce qu’ils ne savent pas ce qu’est la mort. J’ai lu le témoignage d’une primatologue qui dirige un sanctuaire pour animaux au Costa Rica ; chaque année, une guenon qu’elle avait sauvée lui présente son nouveau bébé, mais une année lui a apporté un bébé mort. Peut-être espérait-elle qu’un humain qui l’avait aidée autrefois pourrait l’aider à nouveau. Pourtant, la primatologue ne pouvait rien faire, et après plusieurs heures, la mère singe, semblant admettre sa défaite, s’est mise à hurler.

La science frauduleuse dépasse la science légitime

Le problème est si répandu que la publication de sciences frauduleuses dépasse désormais le taux de croissance des publications scientifiques légitimes. Les auteurs affirment que ces résultats devraient servir de signal d’alarme à la communauté scientifique, qui doit agir avant que le public ne perde confiance dans le processus scientifique.

Paul Cudenec : La « guerre scientifique » contre notre liberté

La guerre philosophique avait évidemment un but pratique – son « élévation de la technologie au rang de philosophie » visait à instaurer une société industrialo-impérialiste régentée, assortie d’immenses profits et d’un pouvoir colossal pour une minorité cupide. La pensée scientifique constituait donc également une attaque politique contre le peuple, et plus précisément contre le véritable radicalisme populaire qui avait émergé pendant la guerre civile anglaise, de 1642 à 1651.

Claudia Chaufan : Enseigner la pensée critique ou fabriquer le consentement

Et il ne s’agissait pas d’erreurs temporaires commises sous pression — mais de trahisons institutionnelles envers le rôle normatif des universités, des trahisons dont les leçons exigent réflexion. Il n’était pas seulement question de politique sanitaire, mais de fabrication du consentement — paradoxalement au sein d’institutions dont la mission normative inclut de favoriser la pensée indépendante. Ce qui suit est le récit de la manière dont je suis arrivée à ce constat.

Todd Hayen : Pourquoi la science est fondamentalement dénuée de sens

La plupart des humains ne veulent pas vivre comme des animaux. Ils estiment être au-dessus de cela. Peut-être qu’ils l’étaient, quand ils étaient « au-dessus des animaux » dans le Jardin d’Éden, avant de manger cette bonne tarte aux pommes que M. Serpent avait préparée pour eux — venant de l’arbre de la connaissance, rien de moins. N’est-ce pas cela, la « science » ? Ou peut-être est-ce précisément cette chose-là qui leur a donné le sentiment d’être supérieurs aux bêtes qui les entouraient. Quoi que ce fût, ou peu importe comment cela se produisit, ils se mirent ensuite à savoir des choses. La science fut inventée, et nous voilà partis autour du mûrier, attendant que le diable sorte de sa boîte.

Vijay Jayaraj : Le dogme climatique et l’ignorance des experts

Le modus operandi des médias est souvent simple : faire passer à répétition un programme préétabli. J’ai été, comme peut-être des milliards d’autres, victime de cette méthode éprouvée de tromperie de masse. Même certaines des personnes les plus intelligentes en sont venues à craindre une catastrophe climatique sur notre belle planète bleue. Si vous vous […]

Claude Tresmontant : Le problème de l’existence de Dieu

Si l’athéisme est vrai, l’Univers qui est l’être purement et simplement, doit avoir été éternel dans le passé, d’une part, — ce que l’astrophysique ne confirme pas, c’est le moins que l’on puisse dire. Et d’autre part, il aurait dû rester ce qu’il était, de toute éternité, et par exemple il y a dix-huit milliards d’années, il y a quinze milliards d’années, il y a dix milliards d’années. Il n’aurait pas dû évoluer, il n’aurait pas dû se donner à lui-même ce qu’il ne possédait pas auparavant : des formes plus complexes de matière. Il n’aurait pas dû inventer des molécules nouvelles, inouïes, inédites…

Bernardo Kastrup : Quelques précisions sur l’idéalisme analytique en réponse aux critiques de Rupert Sheldrake

6 décembre 2024 Au cours des derniers jours, de nombreuses personnes ont commenté sur mon blog et dans les médias sociaux les critiques de l’idéalisme analytique formulées par le Dr Rupert Sheldrake dans le podcast et la chaîne YouTube Theories of Everything. Avant aujourd’hui, je n’avais pas vu la vidéo et j’avais donc largement rejeté la […]

John Briggs : La Leçon que les Scientifiques ne retiennent jamais

23 décembre 2024 Étant donné que c’est une semaine calme, je réfléchissais à des variations sur l’idée de résonance morphique de Rupert Sheldrake et à la manière dont celles-ci pourraient s’appliquer à une philosophie aristotélicienne de la nature. Vous vous souvenez que, dans cette philosophie, tout est composé de formes et de matière première (voir blog/Substack). […]