Dans la civilisation dans laquelle nous vivons, les libertés individuelles ont rarement été obtenues sans payer un prix élevé. On s’est battu, on a souffert et on est mort pour elles. Les pouvoirs autoritaires et les personnalités avides de réprimer les autres et d’imposer leur contrôle ont toujours méprisé les hommes libres, conscients de leurs libertés et de leurs droits naturels et maîtres de leurs propres affaires.
Comment cette perspective du XIVe siècle se compare-t-elle à l’attitude à l’égard du corps humain que l’on observe dans le monde d’aujourd’hui ? Perçoit-on la même déférence, ou plutôt la même vénération, pour le corps humain aujourd’hui ? En clair, le détour médiéval décrit ci-dessus place les pratiques actuelles concernant le corps humain dans une perspective qui devrait être troublante, déconcertante et carrément dérangeante pour toute personne qui estime son propre corps, et celui des autres, pour l’entité vivante quasi miraculeuse qu’il est.
Alors que beaucoup de gens supposent que nos souvenirs sont principalement stockés dans notre cerveau, certains philosophes comme moi soutiennent que — tout comme certains autres aspects de la cognition — la mémoire peut dépasser les limites du corps pour inclure des interactions couplées avec des structures dans l’environnement. En bref, au moins une partie de nos processus cognitifs s’étend à notre environnement. La moisissure gluante est un candidat intrigant pour explorer cette idée, car elle ne possède pas de cerveau, mais peut parfois « se souvenir » de certaines choses sans avoir besoin de stocker ces souvenirs en elle-même…
La mort a toujours été le mystère le plus grand de l’humanité, la frontière ultime entre l’être et le non-être, la conscience et le vide. La médecine moderne a promis la précision : mort neurologique, arrêt cardiaque, critères cliniques pouvant marquer le moment exact où une personne devient un corps. Mais lorsque la mort devient un protocole plutôt qu’une réalité ontologique, quelque chose d’essentiel est perdu. Nous parlons ici du moment où un être humain cesse d’exister en tant qu’entité consciente et devient, dans le calcul du système, un ensemble de pièces détachées à prélever.
L’une des grandes questions de la crise COVID est la suivante : « Comment le système de soins médicaux a-t-il pu se tromper à ce point ? » Cet excellent essai du Dr Randall Bock s’appuie sur son expérience personnelle et sur des anecdotes tirées de toute une vie de pratique des soins de premier recours, depuis la Virginie rurale jusqu’à la grande ville de Boston, pour illustrer et mettre en lumière la maladie au cœur de la médecine occidentale moderne
Et il ne s’agissait pas d’erreurs temporaires commises sous pression — mais de trahisons institutionnelles envers le rôle normatif des universités, des trahisons dont les leçons exigent réflexion. Il n’était pas seulement question de politique sanitaire, mais de fabrication du consentement — paradoxalement au sein d’institutions dont la mission normative inclut de favoriser la pensée indépendante. Ce qui suit est le récit de la manière dont je suis arrivée à ce constat.
Réfléchissez à ce qui est perdu : un enfant qui apprend à « ressentir » via des applications de suivi d’humeur ne développe jamais une conscience émotionnelle interne. Les enfants qui naviguent uniquement grâce au GPS ne développent jamais leur sens de l’orientation ni leur raisonnement spatial. Ceux qui obtiennent des bouffées de dopamine via des notifications ne développent jamais l’attention soutenue ou la concentration profonde. Les enfants qui posent des questions à Alexa n’apprennent jamais la lutte cognitive qui forge la pensée critique.
Il est évident que nous nous soucions un peu de ces choses. Mais à quand remonte la dernière fois où vous vous êtes approché d’une personne au hasard pour lui donner de l’argent de votre portefeuille ? La question est de savoir si ces jeux économiques peuvent nous en apprendre beaucoup sur le monde réel. Ont-ils vraiment des implications importantes sur la façon dont nous gouvernons la société ?
Partout, les représentants élus sont compromis, achetés ou corrompus, parce que nous les avons investis du pouvoir que les organisations criminelles recherchent. Comme on pouvait s’y attendre, un cartel technocratique est en train de s’installer à la place du gouvernement. Abandonner la croyance que seul le pouvoir entre de mauvaises mains est dangereux. Aucun dictateur bienveillant ne viendra jamais nous sauver.
Ce n’est pas un hasard si presque tous les gouvernements du monde se sont retournés contre leurs citoyens en même temps. En imposant des idéologies nuisibles et illogiques, en punissant les dissidents et en semant la peur à propos de tout, de la météo au simple rhume. Tout cela fait partie d’une vision définie par des organisations telles que les Nations unies et à laquelle notre gouvernement a adhéré. Alors, attachez vos ceintures, dites à la police du woke d’aller se faire voir, et déchirons ce cirque mondial de « l’élite » prétentieuse qui pense pouvoir nous materner jusqu’à la soumission.
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