Liliane Loan : La vraie religion chinoise: le culte des ancêtres

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Non seulement en Chine mais un peu partout en Asie, particulièrement dans les pays de culture chinoise tels que la Corée, le Japon et surtout le Viêt-Nam, le culte des ancêtres a façonné et modelé les esprits, les croyances, les coutumes, les traditions et, tout comme en Chine où il est né, l’organisation de la société. Il a engendré une conception philosophique de l’âme, un enseignement visant à parfaire l’homme et une certaine politique de gouvernement du pays.



Jeannine Auboyer : L’aspect du Sacré dans l’art de l’Asie Orientale

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Deux traditions aux origines peut-être protohistoriques ont existé en Asie orientale : l’une, en Inde et l’autre en Chine. Chacune s’est répandue dans la zone géographique qui lui correspondait : l’indienne dans l’Asie du Sud-Est, la chinoise en Asie centrale et extrême-orientale. De nombreux points de rencontre se sont formés au cours des siècles, notamment grâce à l’expansion du bouddhisme. L’art en fut à la fois le reflet, le support mystique, l’illustration allusive ou symbolique. Ce qui constitue pour l’amateur occidental une certaine gêne à le bien comprendre, sauf s’il se met au courant de sa signification spirituelle…


A. Porte : A propos de la Bhagavad-Gita

| Catégories : Mythe / Conte / Tradition

La Bhagavad-Gîtâ est un poème prestigieux, mais méconnu. Il prend valeur d’Evangile, c’est-à-dire rang de texte majeur de la ferveur religieuse Indienne. Il est la Référence, la Source, la Voix perpétuellement entendue d’un Enseignement. D’ailleurs, l’énoncé complet est : « Shrîmad-Bhagavad-Gîtâ Upanishad », c’est-à-dire : « L’Enseignement donné dans le Chant du Glorieux Bienheureux ». Or, ce texte appartient à l’une des 2 grandes Epopées Indiennes : le Mahâbhârata. (La seconde est le geste du héros Râma : le Râmâyana)


Serge-Christophe Kolm : Les trois crises et le recours à l'orient

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Car il nous faut aussi choisir, faire, nous faire et nous guérir. Or, pour cela, ce sont au contraire les aspects de la pensée bouddhique opposés aux conceptions du monde moderne qui offrent à celui-ci des positions ou savoirs qu’il n’a pas déjà. Et ce sont justement ceux dont il a besoin, comme le montrent d’abord le raisonnement mais aussi ce qu’en retrouvent, sans le savoir, les thérapies et philosophies qui s’attaquent le plus profondément au malaise de la civilisation ».


Jean Richer : Une nouvelle lecture de l'«E» de Delphes: Dâ, la Terre

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Il est bien connu que Plutarque, qui fut l’un des derniers prêtres de Delphes, nous a transmis dans ses écrits, heureusement conservés, un certain nombre de secrets ésotériques. Mais il se trouve que, sur le problème de l’énigmatique E delphique, il était particulièrement ignorant. Dans son traité Sur l’E de Delphes, il n’en propose pas moins de sept interprétations différentes, toutes aussi peu vraisemblables les unes que les autres, à grand renfort d’étymologies fantaisistes.


Micheline Flak : Le yoga trait d'union - pédagogie d'Orient - pédagogie d'Occident

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« On n’enseigne pas ce qu’on sait, on enseigne ce qu’on est ». L’adage n’est en vérité ni d’Orient, ni d’Occident. Il n’appartient ni au passé, ni au présent. La validité en est universelle et l’enseignement quand il le véhicule n’en a pas davantage le monopole. Devant un chef-d’œuvre, et c’est aussi vrai des découvertes scientifiques, on oublie le pays d’origine.


le Dr Grall : L’Acupuncture

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Pour les chinois, la base de l’acupuncture était la circulation d’énergie. Cette énergie circule sur douze méridiens, deux méridiens sont doubles, certains acupuncteurs en comptent donc quatorze, à droite et à gauche du corps humain. Il faut admettre ce postulat au départ, ou ne faire que de l’acupuncture de « médecins aux pieds nus » ne connaissant après un enseignement rapide que des « recettes » d’urgence qui ont quand même rendu de grands services dans d’immenses régions sans médecin. Chaque méridien représente un organe ou une fonction physiologique. Certains méridiens sont Iang et d’autres Inn. Chacun d’eux a des points spécifiques qu’on doit tonifier pour renforcer l’énergie faible, ou disperser pour diminuer l’énergie trop forte, par exemple dans une trachéite ou une bronchite pour diminuer une congestion par excès d’énergie. Il y a aussi le point source qui complète, dans le sens voulu, l’action de points de tonification ou de dispersion. Un point de passage fait passer l’énergie dans un autre méridien. Il y a aussi des points spéciaux, hors méridiens.


Pierre D’angkor : La destinée spirituelle de l'homme selon la sagesse antique

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Notre moi physique disparaît avec notre corps : quant à notre moi mental, il n’est qu’un complexe d’énergies qui s’éteint à l’expiration de ces périodes « post mortem » que les religions ont nommées le ciel et l’enfer, périodes subjectives durant lesquelles s’épuisent graduellement les énergies psychiques qui étaient constitutives de ce moi. Mais de même que les êtres vivants laissent derrière eux des germes qui se développent ultérieurement en de nouveaux êtres, semblables à eux-mêmes, de même notre moi psychique laisse derrière lui des germes vivants, des germes psychiques.


E. Lester Smith : Le rôle de l'homme dans l'évolution

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Cependant, c’est l’évolution de l’homme lui-même qui importe réellement. L’homme peut transmettre à ses successeurs non seulement les caractéristiques génétiques contenues dans ses gamètes, mais aussi la provision qu’il a faite de connaissance et d’expérience. Cette provision peut se partager immédiatement sans attendre la génération suivante. Ainsi, l’homme a déjà énormément accéléré l’évolution dans ce sens culturel. En outre, il est maintenant capable de guider l’évolution vers un but qu’il a choisi lui-même. C’est en acceptant et en exerçant cette formidable responsabilité que l’homme doit prochainement exprimer sa divinité.