Denyse O’Leary : Une raison pour laquelle les expériences de mort imminente sont difficiles à étudier

Lorsque l’esprit est brièvement dissocié du corps, il peut acquérir une connaissance réelle — comme dans les EMI où les informations obtenues sont ensuite confirmées. Mais une grande partie de ce que l’expérimentateur apprend ne peut pas être facilement exprimée, car il n’existe pas de mots pour des expériences que la plupart des gens ne vivent qu’après leur mort.

Suresh Natarajan : L’investigation intérieure : Connais-toi toi-même

L’idée clé à retenir est que, tandis que les transactions dans la réalité apparente de ce monde se déroulent en réponse aux perceptions sensorielles et mentales, il existe une réalité sous-jacente, toujours présente et immuable, qui est la lumière de la conscience qui illumine tout ce qui va et vient. Nos actions et nos pensées sont conçues et se manifestent dans cette toile de conscience. Métaphoriquement parlant, cette conscience peut être comparée à une lumière dans la pièce où nous nous trouvons. La lumière dans cette pièce illumine tout, et pourtant, elle s’illumine d’elle-même. Elle ne se soucie pas de ce qui se passe dans la pièce. Sans la lumière, rien dans la pièce ne peut être vu.

Paul Pujol : Avoir un parti pris

Avoir un parti pris, c’est choisir et défendre une position. À partir de ce moment, on veut juste convaincre, ou plutôt vaincre le point de vue de l’autre. En quelque sorte on veut « le convertir », « l’enrôler » dans notre camp. Son point de vue d’autrui ne compte pas, n’a pas de valeur, il doit être combattu. […]

Denyse O’Leary : Les mythes de la conscience de l’IA : un neuroscientifique propose une approche sans exagération

le télescope spatial James Webb est-il plus intelligent qu’un télescope de jardin ? Si ce n’est pas le cas, pourquoi un chatbot impressionnant serait-il plus « intelligent » qu’un ordinateur de bureau ? Dans les deux cas, il s’agit simplement de machines plus puissantes, plus sophistiquées. Mais comment passe-t-on de là à la conscience des êtres vivants, dont la définition est déjà si difficile ?

Denyse O’Leary : Les humains préhistoriques n’étaient pas si brutaux après tout

Pendant des décennies, notre image des premiers humains a été façonnée par ce qu’ils ont laissé derrière eux. En général, il s’agissait de lames de pierre tranchantes, de haches grossières et de piles d’ossements d’animaux. Il en résulte une image de nos ancêtres fortement axée sur la viande, se nourrissant de mammouths et de steaks. Mais si ce tableau ne montrait qu’une moitié de l’histoire, simplement parce que l’autre moitié a pourri ? Une découverte stupéfiante dans le sud de la Chine est en train de changer la donne.

Bert Olivier : Sur la profanation du corps humain

Comment cette perspective du XIVe siècle se compare-t-elle à l’attitude à l’égard du corps humain que l’on observe dans le monde d’aujourd’hui ? Perçoit-on la même déférence, ou plutôt la même vénération, pour le corps humain aujourd’hui ? En clair, le détour médiéval décrit ci-dessus place les pratiques actuelles concernant le corps humain dans une perspective qui devrait être troublante, déconcertante et carrément dérangeante pour toute personne qui estime son propre corps, et celui des autres, pour l’entité vivante quasi miraculeuse qu’il est.

Michael Egnor et Denyse O’Leary : L’immortalité de l’âme est une croyance raisonnable

Les personnes qui pensent que nous sommes complètement anéantis à la mort ont une image favorite : « Où est la flamme quand la bougie s’éteint ? ». Les annihilationnistes sont ici imprudents. Ils supposent que la flamme physique disparaît tout simplement. En réalité, ce n’est pas le cas. Comme le fait remarquer Peter Kreeft, professeur de philosophie au Boston College, « la lumière ne s’éteint pas, elle s’élève. Elle voyage toujours dans l’espace, observable depuis d’autres planètes ».

Jon Chapple : Sri Krishna Prem : Le théosophe oublié

Nous avons pris l’habitude d’accepter la vérité sur la base d’une « autorité » extérieure quelconque, qu’il nous est devenu difficile de nous adapter à l’idée qu’aucune autorité quelle qu’elle soit, des écritures sacrées ou des hommes, ne peut garantir la vérité, mais que celle-ci se révèle dans toute son infaillibilité à l’intérieur de la conscience pure. C’est pourquoi, si nous voulons acquérir la sagesse, nous devons la chercher non pas d’abord dans les livres ou les maîtres, mais dans notre cœur.

Ola Nilsson : La danse circulaire de l’identité personnelle

2025-02-14 Une brève introduction Ola Nilsson est titulaire d’une maîtrise en philosophie de l’université d’Umeå et d’une licence en sciences juridiques de l’université d’Örebro. Ses principaux domaines d’intérêt sont la métaphysique, la philosophie de l’esprit et la philosophie des sciences. Le philosophe Ola Nilsson est de retour avec une nouvelle expérience de pensée à la […]