un médecin du Midwest : Les organes ont-ils leur propre esprit ?

Traduction libre 14/08/2023 L’histoire en un coup d’œil : Les personnes ayant reçu une greffe d’organe connaissent souvent des changements de personnalité inexplicables et des souvenirs qui semblent provenir du donneur de l’organe. Dans de nombreux cas, il apparaît que les émotions qui étaient bloquées chez le donneur (par exemple, en raison de sa mort traumatique […]

Brandon Keim : Ne jamais sous-estimer l’intelligence des arbres. Entretien avec Suzanne Simard

Traduction libre Les plantes communiquent, nourrissent leurs jeunes plants et subissent le stress. 30 octobre 2019 « Je pense que nous sommes tellement utilitaires avec les plantes que nous en abusons à l’infini. Je pense que cela vient du fait que nous avons des œillères. Nous n’avons pas regardé », déclare l’écologiste forestière Suzanne Simard. Considérez une forêt : […]

Betty : Invitation à contacter le Vivant

Entretiens chez Louise, Fév 2018. Le langage parlé a été très peu retouché. (Q – François, Q2 – Christine, Q3 – Louise) Question – Betty, qu’est ce qui s’est passé depuis ce que tu as appelé le « basculement » ? Betty – La grande opération, pancréatite, crise cardiaque !….(Rires.) Q – Ça, ça va peut-être calmer les « chercheurs […]

Betty : Accueillir

« Les miroirs feraient bien de réfléchir un peu avant de renvoyer les images. » Jean Cocteau BERNARD : Qu’est-ce que c’est, être vulnérable dans l’instant ? Qui accueille dans l’instant ? Accueillir c’est quoi ? BETTY : Accueillir c’est constater l’évidence et la précision de ce qui est là dans l’instant, quelle que soit […]

Dominique Casterman : La conscience ‘‘bissociée’’

(Chapitre 5 du livre L’envers de la raison 1989) Le terme bissociation a été forgé par A. Koestler afin d’établir une distinction entre la routine de la pensée paresseuse disciplinée à se référer à des processus associatifs du bon sens et de l’habitude et, d’autre part, la pensée créatrice qui réalise le bond novateur en […]

Betty : Le présent pour l'être humain

Il y a trois conditions ou états de conscience chez l’homme – L’homme piégé par les émotions passées : il ne voit pas qu’il est identifié au rêve d’individualité – L’homme conscient de sa condition de rêveur : il se voit être identifié au rêve d’individualité – L’homme en perception directe : la fin de […]

André A. Dumas : Influences psychiques sur l'organisme

(Extrait de La Science de l’Âme, 2e édition. Dervy-Livres 1980) L’Esprit est l’ouvrier de sa demeure. Voyez comme il travaille la figure humaine dans laquelle il est enfermé, comme il imprime la physionomie, comme il en forme et déforme les traits ; il creuse l’œil de méditations, d’expérience et de douleurs, il laboure le front […]

L’ambigüité humaine entretien avec le professeur Maurice Auroux

L’animal est agressif pour survivre. Tandis que dans notre agressivité… toutes les structures cérébrales sont représentées. Il n’y a pas une structure cérébrale qui ne soit en relation avec les autres. Alors notre agressivité va passer par notre néocortex et c’est paradoxal puisque notre néocortex est le siège de la raison, de la réflexion, de l’imagination, bref, de ce qui nous caractérise. Notre agressivité n’est pas celle de l’animal vis-à-vis d’une proie qui s’échappe et qu’il poursuit parce qu’il a faim : nous, nous sommes capables d’agresser parce que notre imagination, l’idée que nous avons de nous-même peut nous entraîner, via l’affirmation de soi, à devenir violent.

Howard Brabyn : L'émotion dans le cerveau

On a pu constater que le cerveau était capable de détecter les caractéristiques structurelles des sons et que ces dernières déterminaient la dominance de l’hémisphère droit ou de l’hémisphère gauche. Ainsi les sons vocaliques humains, les sanglots, le rire, la stridulation des insectes et d’autres bruits naturels, qui comportent tous une modulation de fréquence et des combinaisons harmoniques, induisaient chez les sujets japonais une dominance de l’oreille droite (hémisphère gauche).

Michel Carayon et Élisabeth de Saint-Basile : Comment appréhender la psychothérapie émotionnelle

Ce qui fait la richesse d’un travail de groupe, entre autres choses, c’est la possibilité de rencontrer des êtres humains dans une relation vraie. Nous découvrons que nous ne sommes pas les seuls à avoir des problèmes et qu’il n’est pas honteux de les exprimer. Le groupe est un moyen, non une fin, un instrument de travail qui permet de retrouver symboliquement et concrètement un passé (votre famille), le présent (vos relations difficiles avec votre entourage affectif et professionnel). Vous rejouez ici ce que vous avez fait ou ce que vous faites à l’exté­rieur ; vous le vivez, vous le sentez, vous l’exprimez pour vous en libérer, pour changer.