Hervé Moskovakis - Acupuncture : le point-machine 1986

L’extraordinaire découverte de Völl résiderait dans le fait que l’homme a conservé une sorte d’« instinct énergétique », donnant alors au thérapeute la possibilité de connaître à l’avance le résultat de l’ingestion d’une substance chez son patient. « Tous les médicaments peuvent être mesurés ou « testés » de la sorte, tant au point de vue de leur effet que de leur concentration et de leur dose. Il est possible à un homéopathe de mesurer également la dilution nécessaire. La mesure des médicaments, que nous avons ainsi mise au point, est quelque chose de tout à fait nouveau en médecine et n’a été possible que grâce aux immenses progrès de l’électronique. »

la sexualité : Le tantrisme ou l'éveil

Au point de départ, les tantriques se rapprochent des adeptes du yoga classique. Comme ces derniers ils professent que l’individu doit trouver en lui-même toutes les ressources qui lui permettront de dépasser les misères de la condition humaine. Ce ne sera donc ni par l’étude des textes sacrés, ni par la pratique de la dévotion, ni par le jeu dialectique que l’homme fera son salut mais par une « prise en compte » de sa personne tout entière, corps, âme, esprit. Bien entendu, l’étude, la prière, la réflexion intellec­tuelle peuvent aider à cette prise en compte, mais comme adjuvants seulement, l’essentiel restant cette descente à l’intérieur de soi, visant à la découverte de l’être intime.

Yves-Albert Dauge : Les clefs des symboles : Le Serpent

Le serpent est en rapport avec les cinq éléments (terre, eau, air, feu et éther), avec l’ombre et la lumière, la lune et le soleil, le cercle, l’hélice et la spirale, l’homme et la femme, avec les forces telluriques et célestes, la vie, la mort et la renaissance, la magie et la gnose, avec les nombres 2, 3, 7, 8, 12, 43, 55, 72, etc. D’innombrables traditions et exégèses en font le support de valeurs multiples, au point qu’on peut se demander s’il n’est pas LE symbole primordial, fondamental, mystérieusement lié à la nature même de l’homme, à la structure de sa pensée et de sa vision du monde. En tout cas, pour ne pas redire ce qui a été si abondamment exposé, nous allons tenter de montrer que ces valeurs multiples font partie d’un champ homogène, et qu’on peut les ramener à des lignes de force simples et claires, voire à un seul principe d’explication.

Yves-Albert Dauge : Les clefs des symboles : Le Miroir

De nombreuses significations, disparates et même contradictoires, sont traditionnellement rattachées au thème du miroir. Pour y mettre un peu d’ordre, un seul moyen, qui n’a guère été utilisé jusqu’ici : établir la métaphysique du miroir. Il s’agit essentiellement de cette clef ontologique que constitue le passage du UN au DEUX, principe du déploiement des nombres, et arcane de la Vie divine comme de la Création. La Vie divine, en effet, selon ce que nous apprennent la spéculation et l’expérience théologiques, est polarité, échange, amour. Son expression chrétienne est la notion de Couple éternel Dieu-Père et Dieu-Fils : le Fils étant l’image, l’icône, le miroir, l’Alter Ego du Père, sur tous les plans. « Qui m’a vu (tel que Je suis) a vu le Père », dit le Christ…

Yves-Albert Dauge : Les clefs des symboles : Le Feu

Élément particulièrement fascinant, le Feu n’a cessé d’inspirer les poètes, les psychologues, les théologiens, les mystiques, les gnostiques, les philosophes, comme symbole de l’Énergie une et multiple, de la vie et de l’action divines, de l’essence de l’homme, et des processus de transmutation. Ne pouvant tout dire sur un sujet aussi vaste, nous avons organisé notre réflexion sur les rapports entre Feu cosmique, Feu divin et Feu humain, pour une prise de conscience de l’unité du dynamisme universel.

René Dubos : L’homme et son environnement

La surconsommation d’énergie favorise dans nos sociétés, la tendance à remplacer l’expérience directe des choses par l’expérience indirecte. On préfère voir jouer au tennis sur l’écran plutôt que de jouer au tennis soi-même. Le plus grand danger de la télévision, de mon point de vue, n’est sûrement pas de rendre les enfants criminels, parce qu’ils ont trop vu de films violents, mais certainement de les empêcher d’acquérir l’expérience des choses de la vie. Ils voient le monde d’une façon passive, au lieu d’en faire l’expérience d’une façon active.

René Alleau : Les sociétés secrètes dans les sociétés primitives 2

La magie est anthropomorphique dans son essence, mais non pas anthropocentrique comme on le suppose généralement. En effet, l’homme n’est pas le centre de l’univers dans les systèmes magico-religieux primitifs ; il occupe dans le monde la place qui est la sienne par rapport à la hiérarchie des forces et des formes ; s’il ne peut entrer en relation avec celles-ci qu’en fonction de l’analogie universelle qui relie la partie au tout et l’élément à l’ensemble, ce n’est pas en raison de sa nature privilégiée par rapport aux autres êtres, c’est qu’il ne dispose pas d’autre critère expérimental ni d’autre étalon de mesure que celui de sa propre situation initiale dans le monde. C’est en tant que rayon et non pas en tant que foyer qu’il mesure magiquement les distances qui le séparent du centre ou bien de la circonférence du cercle d’existence où il est situé. Dans ces conditions, la hiérarchie primitive des forces a été conçue selon le rayonnement de l’énergie vitale dont le plus haut degré correspond à la puissance suprême : celle du Créateur.

Étienne Guillé : Analyse systémique de l'induction du cancer

Comment peut naître un foyer tumoral ? Par quel processus ? En quelles occasions ? Avec Etienne Guillé, descendons jusqu’aux cellules qui composent les différents règnes du vivant. Du végétal à l’animal et à l’homme, le même mécanisme se déclenche. Nous n’étudierons pas avec lui les différents cancers dus au tabac, à l’alcool, ou à toute autre matière cancérigène, mais seulement au passage subtil qui fait qu’une cellule saine devient cancéreuse. De ce processus peuvent néanmoins naître les méthodes de dépistage et, peut-être plus tard, de soins.

Alfred Tomatis : Son et énergie

La verticalité est la condition nécessaire pour que les sons soient assimilés avec un maximum d’informations à absorber. Ils sont évidemment choisis. Ils émanent de sources les plus variées et sont soigneusement transmis à l’oreille de l’écoutant. Dans le cas présent, une dépendance s’établit entre le récepteur et l’émetteur, entre l’oreille à l’écoute et l’instrument producteur de sons. L’idéal recherché est atteint lorsque le sujet à l’écoute parvient au stade où il est en même temps l’émetteur produisant lui-même les sons.

Étienne Guillé : L'Égypte vibratoire : initiation à l'approche systémique

L’Univers dans sa totalité et dans son devenir peut être décrit par les méthodes d’analyse systémique appliquées aux propriétés constitutives des couples SV + EV. Il existe des lois permettant d’établir que les différentes familles de supports vibratoires existant actuellement dans le système solaire sont soumises à des énergies vibratoires que nous pouvons classer et quantifier aussi rationnellement que leurs supports matériels. Il en résulte que beaucoup de faits, généralement interprétés comme irrationnels peuvent maintenant être pris en considération pour deux raisons majeures : d’une part, des techniques ont été mises au point pour les mesurer et, d’autre part, ils s’intègrent sans difficultés dans un système ouvert, comme le définit la méthode générale d’analyse des systèmes.