Nous voici, encore une fois, réunis pour commémorer la naissance d’un Sage, celui que nous honorons du nom de Bouddha, c’est-à-dire : Celui qui sait, celui qui connaît.
Je n’ai certes pas à vous rappeler que la date choisie par les Bouddhistes pour cette commémoration est toute conventionnelle.
Il nous est impossible d’avoir aucune certitude quant aux dates s’appliquant à des événements survenus il y a plus de 2.000 ans, et dans un pays dont la chronologie différait complètement de la nôtre.