Le bon sens veut que la volonté de souffrir pour notre foi ait un impact dégrisant, gandhien, sur la personne qui nous gifle — elle sera impressionnée, élevée par notre réponse. Ainsi, le monde devient meilleur. Nous supposons que c’est ce qui était prévu, car sinon, comment donner un sens à l’idée que nous ne devrions pas résister au « Mal » ? Le problème de cet argument est qu’il implique clairement un effort pour résister au « mal » par le bon exemple.
David Edwards : Résister au mal ? — Partie 1
