James Corbett : Votre guide de la guerre de cinquième génération

James Corbett chercheur d’origine canadienne, il est titulaire d’une licence d’anglais de l’université de Calgary et d’un master en littérature anglo-irlandaise du Trinity College de Dublin. En 2004, il commence à enseigner l’anglais au Japon, où il vit toujours, produisant de manière prolifique du matériel pour The Corbett Report et pour de nombreux autres éditeurs […]

Claude Tresmontant : Le christianisme et la guerre

Une armée de savants depuis une cinquantaine d’années a découvert et nous a fait connaître que l’animal, tout animal appartenant à toute espèce, est programmé. Ce qui signifie que dans le message génétique qui se trouve inscrit dans la molécule géante qui est pelotonnée dans le noyau de la cellule, il y a non seulement […]

Pierre d'Angkor : Les Conditions d'une Paix véritable

Mais elles sont le fait de l’homme et ne sont déchaînées par leurs agents responsables (dictateurs, monarques ou conquérants) que parce qu’elles répondent à un complexe de forces intérieures, à un déterminisme de tendances généralisées dans l’élite ou dans les masses populaires. Toute une gamme de sentiments obscurs, avoués ou dissimulés, tels l’orgueil, l’ambition, la jalousie, la cupidité, etc… fomentent sourdement l’antagonisme entre les races, les classes, les individus et c’est cette psychologie secrète, souterraine, qui détermine finalement les événements mêmes qui ne sont plus dès lors que la traduction matérialisée du psychisme collectif sur le plan physique de notre monde. L’homme récolte la guerre quand il en a laissé fructifier la semence dans son cœur.

René Fouéré : Tortionnaires conscients et inconscients

On insiste beaucoup sur l’ignominie des tortionnaires militaires désignés, dont on fait volontiers des « criminels de guerre »… quand ils se sont trouvé être dans l’autre camp ! Ces tortionnaires pouvaient d’ailleurs avoir eu l’« excuse » de s’être donné pour objectif de chercher à épargner les vies de leurs compatriotes, en arrachant à leurs victimes, par la torture délibérée, des aveux, d’ordre stratégique ou tactique, précieux pour la conduite de la guerre dans leur propre camp. Mais on est étrangement muet sur la culpabilité humaine des simples combattants, ces tortionnaires inconscients qui tiraient des obus ou lançaient des projectiles sur l’ennemi catalogué. Lesquels obus ou projectiles désarticulaient, brûlaient atrocement, détruisaient les corps sur lesquels ils s’abattaient.