Martin Ratte : Le calme

Il nous arrive parfois de nous sentir calmes. Cela peut se produire après avoir pratiqué un exercice physique. Notre corps est alors détendu. Nos pensées, même les plus terribles, n’ont plus aucun effet sur nous. Même si je pense à mon patron et à la dureté qu’il me manifeste au bureau, ces pensées buteront et […]

Au-delà du masculin et du féminin entretien avec Tony Parsons

LONDRES, 18.3.2000 Jan Kersschot : Dans le train, je lisais quelques chapitres de votre livre The Open Secret et je suis tombé sur cette partie où vous écrivez [p. 14] : J’étais fasciné et effrayé par les femmes. Voulez-vous en parler, ou pensez-vous que c’est une question trop personnelle pour une interview ? Tony Parsons […]

Jean Klein : Découvrez ce que vous aimez!

(Revue Être. No 3. 1992) Le titre est de 3e Millénaire Que cherchons-nous à travers toutes nos activités, sautant de l’une à l’autre ? Regarder au fond de vous-même et vous comprendrez que vous employez tout ce dynamisme afin d’obtenir, de connaître un état permanent de contentement. Nous attribuons une cause à ces moments, lorsque […]

Gabriel Monod-Herzen : Les étapes de la vie

On doit être capable d’avoir un idéal, c’est-à-dire, justement parce que nous sommes mobiles, de chercher à se dépasser soi-même. En occident nous parlons de progrès et même de progrès spirituel, nous voyons une route et puis… un fauteuil ! Ce qu’il y a de magnifique, c’est qu’il n’y a pas de fauteuil, le but, c’est le chemin. Vous pouvez toujours avancer, rien ne vous arrêtera que vous-même. La libération de nous-mêmes que nous pouvons obtenir, c’est celle de pouvoir choisir et de ne pas nous laisser entraîner par des impulsions du passé.

Robert Linssen : De l'amour humain à l'amour Divin

Tout amour véritable se manifeste par le don de soi. Dans le don de soi il y a renaissance, recréation. Il faut mourir pour renaître, nous disent les Evangiles. Il nous faut mourir à nous-mêmes pour naître à la Plénitude du Pur Amour. La mise en évidence d’un tel processus nous étonne de prime abord. L’instinct de conservation de notre « moi » se rebiffe et tente de nous suggérer qu’il y a là quelque chose qui pèche contre les lois de la nature. Bien au contraire. Toute l’histoire de la vie dans les règnes successifs n’est-elle pas celle d’une recréation perpétuelle, d’une destruction continuelle de formes, d’un dépassement incessant de niveaux acquis. Le « don de soi » inhérent à tout véritable amour, constitue le prolongement sur le plan humain, de processus naturels observables sur le plan biologique parmi des êtres primaires en organisation.