J’ai revêtu une multitude d’aspects avant d’acquérir ma forme définitive, il m’en souvient très clairement… TALIESIN Chaque être humain est amené, un jour ou l’autre, à se confronter avec l’idée de la mort et, par conséquent, à se poser la question de savoir si la mort est une fin ou un passage. Les apparences plaident […]
Étiquette : Mort
Jacques de Marquette : Mécanismes du progrès spirituel
(Extrait de De l’âme à l’esprit par Jacques de Marquette. Édition Adyar 1958) Après notre très rapide revue des modes de la conscience, des divers milieux où elle s’exerce et des conditions dans lesquelles elle y opère, nous allons examiner les conditions de son élévation le long de ces hiérarchies. Selon la méthode Cartésienne, commençons […]
J. Krishnamurti : La beauté de la méditation
Je voudrais, si vous le permettez, aborder un sujet qui pourrait vous être quelque peu étranger, bien que vous ayez peut-être entendu le mot qui le désigne, tout en luit donnant un sens particulier. Je veux parler de méditation, qui est une des choses les plus importantes à comprendre. Si nous la comprenons, peut-être pourrons-nous […]
André A. Dumas : Manifestations spontanées après la mort
(Extrait de La Science de l’Âme, 2e édition. Dervy-Livres 1980) L’observateur parfait devra garder les yeux ouverts, de façon à distinguer aussitôt tout fait qui, suivant les théories reçues, ne doit pas se produire ; car ce sont précisément ces faits qui mettent sur la voie de découvertes nouvelles. Sir John HERSCHEL (Discours sur la […]
Tulkou Pema Wangyal Rinpoché : Introduction aux bardos
(Revue Le chant de la licorne. No 16. 1986) Tulku Pema Wangyal Rinpoché est né en 1947 à Rong Drakmar, au Tibet central. Reconnu comme une réincarnation de Taklung Tsétrul Rinpoché, Pema Wangyal Rinpoché est le frère aîné de Rangdröl Rinpoché et de Jigme Khyentse Rinpoché. Il a fui le Tibet en 1958 avec sa […]
Krishnamurti : La fragmentation
Division Nous devions ce soir discuter du conscient et de l’inconscient, de l’esprit superficiel et des couches plus profondes de la psyché. Je me demande pourquoi nous divisons la vie en fragments : vie des affaires, vie sociale, vie de famille, vie religieuse, vie sportive et ainsi de suite ? Pourquoi ce morcellement existe-t-il, non […]
Patrice Van Eersel : Mourir, c'est partir très peu…
Article qui retrace les débuts de la recherche sur les travaux sur les expériences proches de la mort (Extrait de la revue Autrement : La science et ses doubles. No 82. Septembre 1986) J’y avais vaguement pensé, un soir, en allant voir Excalibur au cinéma. Chaque fois qu’un chevalier de la Table ronde approche du Graal, […]
Jacques De Marquette : Physique et perceptions
Il est donc possible qu’il y ait après la mort du corps comme une sorte de prologue de la mort de l’âme, au cours de laquelle les divers aspects de la vie consciente épuisent les facultés d’actions nouvelles (qu’il ne faut pas confondre avec les mémoires et leurs possibilités de reviviscence) accumulées en elles, comme continue la vitesse acquise d’un navire dont on arrête les hélices en pleine course. Mais ce chant du cygne de l’activité consciente ne saurait durer que quelques semaines, quelques années, quelques décades, ce qui est complètement insignifiant au regard de l’éternité.
Robert Powell : Rencontre avec la mort
Lorsqu’un deuil nous frappe, que se produit-il au juste ? L’événement est accompagné de diverses émotions qui peuvent aller jusqu’au traumatisme. Si la personne décédée occupait une place importante dans notre vie, donc dans nos pensées, un large segment de la vie de la pensée se trouve soudainement interrompu; et rappelons-nous que c’est vraiment cette vie de la pensée qui fabrique ce qui s’appelle le soi. Alors, on ressent soudain un profond sentiment de vide, comme si une partie de soi était morte avec le défunt.
Jacques de Marquette : Eschatologie ou perspectives finales
L’Hindouisme nous a fourni un tableau typique des divers étages des conceptions que les hommes se forment de Dieu. Au-dessus des petits dieux naturistes agissant d’une manière caractérisée en un lieu déterminé, au-dessus des dieux totémiques également attachés à un territoire, mais étendant leur empire à toutes les formes vivantes, au-dessus du Dieu tribal qui, tout en ayant un autel de prédilection dans la capitale du peuple, est plus attaché à l’ensemble humain de celui-ci qu’à son espace vital ; l’Hindouisme place les dieux plus ou moins démiurgiques qui régissent l’ensemble de l’Univers solaire qu’ils ont créé. Ces dieux, dans leur essence, sont inhérents à toutes les créatures grâce à la pression de leur activité créatrice, protectrice et rénovatrice qui les maintient en vie…